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mardi 11 avril 2023

J'apprends aujourd'hui avec émotion que Arlette est morte...

« Bonjour Arlette,

Je séjourne actuellement à Montpellier avec mon mari Patrick. Alors que je m’apprêtais à t’envoyer le livre « La preuve du paradis » d’Eben Alexander, suite au décès de Gilbert le mardi 12 décembre 2017, je découvre fortuitement que tu es morte le mercredi 25 janvier 2023.

Mes yeux se brouillent, des larmes coulent et roulent sur mes joues. Je te revois quand nous travaillâmes au magasin. Nous avons œuvré ensemble durant dix-sept années de 1978 à 1995. Avant mon entrée dans la vie professionnelle, je t’ai souvent côtoyée puisque tu es entrée dans le commerce familial en 1969. De beaux souvenirs de mon adolescence avec toi remontent à la surface de ma mémoire, certains avec Marie-Claire et Joëlle. Tu m’as écarté de ta vie après ton départ en retraite le vendredi 30 juin 1995 en me rendant responsable des conséquences du comportement de la gérante, ma mère, envers toi, durant ton parcours professionnel, notamment après la longue grève qui avait ébranlé la société familiale. Après ton départ en retraite, durant plusieurs années, je t’ai envoyé un cadeau pour ton anniversaire et une carte de vœux… sans jamais recevoir aucun signe de ta part. J’ai le cœur lourd.

J’ai renoué contact avec toi, et Gilbert, dans les mois qui ont suivi l’arrêt de mon activité professionnelle en 2005. Tu as été ma seule collègue de travail et nous nous entendions bien. Vous avez déjeuné au dôme avec nous. Nous nous sommes rencontrés plusieurs fois chez toi à Annemasse. Et puis, la rancœur, le ressentiment, liés à ton passé ont été les plus forts et le contact a de nouveau été coupé. Dès lors, et bien auparavant, mes pensées se sont envolées de temps à autre vers toi, avec des pincements au cœur, dans une certaine incompréhension, car je pensais naïvement, les années passant, que tu allais te rendre compte de mon « innocence » envers toi. Simple employé comme toi, sans jamais devenir cadre, j’ai travaillé dans l’ombre de ma mère avec laquelle j’ai été régulièrement en conflit quant au fonctionnement du magasin. Une année, en réunion de bilan, j’ai proposé de te donner une prime de bilan suite à l’excellente année que nous avions connue au niveau du chiffre d’affaires et des bénéfices. La gérante a refusé catégoriquement. Ce fût sans appel.

Suite à un rêve « prémonitoire » le dimanche 28 janvier 2018, je t’ai envoyé une carte depuis Madrid avec le message : « Bonjour Arlette, Ta présence à mon côté dans un rêve la nuit passée m’a permis d’apprendre la mort de Gilbert survenue le mardi 12 décembre dernier. Quel que soit ton ressenti envers moi, je tiens à te faire part de mon chagrin. Mes pensées affectueuses accompagnent cette carte. Patrick se joint à moi. Amitiés. André ». J’ignore si tu l’as reçue.

Je t’écris aussi cette missive spontanée du cœur, pour me libérer d’une fausse culpabilité envers toi, car avec le recul, j’ai compris que je n’étais responsable de rien. Tu lis peut-être cette missive derrière mon épaule dans la magie de l’invisible de la vie. Mon cœur est oppressé en écrivant ces lignes. J’ai souvent été dans l’incapacité de saisir la signification de ton attitude envers moi. Quoi qu’il en soit, j’ai toujours gardé un excellent souvenir de toi et du temps que nous avons passé ensemble, avant et après 1978. J’avais rêvé de vous offrir une croisière à Gilbert et à toi, et de la partager nous quatre avec Patrick, mais devant la « détérioration » de ma tentative de renouer avec toi, j’avais baissé les bras. À aucun moment, je n’ai eu un quelconque ressenti négatif en vers toi. J’ai toujours eu de belles pensées.

Après ma mort, j’espère avoir le plaisir des retrouvailles dans la joie et la richesse de ce que nous avions vécu ensemble.

Bien à toi,

André »

jeudi 15 décembre 2022

Les conflits psycho-émotionnels affectant la sphère ORL et les poumons...

 www.neosante.eu/coup-de-froid-pour-la-doxa/

mercredi 14 décembre 2022,

Coup de froid pour la doxa

Depuis quelques jours, je suis occupé à relire et peaufiner les articles du Néosanté de janvier avant de les envoyer à la mise en page. Et je peux vous dire que je me régale ! Dans ce numéro que je vous promets passionnant, il y aura notamment de longs entretiens avec les deux « résistants » que j’admire le plus : la merveilleuse chanteuse Ingrid Courrèges et le brillant statisticien Pierre Chaillot. Ce dernier vient d’achever un livre qui explose la doxa du covid et c’est à notre mensuel qu’il a accordé  sa première interview d’auteur. En gros, le spécialiste des chiffres démontre que tout est faux dans la narration officielle de la pseudo-pandémie : mortalité, hospitalisations, tests PCR, efficacité vaccinale, effets secondaires, rien ne résiste à son analyse minutieuse des données émanant pourtant des gouvernements et autorités de santé. Le jeune youtubeur couche ainsi sur papier toutes les révélations qu’il a distillées depuis bientôt trois ans – sa première vidéo remonte en effet à février 2020, c’est dire s’il a vite compris qu’on se foutait de nous –  via sa chaîne Décoder l’Éco et au fil des réunions publiques du Conseil Scientifique Indépendant (*). Je ne vais pas vous résumer l’ouvrage (qui sortira en janvier  chez l’éditeur bien nommé L’artilleur) ni spoiler l’interview, mais je vais partager les deux passages qui sont à mon sens les plus instructifs et les plus explosifs : celui où Pierre Chaillot exprime sa conviction qu’il n’y a pas de facteur causal viral et celui où il explique que le taux d’infection est étroitement lié aux températures, autrement dit que la grippe covid est indubitablement saisonnière et indéniablement  consécutive à un refroidissement des organismes soumis aux circonstances climatiques. L’air de rien, ces deux éléments sont de nature à faire s’écrouler le paradigme médical pasteurien et à jeter les fondations d’une toute autre compréhension des maladies dites infectieuses.

