dimanche 10 septembre 2023
samedi 17 juin 2023
Henri Jacquemard est né le 12 septembre 1925 à Habère-Lullin. Il est décédé le vendredi 10 mars 2023 dans sa 98e année. En 1943, un événement tragique va le marquer à tout jamais. Dans la nuit du 25 au 26 décembre il est témoin avec Claudius Vuargnoz et d'autres de la tragédie du château d'Habère-Lullin...
lundi 12 juin 2023
mercredi 7 juin 2023
samedi 3 juin 2023
jeudi 25 mai 2023
Connaissez-vous la ferme urbaine située au centre d’Annecy ?
www.annecy-ville.fr/2020/09/ferme-urbaine-annecy/
au 49 avenue des Barattes à Annecy
vendredi 19 mai 2023
mercredi 12 avril 2023
mardi 11 avril 2023
J'apprends aujourd'hui avec émotion que Arlette est morte...
« Bonjour Arlette,
Je séjourne actuellement à Montpellier avec mon mari Patrick. Alors que je m’apprêtais à t’envoyer le livre « La preuve du paradis » d’Eben Alexander, suite au décès de Gilbert le mardi 12 décembre 2017, je découvre fortuitement que tu es morte le mercredi 25 janvier 2023.
Mes yeux se brouillent, des larmes coulent et roulent sur mes joues. Je te revois quand nous travaillâmes au magasin. Nous avons œuvré ensemble durant dix-sept années de 1978 à 1995. Avant mon entrée dans la vie professionnelle, je t’ai souvent côtoyée puisque tu es entrée dans le commerce familial en 1969. De beaux souvenirs de mon adolescence avec toi remontent à la surface de ma mémoire, certains avec Marie-Claire et Joëlle. Tu m’as écarté de ta vie après ton départ en retraite le vendredi 30 juin 1995 en me rendant responsable des conséquences du comportement de la gérante, ma mère, envers toi, durant ton parcours professionnel, notamment après la longue grève qui avait ébranlé la société familiale. Après ton départ en retraite, durant plusieurs années, je t’ai envoyé un cadeau pour ton anniversaire et une carte de vœux… sans jamais recevoir aucun signe de ta part. J’ai le cœur lourd.
J’ai renoué contact avec toi, et Gilbert, dans les mois qui ont suivi l’arrêt de mon activité professionnelle en 2005. Tu as été ma seule collègue de travail et nous nous entendions bien. Vous avez déjeuné au dôme avec nous. Nous nous sommes rencontrés plusieurs fois chez toi à Annemasse. Et puis, la rancœur, le ressentiment, liés à ton passé ont été les plus forts et le contact a de nouveau été coupé. Dès lors, et bien auparavant, mes pensées se sont envolées de temps à autre vers toi, avec des pincements au cœur, dans une certaine incompréhension, car je pensais naïvement, les années passant, que tu allais te rendre compte de mon « innocence » envers toi. Simple employé comme toi, sans jamais devenir cadre, j’ai travaillé dans l’ombre de ma mère avec laquelle j’ai été régulièrement en conflit quant au fonctionnement du magasin. Une année, en réunion de bilan, j’ai proposé de te donner une prime de bilan suite à l’excellente année que nous avions connue au niveau du chiffre d’affaires et des bénéfices. La gérante a refusé catégoriquement. Ce fût sans appel.
Suite à un rêve « prémonitoire » le dimanche 28 janvier 2018, je t’ai envoyé une carte depuis Madrid avec le message : « Bonjour Arlette, Ta présence à mon côté dans un rêve la nuit passée m’a permis d’apprendre la mort de Gilbert survenue le mardi 12 décembre dernier. Quel que soit ton ressenti envers moi, je tiens à te faire part de mon chagrin. Mes pensées affectueuses accompagnent cette carte. Patrick se joint à moi. Amitiés. André ». J’ignore si tu l’as reçue.
Je t’écris aussi cette missive spontanée du cœur, pour me libérer d’une fausse culpabilité envers toi, car avec le recul, j’ai compris que je n’étais responsable de rien. Tu lis peut-être cette missive derrière mon épaule dans la magie de l’invisible de la vie. Mon cœur est oppressé en écrivant ces lignes. J’ai souvent été dans l’incapacité de saisir la signification de ton attitude envers moi. Quoi qu’il en soit, j’ai toujours gardé un excellent souvenir de toi et du temps que nous avons passé ensemble, avant et après 1978. J’avais rêvé de vous offrir une croisière à Gilbert et à toi, et de la partager nous quatre avec Patrick, mais devant la « détérioration » de ma tentative de renouer avec toi, j’avais baissé les bras. À aucun moment, je n’ai eu un quelconque ressenti négatif en vers toi. J’ai toujours eu de belles pensées.
