lundi 28 février 2022

Pensée du jour

 

 Car c’est une donnée qui ne change pas : le pouvoir, quel que soit le régime par lequel il s’exerce, a toujours la même nature. Il est toujours composé du même mélange de stupre et de sang, de violences et de laideurs que des couches de maquillage, draperies, tissus et beaux discours viendront ornementer.

Juan Branco
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dimanche 27 février 2022

Nous regardons, après la balade, le film "Rencontres du Troisième Type" réalisé par Steven Spielberg...


L’acteur Cary Guffey, qui joue l’enfant Barry ravi par les extra-terrestres, né le 10 mai 1972, avait 5 ans en 1977 lors de la sortie du film...

L’acteur Cary Guffey et ses parents, quand il avait 45 ans...

Maltraitance numérique

 En France, treize millions de personnes, soit une sur cinq, galèrent avec le numérique sans que les responsables politiques se soucient de leur existence.


« Maltraitance institutionnelle » par Serge Halimi Écouter cet article Le Monde diplomatique« Maltraitance institutionnelle »↑ Conduite à marche forcée, la numérisation de l’accès aux services publics s’applique désormais à des démarches aussi indispensables qu’une demande d’état civil, le règlement d’un impôt, l’obtention d’un permis de séjour. Pourtant, l’obligation de recourir à Internet dans ces domaines et dans beaucoup d’autres liés à la vie quotidienne (voyages, réservations, tenue de comptes) réclame un effort particulier de ceux qui sont les moins en mesure de le fournir, faute du matériel requis, des savoirs informatiques, d’une assistance des proches. Pour eux, la « start-up nation » de M. Emmanuel Macron s’apparente à une peine d’exil dans leur propre pays. Dès les premiers mots du rapport qu’elle consacre au rôle croissant du numérique dans la relation entre l’administration et ses usagers, la défenseure des droits Claire Hédon donne le ton : « Dans les permanences de nos délégués territoriaux arrivent des personnes épuisées, parfois désespérées, qui font part de leur soulagement à pouvoir, enfin, parler à quelqu’un en chair et en os (1). » Les scènes poignantes de Moi, Daniel Blake, le film de Ken Loach dans lequel un chômeur britannique fait face à des procédures administratives d’autant plus inhumaines qu’elles sont informatisées, se rejouent quotidiennement en France. Treize millions de personnes, soit une sur cinq, y galèrent avec le numérique sans que les responsables politiques se soucient de leur existence (2). Le profil des victimes coïncide avec les populations déjà brutalisées par l’ordre social : personnes âgées, ruraux, prolétaires, non-diplômés, détenus, étrangers. Inversement, les cadres, hauts revenus et diplômés du supérieur sont à la fois bien équipés en ordinateurs, tablettes, smartphones et recourent volontiers à l’administration numérique. En somme, plus une personne affronte une situation de précarité sociale, plus il lui est difficile d’accéder à ses droits, à ses prestations, aux services publics. L’urgence sanitaire, qui a généralisé le recours au télétravail, à l’école à distance, aux prises de rendez-vous médicaux par Internet (Doctolib), a accru cette relégation technologique des populations défavorisées. Et parfois, sans le mesurer, des formations politiques étendent au domaine de la vie démocratique la mise à l’écart des populations précaires. Ainsi, lorsque les écologistes ont organisé une consultation « ouverte à toutes et à tous à partir de 16 ans » pour choisir leur candidat à l’élection présidentielle, y participer exigeait de « disposer d’un email personnel, pour recevoir les liens de vote, d’un numéro de téléphone portable pour recevoir les codes de validation de vote et d’une carte bancaire pour valider une participation de 2 euros ». Observant que « la situation tend à se dégrader », Mme Hédon rappelle que nul ne peut être privé de ses droits et prestations au motif qu’il ne recourt pas au numérique lors de ses échanges avec l’administration. Car pour beaucoup, insiste-t-elle, la « dématérialisation forcée » n’a pas représenté une simplification, mais « une forme de maltraitance institutionnelle ». Serge Halimi On s'arrête, on réfléchit (1) « Dématérialisation des services publics : trois ans après, où en est-on ? », rapport du défenseur des droits, 16 février 2022. (2) Lire Julien Brygo, « Travail, famille, Wi-Fi », Le Monde diplomatique, juin 2020.