Cherche contagion désespérément

Sur l’impossibilité que le fléau soit provoqué par la propagation d’un agent infectieux, voici ce que Pierre Chaillot nous a déclaré : « Les modèles épidémiologiques sont basés sur l’hypothèse d’une contagion et permettent de justifier des politiques coercitives pour contrer une « propagation exponentielle de la maladie ». Le modèle le plus utilisé (et médiatisé) est connu sous l’acronyme SIRD. Ces lettres désignent plusieurs « compartiments » au sein d’une population (les Susceptibles, les Infectés, les Rétablis, les Décédés). Dans ce modèle, le début d’une épidémie correspond à une fonction exponentielle, le résultat de l’équation entraîne généralement des prévisions catastrophistes. L’épidémiologiste britannique Neil Ferguson est un multirécidiviste en matière de scénario apocalyptique. Son modèle Covid repose sur 940 paramètres, dont bon nombre sont parfaitement arbitraires. Il prétend recréer une réalité virtuelle dans laquelle on simule les déplacements des individus « Susceptibles », leurs rencontres et la probabilité de « transmission » du virus à chaque rencontre. C’est un modèle plus qu’aléatoire qui donne des résultats complètement différents à chaque fois qu’on le lance. Au cours de mes travaux statistiques ces trois dernières années, j’ai vainement essayé de représenter les différentes vagues de l’épidémie de Covid-19 selon les modèles de propagation. Force est de constater qu’il n’y a aucune trace de courbe exponentielle dans aucune des statistiques de mortalité ! L’observation du nombre de décès quotidiens en France depuis 1972 contredit l’hypothèse de propagation comme responsable de l’augmentation des décès : jamais en période déclarée comme épidémique, il n’est possible d’observer une augmentation suffisamment importante de décès d’un jour à l’autre permettant de confirmer une évolution exponentielle. Les accroissements de décès les plus importants se situent lors de périodes non épidémiques, notamment la canicule de 2003. Dans ce modèle, on pourrait ainsi prouver que la chaleur est une maladie contagieuse.. (…) Mes rencontres avec d’autres chercheurs ont contribué à modifier mes croyances sur la genèse des épidémies. Denis Rancourt, chercheur canadien, a contribué à m’ouvrir les yeux : aucune mortalité hivernale ne s’est jamais propagée. Tous les pays de l’hémisphère nord ont des pics de mortalité simultanés. Il n’y a pas de « propagation » épidémique expliquant la mortalité, il y a une apparition, partout en même temps, de malades, suivie d’une hausse des décès. S’il y avait propagation, on observerait nécessairement sur les courbes de mortalité des décalages de plusieurs semaines à plusieurs mois entre les pics de décès de deux pays. Or les décès sont parfaitement synchronisés tous les ans, tous les hivers pour tous les pays.  Différents échanges stimulants avec d’autres scientifiques, comme Eusèbe Rioché et Jacques Colin de Verdière, qui ont contribué à la rédaction du livre, m’ont conduit à abandonner des présupposés que je croyais « scientifiques ». Au final, je suis arrivé à la conclusion, cohérente sur le plan statistique, que les conditions climatiques sont un facteur majeur dans la survenue des maladies saisonnières et que l’intervention d’un virus tueur n’est pas forcément nécessaire pour expliquer le phénomène. » 

Le rôle capital du froid

Pierre Chaillot a approfondi cette question du rôle du froid et voilà ce qu’il a répondu à notre journaliste Pryska Ducœurjoly : « Dans une partie co-écrite avec Jacques Colin de Verdière, ingénieur chimiste, nous montrons que les variations dans les décès correspondent parfaitement aux variations de température. On peut superposer les deux courbes avec une corrélation parfaite, notamment dans la classe d’âge la plus âgée. J’en ai été le premier surpris. On peut même produire des estimations de décès attendus en fonction des courbes de températures. Ces estimations sont bien plus performantes que les modèles épidémiques actuels ! (…) Que certains soutiennent le fait qu’un virus se propage dans la population, pourquoi pas ?  En revanche, l’analyse statistique ne permet pas de dire que ce quelque chose qui se propage a un impact sur la mortalité ou les hospitalisations. Malheureusement, malgré ses multiples failles, l’hypothèse de la contagion virale fait partie des théories non réfutables. On croit fermement que les malades et les morts sont causés par un mystérieux virus et toute déviation des faits par rapport à l’hypothèse sera expliquée par un caprice du virus : il a muté, il est en sommeil, il y a des asymptomatiques, il se propage non-linéairement, ils sont en fait plusieurs, il y a des super-spreaders, il manque des compartiments dans le modèle, etc. Mon analyse et celles des auteurs contributeurs ne montrent pas que la baisse de température extérieure est l’élément causal de la mortalité. Elle montre uniquement que l’élément causal est à chercher prioritairement parmi les caractéristiques de la personne, dont l’âge est de très loin prédominant, et en second lieu parmi les changements de conditions de vie, notamment celles liées aux saisons. Le changement d’humidité de l’air peut très bien jouer un rôle. Il y a en effet une corrélation presque parfaite entre température extérieure et taux d’humidité. Nous essayons d’élargir la réflexion pour entrevoir d’autres pistes comme par exemple la prise en compte des conditions d’assèchement de l’air par temps froid qui peuvent favoriser la pénétration de particules fines au fond des bronches. Ces particules ne sont pas forcément virales et peuvent aussi bien provenir d’une pollution de l’air ambiant, comme c’était le cas à Wuhan au moment du début de l’épidémie de coronavirus. Cela permet d’entrevoir des solutions peu coûteuses mais qui ne font pas les choux gras de l’industrie pharmaceutique et de leurs sponsors. On pourrait par exemple installer des humidificateurs d’air dans les hôpitaux et les EHPAD.  Modifier notre conception des épidémies ne sera pas chose aisée. Nous avons tous été biberonnés à la théorie virale. Dès que plusieurs personnes tombent malades au sein d’un même foyer, on accuse immédiatement un virus. Or cela pourrait simplement être dû au fait qu’on partage les mêmes conditions de vie, qu’on respire le même air ou qu’on est exposé en même temps à un changement climatique. Des études montrent que la composition cellulaire du sang peut varier selon la saison. Il existe très probablement des liens entre « l’état de santé » (le terrain individuel) et les conditions météorologiques. »