Après ma mort, j’espère avoir le plaisir des retrouvailles dans la joie et la richesse de ce que nous avions vécu ensemble.
Bien à toi,
André »
vendredi 7 avril 2023
lundi 30 janvier 2023
jeudi 15 décembre 2022
Les conflits psycho-émotionnels affectant la sphère ORL et les poumons...
www.neosante.eu/coup-de-froid-pour-la-doxa/
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mardi 6 décembre 2022
Info lettre de Yves Rasir du mercredi 30 novembre 2022...
www.neosante.eu/son-nom-est-perronne/
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mercredi 30 novembre 2022
samedi 26 novembre 2022
Christian Bobin est mort... mes yeux se brouillent de larmes...
Article publié
le 25/11/2022 à 13:14
L'écrivain Christian Bobin
auteur de « La plus que vive » et « Le
Très-Bas »
est mort à 71 ans
L'auteur français Christian Bobin est mort à l'âge de 71 ans, a annoncé le 25 novembre 2022 sa maison d'édition, Gallimard. Le romancier publiait début octobre dernier, un roman aux éditions Gallimard, « Le Muguet rouge », et une anthologie d'« oeuvres choisies » dans la collection Quarto, « Les Différentes régions du ciel ».
Né en 1951, Christian Bobin bâtit depuis près d’un demi-siècle une œuvre poétique inclassable qui au cours du temps réinvente ses formes. « En privilégiant une écriture concentrée, tantôt faite de notes brèves prises sur le vif comme dans un carnet de peintre, tantôt de visions poétiques très denses, creusant au plus profond de la psyché humaine, il aborde des thèmes universels comme l’amour, la mélancolie, l’absence », dit son éditeur Gallimard dans sa présentation.
Christian Bobin est né au Creusot, dans le sud de la Bourgogne, ville ouvrière. Il est assez attaché à cette cité pour la dépeindre dans le premier texte du recueil, La Cristallerie de la reine. C'est là que s'était installée la fabrique royale de verre sous Marie-Antoinette. Puis les usines sidérurgiques Schneider au XIXe siècle.
« Je suis né dans un berceau d'acier », confiait à l'AFP ce fils d'un professeur en dessin industriel. Mais, chez lui, pas de roman de l'industrie, de réalisme social, de lutte des classes, au contraire : un art pointilliste, tourné vers la nature et le ciel.
« J'ai choisi de m'évader sur place. J'ai reçu des tas d'alliés : des hirondelles qui ont fait leur nid dans un couloir de ma maison, de pauvres fleurs qui cherchaient comme moi à s'évader et poussaient à travers les pavés disjoints du trottoir », explique-t-il. « J'ai préféré aller vers ce qui semble ignorer le passage du temps: les fleurs, l'amour dans sa première timidité, l'attente, la beauté d'un visage, le silence, la longue durée... Toutes ces choses que la vie moderne petit à petit commençait à nous enlever, à nous voler ».
Armé de sa foi en la poésie, il publiait avec régularité des textes courts en prose. Certains ont dépassé 100 000 exemplaires, comme Le Très-Bas, sur saint François d'Assise, en 1992. D'autres sont restés confidentiels. Le Muguet rouge est impossible à résumer. L'auteur le reconnaissait, sans aucune crainte de ce que penserait la critique littéraire de ce livre de "visions" convoquant Dora Diamant (une compagne de Kafka), Blaise Pascal, Gérard de Nerval et le camp d'Auschwitz.
« J'adore ces deux étiquettes qui me sont collées : simple au risque d'être naïf, et obscur au risque d'être hermétique. (...) Mais je suis assez heureux, par exemple, que mes livres touchent des gens qui parfois sont très simples et parfois très érudits », affirmait-il.
Chez lui un seul guide : le sentiment du beau. « Je rêve que les livres ne soient jamais maltraités, comme certains qui, aujourd'hui sur les tables, ressemblent, à la lettre, à des paquets de lessive. (...) Je rêve que les livres soient beaux de part en part ».
dimanche 20 novembre 2022
Que se serait-il passé si la télé n’existait pas ?
www.neosante.eu/la-supernova-du-canada/
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mardi 15 novembre 2022
Les autorités sont corrompues au point de nuire délibérément et de mentir volontairement...