Avancée Russe en Ukraine

 



Pensée du jour

 

 L’humanité, ne possédant sur l’univers qu’un petit nombre de lucarnes qui sont nos sens, n’aperçoit de lui qu’un recoin dérisoire. Elle doit toujours s’attendre à des surprises issues de tout cet inconnu qu’elle ne peut contempler, sorties de l’incommensurable secteur d’immensité qui lui est encore défendu.

Maurice Renard
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samedi 26 février 2022

Pensée du jour

 

 Quand on nous affirme que de toute manière tout est déjà perdu, tout est déjà joué et l'Humanité court de toute façon à sa perte, au final à quoi bon se battre ?

ESTELLE FAYE
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vendredi 25 février 2022

Promenade à Balma...

 Nous partons après le déjeuner pour Balma. La Voiture est garée devant l’école Saint-Exupéry. Au début de la promenade, le long du chemin de Sironis, nous tombons sous le charme du Manoir Saint Clair, un gîte attrayant édifié en briques au seizième siècle. Nous contournons le lac Saint-Clair, où des canards glissent sur l'eau calme, et nous suivons des chemins dont un qui longe la rivière La Linasse. Nous traversons une zone pavillonnaire où certaines maisons montrent leur originalité. Le soleil brille et des nuées se promènent. Nous allons ensuite chez Grand Frais pour effectuer des courses avant de retourner chez nous...










Paul Vaillant-Couturier

 « L'intelligence défend la paix. L'intelligence a horreur de la guerre. »

Pensée du jour

 

 Les hommes ont libéré les forces terribles que la nature tenait enfermées avec précaution. Ils ont cru s'en rendre maîtres. Ils ont nommé cela le Progrès.

René Barjavel
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mercredi 23 février 2022

Pensée du jour

 

 Voici ce qu’il ne faut pas oublier : la fin d’une histoire n’est que le début d’une autre histoire.

N.K. Jemisin
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mardi 22 février 2022

Vu à Toulouse

 Macron on t'emmerde



Pensée du jour

 

 On peut obtenir la victoire en se servant de la violence comme d'un subtitut du pouvoir, mais le prix qu'il faut payer est très élevé ; car il n'est pas seulement payé seulement par le vaincu, mais également par le vainqueur, qui voit s'affaiblir son propre pouvoir.

Hannah Arendt
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lundi 21 février 2022

Pensée du jour

 

 Toute politique est une lutte pour le pouvoir ; or le pouvoir sous sa forme ultime, c'est la violence.

C. Wright Mills
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samedi 19 février 2022

Norman Cousins

« Accepter le diagnostic, refusez le pronostic. »

Pensée du jour

 

 En cas de conflit entre le droit de l'état et les droits de l'homme, ceux-ci ont la priorité. L'existence de l'état ne saurait se justifier que par le fait qu'il sert et garantit l'exercice des droits de l'homme.

Norman Cousins
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vendredi 18 février 2022

Promenade ensoleillée au château de Bonrepos-Riquet

 Nous partons après le déjeuner pour le château de Bonrepos-Riquet aperçu au loin le vendredi 4 février lors de notre promenade au village de Saint-Marcel Paulel. Nous garons la voiture sur le parking vers l’église. Le tronc d’un arbre mort a été sculpté. Des œuvres de Severine Blanchet, une artiste photographe, se dévoilent sur les grilles du domaine vers l’entrée. Ces photos poétiques sans mots lèvent le voile sur l’intimité du château. Nous nous promenons jusqu’au n°220 de la route de L’Hermitage. Le ciel est bleu et la température est plus que printanière. En revevant, Patrick me parle du livre « Dieu est un voleur qui marche dans la nuit » de Quentin Bruet-Ferréol qu’il vient de terminer. Le livre documenté relate l’histoire du mouvement « ufologique » cofondé par Marshall Applewhite et Bonnie Nettles au début des années 1970 aux États-Unis. Elle est connue pour le suicide collectif des 39 adeptes qui eut lieu du lundi 24 au mercredi 26 mars 1997 lors du passage de la comète Hale-Bopp alors qu'ils croyaient que leur âme allait rejoindre un vaisseau spatial supposé occulté par la comète. Au retour, nous pénétrons dans l’enceinte du château où nous sommes accueillis par un des bénévoles de l’association qui œuvre depuis une dizaine d’années à la rénovation de l’édifice de la famille de Pierre-Paul Riquet, Baron de Bonrepos, Fermier Général des Gabelles et concepteur du canal du Midi. Nous écoutons le bénévole nous raconter l’histoire du château tout en cheminant avec lui vers le parking où sa voiture est garée… à côté de la nôtre. Les crocus fleurissent… Nous revenons chez nous, la tête pleine de tous les possibles au regard de l’exploit de Pierre-Paul…

















Le château de Bonrepos-Riquet

 Le château de Bonrepos-Riquet (Haute-Garonne)





Trop de morts suspectes...