Une étude qui tombe à pic

Le hasard faisant toujours bien les choses,  j’avais à peine envoyé à notre graphiste les propos de Pierre Chaillot que je découvrais une publication scientifique traitant de l’influence du froid sur la survenue du rhume et des pathologies grippales. Je me suis  évidemment empressé d’en faire le sujet de ma petite rubrique ZOOM dans la page Santéchos du prochain Néosanté. Vous voulez la lire en primeur ? Allez, puisque c’est bientôt Noël et que le temps hivernal lumineux qui règne actuellement me met toujours de bonne humeur, je vous communique cette réflexion avant son impression dans notre mensuel de janvier : « Dans son livre (lire pages suivantes), le statisticien Pierre Chaillot démontre que les flambées de grippe covid sont indubitablement et inversement corrélées aux températures :  plus il fait froid dehors, plus les cas de syndromes grippaux attribués au coronavirus augmentent.  Les deux courbes évoluent de manière strictement identique et cela prouve imparablement que la « pandémie » n’était rien d’autre qu’une offensive grippale de moyenne intensité. Cette révélation fracassante tombe à pic car une équipe de scientifiques nord-américains vient justement de découvrir pourquoi le froid facilite le rhume et les autres infections hivernales. Les chercheurs de la Harvard Medical School (USA)  et de la Northeastern University (Canada) ont découvert, à l’intérieur du nez,  une réponse immunitaire jusqu’alors non identifiée à l’égard des virus impliqués dans les troubles des voies respiratoires supérieures.  Selon leur étude publiée en décembre dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology,  cette réponse protectrice est inhibée lorsque les températures sont plus froides, ce qui augmente le risque d’infection. Jusqu’à présent, la science médicale supposait que la saison du rhume et de la grippe se produisait pendant les mois les moins chauds parce que l’air froid et sec fragilise les muqueuses et parce que les gens se confinent à l’intérieur en accroissant ainsi les occasions de contamination.  Ces nouveaux travaux mettent cependant en évidence une autre explication biologique  – la variation de la réaction immunitaire en fonction du climat  – au caractère saisonnier des infections respiratoires. Bien sûr, les chercheurs sont chaussés de lunettes pasteuriennes et ils imputent la causalité pathogène principale aux particules virales. Leur myopie les empêche également de percevoir que les conflits psycho-émotionnels affectant la sphère ORL et les poumons surviennent fatalement plus souvent lorsque les gens s’enferment dans des espaces clos. Leur découverte d’un mécanisme protecteur  entravé par le froid est néanmoins majeure car elle devrait très logiquement conduire à privilégier la prévention naturelle des refroidissements, vu qu’aucun vaccin ni médicament n’empêchera jamais le mercure de plonger. »  Comment prévenir les refroidissements ?  Mère Nature nous procure bien sûr toutes sortes de remèdes efficaces. Dans ce même Néosanté de janvier 2023, on vous rappelle les vertus du miel et on vous révèle que des chercheurs belges viennent de vérifier l’efficacité de l’échinacée sur le covid, ce qui n’a rien d’étonnant puisque cette fleur est déjà une parade éprouvée du rhume et de la grippe. De notre point de vue holistique et psychobiologique, ces précautions « matérielles » seront cependant inutiles si vous ne veillez pas particulièrement à votre hygiène émotionnelle et relationnelle durant la saison froide. C’est si –  et seulement si –  vos relations humaines sont refroidies et qu’un conflit existentiel vous contrarie au point de ressentir le climat comme  glacial et l’atmosphère  comme irrespirable que la maladie respiratoire vous guette. Elle vous tombe dessus ?  Restez sereins  car la médecine nouvelle du Dr Hamer enseigne aussi que les symptômes d’une affection surviennent très généralement lorsque la guérison est déjà en chemin. Pour franchir ce cap parfois délicat, pensez à  relire le « protocole anticovid 100% naturel » que nous avons publié dans le Néosanté n° 125 de septembre dernier.

