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mercredi 22 mars 2023

Les dangers de l'ego...

 « Il arrive parfois que le fait de comprendre quelque chose produit dans notre for intérieur l'effet d'une explosion de lumière. Grâce aux explications d'Ami, j'étais parvenu à comprendre soudainement tout ce qu'il voulait me dire. Ce monde était une grande famille dans laquelle tous s'aiment les uns les autres et, par conséquent, tous partageaient ce qu'ils possédaient. Maintenant tout me paraissait simple. »

 


« La véritable grandeur ou petitesse des êtres est déterminée uniquement par la mesure de leur Amour...

- Et pourquoi est-ce si difficile ?

- Parce qu'à l'intérieur de nous il y a une barrière qui empêche ou qui freine l'Amour.

- Quelle est cette barrière ?

- C'est l'ego. Une fausse image que nous avons des nous-mêmes, un faux moi. Par conséquent plus l’ego est fort, plus nous nous croyons important par rapport autres. À cause de l'ego, nous nous sentons autorisés à déprécier, à faire du tort, à dominer et à exploiter les autres et même à disposer de leur vie. Puisque l'ego est une barrière à l'Amour, il nous empêche de ressentir la compassion, de la tendresse, de l'affection, de l'Amour. L'ego nous insensibilise face à la vie. Il est alimenté par les idées fausses, par les appréciations erronées au sujet de nous-mêmes, des autres et de l’existence. »

Propos tirés du livre « Ami l'enfant des étoiles » de Enrico Barrios

                                      

mardi 8 novembre 2022

Simon Ferandou

 Un article de France Soir est consacré à Simon Ferandou qui a écrit le journal « 236 jours au ban de la société - Journal d'un non-vacciné » paru aux éditions Gaspeg Poesía.

www.francesoir.fr/videos-pause-interview/simon-ferandou-journal-dun-non-vaccine

samedi 27 août 2022

Hélène Grimaud...

 Je commande en fin de matinée pour notre prochaine étape à Breitenbach le roman « Leçons particulières » d’Hélène Grimaud, née à Aix-en-Provence le vendredi 7 novembre 1969. Ecrivain, passionnée d'éthologie, elle excelle au piano dans ses concerts de par le monde...

Quatrième de couverture : « Je me suis réveillée affamée. Pour n'avoir plus mangé depuis des lustres, j'avais faim de terre, de continents, d'orages, de tumultes. Un appétit dévorant de parfums me tenaillait le ventre - sel sur la peau, résine des grands sapins noirs, herbe en tendresse fauchée au printemps. J'avais envie de mordre la chair crue d'un poisson, de déployer mon ouïe dans la symphonie du monde, de regarder pour voir vraiment et m'éblouir de lumière, de plonger mes mains dans la terre chaude et la gueule humide des loups. Retourner au monde qui roule et qui mugit. »

Comment surmonter ses doutes ? Comment élever son âme ? Comment définir la passion, voire l'amour ? Telles sont les questions que se pose Hélène Grimaud, au cours d'un triple voyage : voyage en Italie dont elle nous fait partager les beautés ; voyage initiatique jalonné de rencontres avec de curieux personnages qui la renseignent sur le sens de la vie ; voyage intérieur enfin, où, au terme de sa quête, elle montre comment retrouver le chemin du bonheur. Ou comment unir, dans la même ferveur, la musique, le monde sauvage et une passion absolue pour l'existence.

jeudi 14 juillet 2022

Préface par Yves Rasir du livre « Pour en finir avec Pasteur » de Eric Ancelet...

 


Préface

Dans  ma bibliothèque pourtant très fournie et mal rangée, il y a un livre que je n’ai aucune peine à retrouver : celui dont vous tenez entre les mains la nouvelle édition remaniée et augmentée. Je le repère aisément  sur mes étagères car c’est l’un des rares qui est défraîchi et un peu abîmé. Son dos est râpé aux deux extrémités et il y a même des pages qui ont réussi à s’échapper de la solide reliure. La rançon de son âge  - 25 ans – et de plusieurs déménagements ?  Pas seulement : cet ouvrage a souffert parce que je l’ai lu plusieurs fois intégralement et que je l’ai consulté à de nombreuse reprises pour en relire des passages. En attestent les pages écornées ou marquées d’une croix, les paragraphes surlignés en fluo et les phrases soulignées au crayon ou au stylo. Vu son état, je n’oserais plus prêter ce bouquin et ça tombe bien car je ne le fais jamais. « Pour en finir avec Pasteur » n’a pas la permission de s’éloigner de mon bureau.  C’est un ami de papier dont il est hors de question de me séparer, fût-ce provisoirement.
 