 Article complet à l'adresse : www.neosante.eu/trop-de-morts-suspectes/

Mes détracteurs vont évidemment dire que je divague mais je leur rétorque déjà que l’imaginable est généralement réalisable. Pour preuve,« on » a réussi à affoler le monde et à le faire basculer dans le totalitarisme sanitaire sur base d’une grippe saisonnière légèrement plus sévère que d’ordinaire.

Jean Cocteau

 « Il ne faut pas confondre la vérité avec l'opinion de la majorité. »

Pensée du jour

 

 La véracité n'a jamais figuré au nombre des vertus politiques, et le mensonge a toujours été considéré comme un moyen parfaitement justifié dans les affaires politiques.

Hannah Arendt
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jeudi 17 février 2022

Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron, dans une prestation impressionnante, ont remporté la médaille d'or aux JO de Pékin 2022...


Guillaume parle de son homosexualité en mai 2020 à l'occasion de la Journée mondiale contre l'homophobie et la transphobie en publiant une photo de lui avec son compagnon sur Instagram :

Pensée du jour

 

 La vérité, c'est que toute guerre subit de mois en mois une sorte de dégradation progressive, parce que tout simplement des choses telles que la liberté individuelle et une presse véridique ne sont pas compatibles  avec le rendement, l'efficacité militaire.

George Orwell
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mercredi 16 février 2022

Citation tirée du livre « Troll » de Eirikur Örn Norddahl

 « Mensonge et imagination ne sont pas la même chose ; les mensonges déchiquettent le monde, l’imagination en recolle les morceaux. »

Passe Vaccinal une arnaque

 «Le pass vaccinal ne sert plus à grand chose et n’a plus aucune justification aujourd’hui», estime le Pr Michaël Peyromaure, chef du service d’urologie de l’hôpital Cochin, dans #MidiNews



Pensée du jour

 

 Il y a une différence entre connaître le chemin, et arpenter le chemin.
     
Andy Wachowski
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lundi 14 février 2022

Fête de la Saint-Valentin chez nous, sans contraintes, en savourant chacun une part de sept couches de gâteau au chocolat de chez Troika Royale...

 


Benjamin Franklin

 « Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité, ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux. »

Pensée du jour

 

 Est-ce là vivre heureux ? Est-ce même vivre ? Est-il rien au monde de plus insupportable que cet état, je ne dis pas pour tout homme de cœur, mais encore pour celui qui n'a que le simple bon sens, ou même figure d'homme ? Quelle condition est plus misérable que celle de vivre ainsi, n'ayant rien à soi et tenant d'un autre son aise, sa liberté, son corps et sa vie ?

La Boétie
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Bonne St Valentin

 


dimanche 13 février 2022

Nous regardons le film « BigBug », magistral et déjà mémorable, de Jean-Pierre Jeunet...

Dans un quartier résidentiel tranquille, des habitants et des personnes en visite se retrouvent enfermés ensemble lorsqu'une révolte d'androïdes liée à une énorme bouchon incite leurs robots domestiques à les séquestrer... pour leur propre bien... cela va de soi...


Visitez la maison du film en 2045 où l’intelligence artificielle est partout...



Gerard Nazunov

 « La bienveillance est absente dans une relation de pouvoir. »

Pensée du jour

 

 La joie est notre évasion hors du temps.
     
Simone Weil
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samedi 12 février 2022

Marc Lavoine

 « La poésie, c’est le plus joli surnom qu’on peut donner à la vie. »

Pensée du jour

 

 Comment témoigner d'un monde qui part en ruine avec les yeux bandés et le visage couvert, d'une république qui s'écroule sans lucidité ni fierté, dans l'abjection et la peur ? La cécité est d'autant plus désespérée, parce que les naufragés prétendent gouverner leur propre naufrage, jurent que tout peut être tenu techniquement sous contrôle, qu'il n'est besoin ni d'un nouveau dieu ni d'un nouveau ciel seulement d'interdits, d'experts et de médecins.

Giorgio Agamben
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