Yves Rasir

mardi 6 décembre 2022

Info lettre de Yves Rasir du mercredi 30 novembre 2022...

 www.neosante.eu/son-nom-est-perronne/

Son nom est Perronne

Depuis que j’ai recommencé à contempler des « étoiles dans la nuit », autrement dit à admirer de brillants porteurs de lumineuses infos qui éclairent les ténèbres propagandistes et révèlent la grande escroquerie plandémiste, beaucoup d’entre vous me demandent pourquoi je n’ai pas encore accroché le portrait de Christian Perronne dans ma petite galerie galactique. L’explication est simple : je n’ai jamais été un grand admirateur du célèbre professeur et je ne le serai probablement jamais. Certes, je lui reconnais le mérite d’avoir assez tôt lancé l’alerte sur la piteuse gestion de la crise, sur les dangers des injections expérimentales et sur l’existence d’alternatives thérapeutiques. Je le félicite cordialement d’avoir gardé le cap et résisté courageusement à la meute médico-médiatique qui lui est tombée dessus à crocs allongés. Sa récente (mais provisoire) victoire devant l’Ordre des Médecins qui voulait le condamner n’est que la juste récompense de son entrée en résistance. Pour autant, je ne considère pas le personnage comme un héros de l’opposition anticovidiste et je maintiens ma réticence à applaudir ses propos.

Un vaccinolâtre invétéré

D’abord parce que l’infectiologue a toujours été et est toujours un supporter inconditionnel des vaccins. Dans ses livres et dans toutes ses interviews, il répète d’ailleurs qu’il n’est absolument pas antivax et qu’il ne renie nullement son passé de président de la commission vaccinale française et de vice-président de la politique vaccinale à l’OMS. Pour rappel, ce grand prêtre de l’église de vaccinologie figurait en tête de la liste des 200 médecins qui ont chaleureusement félicité le régime autocratique Macron pour sa décision, en 2018,  de rendre 11 vaccins obligatoires pour les nourrissons. Récemment, Christian Perronne a déclaré qu’il avait signé cette tribune à contrecœur et qu’il ne le referait plus aujourd’hui. Mais peut-on lui faire crédit sur ce point alors qu’il reste follement partisan des vaccins ? Certes, il a également confié dernièrement qu’il « commençait à se poser des questions » sur d’autres injections que celle qui le préoccupe actuellement. À force de fréquenter de vrais vaccinosceptiques dans les manifs et dans les médias alternatifs, il a peut-être commencé à examiner leurs critiques et à admettre leur bienfondé. Mais jusqu’à preuve du contraire, le Pr Perronne garde sa pleine confiance dans la technique médicale consistant à injecter un cocktail d’antigènes et d’adjuvants toxiques à des bébés en pleine santé qui n’ont rien demandé. S’il est parti en croisade contre la piqûre anticovid, c’est parce que ce n’est pas un vaccin classique mais une thérapie génique obligeant le corps à fabriquer la protéine antigénique : nuance !  Va-t-il faire le pas et s’interroger sur le principe même de l’immunisation artificielle en prenant conscience qu’elle n’a jamais répondu aux critères de la science ? Qui vivra verra. En ce moment même, l’éditeur Marco Pietteur tente de lui faire préfacer le livre explosif qui va sortir en février prochain et dont Néosanté publie des extraits dans son numéro de décembre. C’est un ouvrage  très documenté qui démontre imparablement que la sécurité des vaccins est un mythe sans fondement vu que la totalité des essais cliniques ne satisfait pas aux standards scientifiques. Perronne en signera-t-il la préface ? Ce serait pour moi le signe qu’il a vraiment évolué et qu’il n’est plus un vaccinolâtre invétéré. En attendant, ne comptez pas sur moi pour l’ajouter dans ma constellation.

Un « Lyme Doctor » dissimulateur

Je suis d’autant moins enclin à le faire que mon contentieux avec lui ne date pas d’hier. Pour ceux qui l’ignoreraient, le professeur a été chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches. Durant sa carrière hospitalière, il a traité toutes sortes de pathologies imputées à des microbes et notamment la maladie de Lyme « due » à une bactérie transmise par les tiques. Avec quelques autres « Lyme Doctors » dont il était la figure de proue en France, Perronne a épousé la théorie selon laquelle cette infection aigue pouvait devenir chronique et provoquer ainsi toutes sortes de symptômes invalidants et persistants. Cette thèse de « l’infection froide » n’est en réalité qu’une hypothèse et elle n’a jamais été démontrée scientifiquement. Malheureusement, elle a été accueillie comme pain bénit par les malades qui pouvaient enfin sortir de l’errance médicale et par des médecins qui pouvaient enfin mettre un nom sur les souffrances de leurs patients. Grâce à des tests sérologiques plus sensibles que ceux habituellement employés, les Lyme Doctors ont pu hurler à l’épidémie planétaire en distillant la paranoïa envers les tiques. C’est ce que j’ai appelé « l’hystérie de Lyme » dans plusieurs infolettres (notamment celle-ci, qui résume un peu les autres) déplorant ce mouvement de panique injustifié, cette crise sanitaire qui n’en était pas une et cette hantise biophobique envers les acariens forestiers. À bien des égards, cette fiction désolante préfigurait l’ouverture postérieure du Corona Circus, dont Perronne est en quelque sorte le navrant précurseur.  Voire un des principaux responsables ! N’oublions pas en effet que les théoriciens du Lyme chronique ont « soigné » à grand renfort d’antibiotiques. Comme il n’existe pas de vaccin efficace contre la borréliose, l’ex-vaccinateur en chef français a lui aussi prescrit des tonnes de médicaments antibactériens pour traiter le syndrome du Lyme « long ». Or, on le sait aujourd’hui, la sévérité de la grippe covid est étroitement corrélée à la dysbiose intestinale, laquelle peut découler d’antibiothérapies répétées. Le lien entre désordre du microbiote et gravité de l’infection covidienne a encore été souligné par la biologiste Hélène Banoun dans le récent article qu’elle a publié dans le journal Infectious Diseases Research. On peut  donc sérieusement soupçonner la pagaille microbiotique engendrée par les médocs biocidaires d’avoir fait le lit de nombreux covid sévères. Mais ce n’est pas tant son amour des antibiotiques que je reproche à Christian Perronne. Mon grief majeur, c’est celui d’avoir dissimulé les résultats d’une expérience édifiante menée dans son laboratoire de Garches. J’ai raconté cette affaire dans mon infolettre du 3 octobre 2018. En bref, l’analyse sur sang vivant de malades de Lyme et d’un échantillon témoin a montré qu’ils étaient TOUS porteurs de la bactérie prétendument coupable ! En procédant à cette expérience, le professeur s’est donné la chance d’abandonner ses croyances héritées de Pasteur. Il ne l’a pas saisie et a préféré conserver ses œillères…