www.neosante.eu/quatre-etoiles-trois-etoiles/
Idriss Aberkane : la dissonance citoyenne
Ma troisième étoile du jour est une nouvelle venue sous ma plume. Et je m’en veux un peu car l’essayiste et conférencier Idriss Aberkane aurait mérité depuis longtemps que je mentionne ses vidéos percutantes et ses interviews toujours enrichissantes, notamment celles accordées à Sud Radio ou à France Soir. À ma grande confusion, je m’aperçois que nous n’avons même pas mis en valeur la sortie en 2016 de son best-seller « Libérez votre cerveau ! », un ouvrage qui est pourtant dans la droite ligne de ce que Néosanté préconise en matière de santé. Depuis le début de la « crise sanitaire », ce polytechnicien multi-diplômé de 36 ans a eu la bravoure de rompre avec l’establishment (où il avait pourtant ses entrées et ses rentrées) et de se positionner en lanceur d’alerte hypercritique, quitte à se faire taxer de complotiste. Pour tout dire, Idriss Aberkane a même participé en 2021 à une émission de l’Info en Questions avec Jean-Jacques Crèvecœur , signe de son engagement résolu aux côtés de chercheurs de vérité. Si je vous en parle aujourd’hui, c’est parce que l’intellectuel franco-algérien vient de produire une vidéo que j’ai trouvée très intéressante. Partant d’une question candide (« Comment des honnêtes gens ont pu défendre Pfizer ? »), il développe l’hypothèse qu’une grande majorité de la population a été victime d’une forme particulière de dissonance cognitive, qu’il appelle « dissonance citoyenne ». En résumé, il lui était impossible d’échapper à la manipulation car son éveil aurait impliqué d’admettre l’inadmissible, à savoir que les autorités soient corrompues au point de nuire délibérément et de mentir volontairement. Personnellement, je penchais plutôt pour la thèse de l’hypnose collective et/ou celle d’une opération psychologique sophistiquée. La lecture d’Idriss Aberkane permet d’envisager que la confiscation massive des libertés et le méga-scandale vaccinal ont pu s’appuyer sur un « simple » mécanisme mental d’autoprotection. Voilà qui incite à la compassion envers les abusés et qui invite à ne pas les mettre dans le sac des abuseurs…
Jacques Schroeter : quand un avocat accuse
La quatrième « star » que je souhaite étoiler aujourd’hui s’appelle Jacques Schroeter. Je ne connaissais pas du tout cet avocat suisse et j’ai seulement découvert son existence en lisant le dernier numéro de l’Antipresse, l’excellent hebdomadaire digital dirigé par Slobodan Despot. Comme ce dernier le raconte dans son article « L’infatigable questionnement de Maître Jacques », Jacques Schroeter était sur le point de raccrocher sa robe lorsque la crise du covid a éclaté, avec son cortège de mesures liberticides, d’entorses inouïes à l’état de droit et d’infractions gravissimes à la Constitution. L’avocat s’est dès lors attelé à travailler bénévolement pour interpeller les autorités helvétiques et les rappeler à leurs devoirs. Comment ? En rédigeant des « lettres ouvertes » adressées aux élus et aux membres des exécutifs. En septembre 2021, il avait notamment publié une vigoureuse missive sommant le gouvernement suisse de mettre un terme à ses « agissements illégaux ». Il y a 15 jours, le plaideur retraité a récidivé en écrivant une lettre avertissant que le gouvernement suisse devra sous peu « répondre des mensonges et des lois enfreintes durant la crise ». Je vous convie à lire ce texte en cliquant ici car c’est à mon sens une très bonne synthèse de la situation actuelle et universelle : les gouvernements ont menti à leurs peuples, les ont entraînés dans une folle expérience médicale pénalement punissable et doivent maintenant rendre des comptes. Sur le plan juridique, l’avocat récapitule utilement les lois nationales et les conventions internationales qui ont été violées. Et sur le plan scientifique, il étaie son « j’accuse » en résumant très bien l’état des connaissances sur l’inefficacité et l’insécurité des injections. S’il n’est pas, loin de là, le seul défenseur à s’insurger, Jacques Schroeter est peut-être celui qui communique le mieux en direction du personnel politique et du grand public. Et c’est pour ça que je le range dans l’équipe des « galactiques ». N’hésitez pas à transmettre ce document à ceux que l’aveuglement involontaire empêche encore de voir la vérité en face.
mardi 8 novembre 2022
jeudi 13 octobre 2022
Parole de MASQUE : bruits de bottes à nos portes...
« Kit de ré-information » qui redonne et argumente les 5 bonnes raisons de refuser résolument le retour du bâillon buccal. » Texte de Catherine Courson, collaboratrice de Néo Santé, la revue mensuelle de santé globale.
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