Un covidiste hyper alarmiste

Pasteurien impénitent, Christian Perronne est forcément enclin à crier au loup dès qu’un « virus émergent » montre le bout de sa couronne protéique. Et c’est exactement ce qu’il a fait en 2020 ! Aujourd’hui, il adopte la posture de celui qui a toujours rassuré sur une maladie « pas plus létale » ou « même moins létale » que la grippe ordinaire.  Mais durant les premiers mois du corona-show, il était le premier à agiter l’épouvantail d’un fléau dévastateur. Pendant que Raoult invitait tout le monde à se calmer en déclarant que les pandémies n’existaient pas, Perronne suivait à fond la narration officielle d’un ennemi viral inédit qui allait saturer les hôpitaux et remplir les morgues. Ce qu’il reprochait aux gouvernants français n’était pas leur alarmisme mais au contraire leur attentisme insouciant ! Pour s’en rappeler, il suffit de lire l’introduction du livre « Y-a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? », le premier qu’il a publié chez Albin Michel il y a un peu plus de deux ans. Voici un passage de cet intro éloquente : « Face à la plus grande pandémie de ce siècle, nos dirigeants ont au début constamment sous-estimé la menace. La Ministre de la Santé a alerté le pouvoir, a observé, a attendu puis a disparu. Elle  a juste oublié de prévenir les Français. Elle et son successeur n’ont pas agi avec la détermination qui aurait été nécessaire. ». Dans la suite de l’avant-propos et de l’ouvrage, l’auteur manifeste sans ambiguïté qu’il fallait agir avec force face à « cette crise sans précédent » et ce « virus mortel » présenté comme un terrifiant tueur en série. Il ne condamne pas le port obligatoire du masque, les confinements et toutes les autres mesures liberticides qui se sont avérées délétères, il regrette seulement leur adoption tardive ! En fait, la lecture de ce bouquin est très instructive : elle permet de penser que si Perronne avait été bombardé chef du conseil scientifique, il aurait imposé le même credo viroparano et préconisé la même politique panique. Et que même en l’absence de conflits d’intérêt, il aurait sans doute recommandé les médications antivirales et appelé de ses vœux la planche de salut vaccinale. C’est sa non désignation comme expert et le développement supersonique d’un « faux vaccin » qui a décidé de son parcours dissident, certainement pas son désir de s’opposer au délire totalitaire à prétexte sanitaire. Encore une fois, ce jugement de ma part ne signifie pas que le docteur provisoirement réhabilité par ses pairs n’a pas évolué dans le bon sens et avec bon sens depuis l’écriture de ce premier opus. Dans le deuxième (« Décidément, ils n’ont toujours rien compris », 2021) et le troisième (« Les 33 questions auxquelles ils n’ont toujours pas répondu », 2022), l’auteur  bascule franchement dans le rassurisme et s’écarte de la doxa catastrophiste. Il n’empêche qu’il ne fait pas partie de ceux qui ont vu clair dès le début et qui se sont insurgés contre le récit mensonger des autorités et des médias. Parmi ceux-là et pour terminer ce billet, il y a quelqu’un que j’aimerais « étoiler » comme il le mérite : l’anthropologue Jean-Dominique Michel. Dès juin 2020, ce spécialiste de santé publique avait posé le bon diagnostic dans son livre « Covid : anatomie d’une crise sanitaire » (éditions HumenSciences). Comme l’indique son sous-titre (« l’analyse qui démystifie le discours officiel »), cet ouvrage dézinguait le narratif dominant au lieu d’abonder « perronnement » dans l’alarmisme covidiste. Les faits lui ont donné amplement raison.  Depuis ses premières vidéos percutantes, JDM a multiplié les initiatives informatives au sein du Conseil Scientifique Indépendant et à travers son site anthropo-logiquesDernièrement, il a coordonné le double congrès portugais et marseillais où la crème de l’anticovidisme s’est donné rendez-vous pour donner l’estocade à la mascarade et démontrer par A + B que la saga corona n’était rien de plus qu’une (la ?) banale épidémie grippale maquillée en désastre pour mieux tendre le traquenard vaccinal. Je vous invite à visionner une vidéo récente où Jean-Dominique Michel présente les travaux des congressistes et annonce leur diffusion filmée. Et comme il nous le demande, je vous incite à faire un maximum de bruit pour propager ces conférences ouvreuses de conscience. Le temps des vérités est arrivé.

Yves Rasir

samedi 26 novembre 2022

Christian Bobin est mort... mes yeux se brouillent de larmes...

www.francetvinfo.fr/culture/livres/l-ecrivain-christian-bobin-auteur-de-la-plus-que-vive-et-le-tres-bas-est-mort-a-71-ans_5501046.html

Article publié le 25/11/2022 à 13:14


L'écrivain Christian Bobin

auteur de « La plus que vive » et « Le Très-Bas »

est mort à 71 ans

 L'écrivain Christian Bobin s'est éteint. Révélé au grand public avec son texte sur Saint-François d'Assise, « Le Très-Bas », cet auteur contemplatif était connu pour ses romans ou textes poétiques courts témoignant de son émerveillement pour les choses simples de la vie.

L'auteur français Christian Bobin est mort à l'âge de 71 ans, a annoncé le 25 novembre 2022 sa maison d'édition, Gallimard. Le romancier publiait début octobre dernier, un roman aux éditions Gallimard, « Le Muguet rouge », et une anthologie d'« oeuvres choisies » dans la collection Quarto, « Les Différentes régions du ciel ».

Né en 1951, Christian Bobin bâtit depuis près d’un demi-siècle une œuvre poétique inclassable qui au cours du temps réinvente ses formes. « En privilégiant une écriture concentrée, tantôt faite de notes brèves prises sur le vif comme dans un carnet de peintre, tantôt de visions poétiques très denses, creusant au plus profond de la psyché humaine, il aborde des thèmes universels comme l’amour, la mélancolie, l’absence », dit son éditeur Gallimard dans sa présentation.

Christian Bobin est né au Creusot, dans le sud de la Bourgogne, ville ouvrière. Il est assez attaché à cette cité pour la dépeindre dans le premier texte du recueil, La Cristallerie de la reine. C'est là que s'était installée la fabrique royale de verre sous Marie-Antoinette. Puis les usines sidérurgiques Schneider au XIXe siècle.

« Je suis né dans un berceau d'acier », confiait à l'AFP ce fils d'un professeur en dessin industriel. Mais, chez lui, pas de roman de l'industrie, de réalisme social, de lutte des classes, au contraire : un art pointilliste, tourné vers la nature et le ciel.

« J'ai choisi de m'évader sur place. J'ai reçu des tas d'alliés : des hirondelles qui ont fait leur nid dans un couloir de ma maison, de pauvres fleurs qui cherchaient comme moi à s'évader et poussaient à travers les pavés disjoints du trottoir », explique-t-il. « J'ai préféré aller vers ce qui semble ignorer le passage du temps: les fleurs, l'amour dans sa première timidité, l'attente, la beauté d'un visage, le silence, la longue durée... Toutes ces choses que la vie moderne petit à petit commençait à nous enlever, à nous voler ».

Armé de sa foi en la poésie, il publiait avec régularité des textes courts en prose. Certains ont dépassé 100 000 exemplaires, comme Le Très-Bas, sur saint François d'Assise, en 1992. D'autres sont restés confidentiels. Le Muguet rouge est impossible à résumer. L'auteur le reconnaissait, sans aucune crainte de ce que penserait la critique littéraire de ce livre de "visions" convoquant Dora Diamant (une compagne de Kafka), Blaise Pascal, Gérard de Nerval et le camp d'Auschwitz.

« J'adore ces deux étiquettes qui me sont collées : simple au risque d'être naïf, et obscur au risque d'être hermétique. (...) Mais je suis assez heureux, par exemple, que mes livres touchent des gens qui parfois sont très simples et parfois très érudits », affirmait-il.

Chez lui un seul guide : le sentiment du beau. « Je rêve que les livres ne soient jamais maltraités, comme certains qui, aujourd'hui sur les tables, ressemblent, à la lettre, à des paquets de lessive. (...) Je rêve que les livres soient beaux de part en part ».

dimanche 20 novembre 2022

Que se serait-il passé si la télé n’existait pas ?

 www.neosante.eu/la-supernova-du-canada/

mercredi 16 novembre 2022,

La supernova du Canada

La semaine dernière, je vous disais que la France avait la chance d’avoir Pierre Chaillot et la Belgique Christophe de Brouwer pour voir plus clair dans l’univers des statistiques. Par leurs décryptages des chiffres et de leur manipulation par les autorités, ces deux « étoiles dans la nuit » ont grandement contribué à démontrer toute la fausseté du récit plandémiste. Mais c’est à mon avis au Canada qu’est apparue la source de lumière la plus éclairante incarnée en la personne de Denis Rancourt. Dès l’entame de la saga corona, cet ancien professeur de physique à l’université d’Ottawa est monté au front de la ré-information, d’abord pour dénoncer l’inutilité et la dangerosité des masques, ensuite pour fustiger les autres mesures sanitaires délétères et liberticides. Comme de bien entendu, ses articles scientifiques publiés sur Researchgate ont été  rapidement censurés et ses interventions vidéo prestement bannies des réseaux sociaux. C’est contraint et forcé que le chercheur indépendant et pluridisciplinaire a dû créer son propre site internet pour y loger ses travaux et les mettre à l’abri de la censure. Sur cette page, vous pouvez retrouver la trentaine d’ analyses et de rapports qu’il a produits depuis le mois d’avril 2020. Et sur cette autre page, vous pouvez visionner toutes ses prestations  audiovisuelles, en anglais ou en français. Je vous invite à regarder la toute dernière – sa participation au Conseil Scientifique Indépendant du 10 novembre – car ce  passionnant 78ème numéro du CSI l’oppose courtoisement  aux autres participants (Éric Ménat, Louis Fouché, Hélène Banoun, Olivier Soulier, Emmanuelle Darles). Alors que ceux-ci s’accrochent à la narration d’un fléau infectieux et d’un nouveau virus relativement dangereux, Denis Rancourt objecte tranquillement que cette vision n’est pas la sienne et que tout peut parfaitement s’expliquer autrement.

Les solutions ont créé le problème

À l’instar des deux « stars » française et belge, l’éclaireur canadien souligne d’abord ce que nous avons maintes fois rappelé dans Néosanté : la gravité d’une épidémie ne peut s’évaluer que par la surmortalité toutes causes confondues. C’est la seule donnée qui ne peut pas être biaisée et dont la fiabilité est très élevée. Or il n’y a pas eu d’excès de décès en 2020 dans certains pays ou dans certaines régions d’un même pays durement touché, ce qui indique déjà que le narratif dominant est mensonger. Certes, il y a eu une vraie hécatombe aux États-Unis –  1,2 millions de morts en plus que la normale – mais ce pays partage une très longue frontière et entretient des échanges intenses avec le Canada, où la mortalité excédentaire (+ 3%) a pourtant été dérisoire : cherchez l’erreur ! Selon Denis Rancourt, la surmortalité et son hétérogénéité ne peuvent s’expliquer que par les mesures adoptées durant les premiers mois de la pseudo-pandémie. Ce sont les solutions choisies (masques, confinements, distanciation sociale, …) qui ont créé le problème et non un problème qui exigeait des solutions. Si les mêmes recettes sanitaires n’ont pas rempli les cimetières partout de la même manière, c’est parce que la vulnérabilité des populations diffère fortement d’un pays à l’autre et d’une région à l’autre. Qu’est-ce qu’une personne vulnérable ? Contrairement à ce qu’on pourrait croire, ce n’est pas  tant une question d’âge. Il n’y a pas de corrélation évidente entre l’importance de la surmortalité et le nombre d’habitants âgés. En revanche, Denis Rancourt a trouvé de très fortes corrélations avec le taux de pauvreté et la fréquence du handicap mental. Pour lui, ces deux critères de fragilité ont pesé tellement lourd qu’ils suffisent à expliquer l’ampleur des pics enregistrés aux USA. Certes, les pauvres et les malades mentaux sont également plus sujets aux comorbidités telles que diabète ou obésité. Mais avec les seules variables du revenu et du trouble psychique, on obtient déjà la preuve statistique que les stratégies « non pharmaceutiques » sont les vraies responsables du désastre humain survenu à certains endroits en 2020. 

Le stress a pesé très lourd

Et Denis Rancourt d’insister : chez les individus fragiles, les décisions gouvernementales et l’attitude du corps médical ont eu un impact terriblement violent. Chez les personnes vulnérables, très dépendantes,  séjournant en institution et déjà isolées socialement, la politique de lockdown n’a pu que  nuire directement à l’équilibre psychologique et indirectement au système immunitaire, le second étant intimement lié au premier. Selon le chercheur, en définitive, toute la mortalité excédentaire américaine peut être attribuée au stress infligé par les autorités et à ses effets nuisibles pour la santé. D’ailleurs, on en a statistiquement la preuve :  aux States, les sept ou huit  états qui n’ont pas confiné sont aussi ceux où la pandémie a été la plus clémente. Et inversement, les mesures de confinement et d’isolement sont associées à une surmortalité importante dans les états qui les ont prises. Ce qui est valable outre-Atlantique est évidemment valable en Europe : inutile de vous rappeler que certains pays ont fait mieux que d’autres et que la Suède n’a pas fait pire malgré le « laxisme » de sa gestion de la crise. Quand je lis et que j’écoute Denis Rancourt, je ne peux m’empêcher de constater que ses analyses rejoignent totalement celles de Néosanté quant au rôle prépondérant de la peur panique suscitée par les gouvernements et les médias. Que se serait-il passé si la télé n’existait pas ?

L’hypothèse virale est superflue

Si les médias n’avaient pas propagé la légende d’un terrifiant virus se répandant sur terre, il ne se serait probablement rien passé de spécial : tel est le message central de Denis Rancourt dont les propos ne sont pas sans susciter un malaise palpable sur le plateau du CSI. À plusieurs moments de l’émission, il fait en effet observer que « l’hypothèse virale » est superflue pour expliquer la surmortalité et qu’il n’y a donc pas nécessité à postuler l’existence d’un « pathogène particulièrement virulent ». Quand Louis Fouché note que les urgentistes ont quand même été confrontés à de nombreuses pneumonies atypiques, le chercheur canadien fait gentiment observer que les médecins cliniciens ne sont pas à l’abri de la propagande médiatique et des interprétations biaisées : même s’ils se défient des discours officiels, ils sont naturellement tentés d’y adhérer quand il s’agit de trouver une cause aux cas mortels. Selon Rancourt, les toubibs de terrain auraient probablement « vu la même chose » il y a 5 ans si le contexte de paranoïa virophobique avait été identique. Et tout ce qui est mis sur le dos d’un hypothétique virus peut être attribué, comme en 1918, aux infections bactériennes non soignées. Le chercheur canadien est tellement persuadé que l’explication virale est fausse qu’il réagit promptement à une phrase déplorant l’inefficacité des vaccins : « Si on dit ça, ça veut dire qu’il y avait un pathogène justifiant un vaccin qui aurait pu être efficace.  Or il n’y a aucune raison de croire ça ».  En se positionnant ainsi radicalement, Rancourt manifeste qu’il est sur la même longueur d’ondes que Pierre Chaillot, avec lequel il a d’ailleurs collaboré pour certaines vidéos et pour l’écriture de son livre. Le jeune statisticien français a justement été interviewé hier soir par Jérémie Mercier pour son émission « Science en conscience , autre production de RéinfoCovid-France. Je vous encourage vivement à  visionner  ce numéro intitulé « Les maladies contagieuses existent-elles vraiment ?  »  car il traduit une nouvelle fois que les experts en statistiques sont en train de virer « virosceptiques » à la faveur du covid. Devant les incohérences du paradigme pasteurien en général et les absurdités de la causalité virale en particulier, ils sont bien obligés de raisonner et de remettre en question le dogme de la contagiosité. La thèse toxique est incomparablement plus crédible que la théorie du germe ! Vous remarquerez que Chaillot fait référence à des ouvrages récents dont Néosanté a activement favorisé l’édition et assuré la promotion. Et vous pouvez vérifier que Rancourt a également les mêmes lectures. Ça fait plaisir de voir que des scientifiques balaises puisent aux mêmes sources que nous pour établir la vérité sur l’origine des maladies.

Yves Rasir

mardi 15 novembre 2022

Les autorités sont corrompues au point de nuire délibérément et de mentir volontairement...

 www.neosante.eu/quatre-etoiles-trois-etoiles/

Idriss Aberkane : la dissonance citoyenne

Ma troisième étoile du jour est une nouvelle venue sous ma plume. Et je m’en veux un peu car l’essayiste et conférencier Idriss Aberkane aurait mérité depuis longtemps que je mentionne ses vidéos percutantes et ses interviews toujours enrichissantes, notamment celles accordées à Sud Radio ou à France Soir. À ma grande confusion, je m’aperçois que nous n’avons même pas mis en valeur la sortie en 2016 de son best-seller « Libérez votre cerveau ! », un ouvrage qui est pourtant dans la droite ligne de ce que Néosanté préconise en matière de santé. Depuis le début de la « crise sanitaire », ce polytechnicien multi-diplômé de 36 ans a eu la bravoure de rompre avec l’establishment (où il avait pourtant ses entrées et ses rentrées) et de se positionner en lanceur d’alerte hypercritique, quitte à se faire taxer de complotiste. Pour tout dire, Idriss Aberkane a même participé en 2021 à une émission de l’Info en Questions avec Jean-Jacques Crèvecœur , signe de son engagement résolu aux côtés de chercheurs de vérité.  Si je vous en parle aujourd’hui, c’est parce que l’intellectuel franco-algérien vient de produire une vidéo que j’ai trouvée très intéressante. Partant d’une question candide (« Comment des honnêtes gens ont pu défendre Pfizer ? »), il développe l’hypothèse qu’une grande majorité de la population a été victime d’une forme particulière de dissonance cognitive, qu’il appelle « dissonance citoyenne ». En résumé, il lui était impossible d’échapper à la manipulation car son éveil aurait impliqué d’admettre l’inadmissible, à savoir que les autorités soient corrompues au point de nuire délibérément et de mentir volontairement. Personnellement, je penchais plutôt pour la thèse de l’hypnose collective et/ou celle d’une opération psychologique sophistiquée. La lecture d’Idriss Aberkane permet d’envisager que la confiscation massive des libertés et le méga-scandale vaccinal ont pu s’appuyer sur un « simple » mécanisme mental d’autoprotection. Voilà qui incite à la compassion envers les abusés et qui invite à ne pas les mettre dans le sac des abuseurs…

Jacques Schroeter : quand un avocat accuse

La quatrième « star » que je souhaite étoiler  aujourd’hui s’appelle Jacques Schroeter. Je ne connaissais pas du tout cet avocat suisse et j’ai seulement découvert son existence en lisant le dernier numéro de l’Antipresse, l’excellent hebdomadaire digital dirigé par Slobodan Despot. Comme ce dernier le raconte dans son article « L’infatigable questionnement de Maître Jacques », Jacques Schroeter était sur le point de raccrocher sa robe lorsque la crise du covid a éclaté, avec son cortège de mesures liberticides, d’entorses inouïes à l’état de droit et d’infractions gravissimes à la Constitution. L’avocat s’est dès lors attelé à travailler bénévolement pour interpeller les autorités helvétiques et les rappeler à leurs devoirs. Comment ? En rédigeant des « lettres ouvertes » adressées aux élus et aux membres des exécutifs. En septembre 2021, il avait notamment publié une vigoureuse missive sommant  le gouvernement suisse de mettre un terme à ses « agissements illégaux ». Il y a 15 jours,  le plaideur retraité a récidivé en écrivant une lettre avertissant que le gouvernement suisse devra sous peu « répondre des mensonges et des lois enfreintes durant la crise ». Je vous convie à lire ce texte en cliquant ici car c’est à mon sens une très bonne synthèse de la situation actuelle et universelle : les gouvernements ont menti à leurs peuples, les ont entraînés dans une folle expérience médicale pénalement punissable et doivent maintenant rendre des comptes. Sur le plan juridique, l’avocat récapitule utilement les lois nationales et les conventions internationales qui ont été violées. Et sur le plan scientifique, il étaie son « j’accuse » en résumant très bien l’état des connaissances sur l’inefficacité et l’insécurité des injections. S’il n’est pas, loin de là, le seul défenseur à s’insurger, Jacques Schroeter est peut-être celui qui communique le mieux en direction du personnel politique et du grand public. Et c’est pour ça que je le range dans l’équipe des « galactiques ». N’hésitez pas à transmettre ce document à ceux que l’aveuglement involontaire empêche encore de voir la vérité en face.

jeudi 13 octobre 2022

Parole de MASQUE : bruits de bottes à nos portes...

 « Kit de ré-information » qui redonne et argumente les 5 bonnes raisons de refuser résolument le retour du bâillon buccal. » Texte de Catherine Courson, collaboratrice de Néo Santé, la revue mensuelle de santé globale.

Lien direct :

www.neosante.eu/no-masquaran/