Si cet essai m’a profondément marqué à sa parution, c’est évidemment en raison de son contenu fidèle au titre et au sous-titre. À l’époque, j’étais déjà  très ouvert aux médecines naturelles et conscient des errements de la médecine conventionnelle, mais je me faisais encore des illusions sur Louis Pasteur, ce « grand savant » dont j’ignorais les talents de pilleur et de faussaire. Ce fut un choc pour moi de découvrir les turpitudes et la malhonnêteté d’un personnage finalement fort peu reluisant. Éric Ancelet ne se contente cependant pas de donner un grand coup de pied dans le piédestal de la statue Pasteur : il en déconstruit la « théorie du germe » et démontre avec brio qu’elle est une véritable mystification scientifique. S’appuyant sur les propos lucides de Claude Bernard et les travaux injustement oubliés d’Antoine Béchamp, tous deux contemporains de Pasteur, il se réfère également aux découvertes ultérieures (les virus, l’ADN et l’ARN, la flore intestinale…) et expose à quel point la médecine dite moderne est basée sur des concepts dépassés. L’agent infectieux n’est rien, ou infiniment peu, sur un terrain suffisamment sain ! Et d’ailleurs, n’est-il pas abusif d’attribuer aux micro-organismes un caractère pathogène ? Le chapitre où est abordée la complexité du système immunitaire est celui qui m’a le plus fasciné : si notre immunité favorise parfois l’entrée d’intrus  bactériens ou viraux, comment peut-on encore soutenir qu’ils sont des agresseurs et que notre corps se défend belliqueusement contre eux ? Aujourd’hui, le brillant et charismatique Dr Louis Fouché invite à qualifier de « diplomatiques » les relations entre l’Homme et les microbes. Il y a un quart de siècle,   Éric Ancelet proposait déjà d’abandonner  les métaphores guerrières et le vocabulaire militaire pour épouser une vision symbiotique des interactions entre l’être humain et le microcosme. Plus précurseur encore, il ne craignait pas de s’aventurer en territoire sulfureux et de suggérer que les maladies ne sont pas des erreurs de la nature mais au contraire des solutions intelligentes forgées au fil de l’évolution. S’il fait s’effondrer le paradigme pasteurien, « Pour en finir avec Pasteur » propose en effet une toute autre compréhension des pertes de santé,  dans laquelle les facteurs psychiques et émotionnels ne sont plus ignorés. À cet égard, le Dr Ancelet est  à la fois un pionnier de la nouvelle psychosomatique et un digne hériter d’Hippocrate, lequel envisageait déjà le patient  dans sa globalité, sans dissocier le corps et l’esprit.
 
La sagesse hippocratique reposant en bonne partie sur l’adage « Primum non nocere » (d’abord ne pas nuire), il n’est  pas étonnant que l’auteur fustige la plus funeste erreur de Louis Pasteur, celle consistant à prévenir les pathologies infectieuses au moyen de vaccins. La contestation du dogme vaccinal est même le fil rouge du livre que vous tenez entre les mains. Non sans témérité, il va jusqu’à comparer la vaccination à une forme de religion fondée sur un ensemble de croyances éloignées de la vraie science. « Vaccinations : science ou croyance ? » :  c’est précisément sous ce titre que j’ai eu le privilège de publier dans la revue Néosanté, au tout début de son existence,  une série d’articles rédigés par Éric Ancelet. Dans ces contributions, le collaborateur occasionnel de notre mensuel approfondissait son analyse critique de la vaccinologie pour en révéler toute la fragilité des fondements scientifiques, les failles multiples et les incohérences flagrantes.  Mais également les dangers potentiels pour l’individu et les conséquences collectives possiblement dramatiques ! Fin 2021, dans le contexte de la pandémie « Covid-19 », il y a pléthore de médecins et de chercheurs  qui s’insurgent à leur tour contre le monopole sanitaire accordé à la vaccination de masse, en dénoncent les risques inconsidérés et en soulignent la dimension quasi-religieuse. En écoutant et lisant ces nouveaux « hérétiques », appartenant pour certains au gratin scientifique,  je ne peux m’empêcher de penser qu’un modeste  docteur vétérinaire avait pressenti et décrit dès 1998 vers quelle dérive médicale nous entrainerait l’idéologie vaccinale…
 
Terriblement actuel et singulièrement prémonitoire, le livre d’Éric Ancelet prend parfois des allures de noir réquisitoire. Dans son prologue, par exemple, il  écrit que  « les programmes sanitaires internationaux perpétuent sans doute, sous couvert d’humanisme, le plus gigantesque génocide de l’histoire du monde ». Et un peu plus loin, il exhorte le lecteur « à prendre conscience de l’énorme collusion de la recherche et de l’économie marchande », alliance perverse qui conduit selon lui à la domination  du genre humain par une technocratie inféodée à l’industrie pharmaceutique. Quant aux experts désignés pour piloter les politiques de santé, il soupçonne qu’ils soient manipulés et que leur rôle soit « de rendre acceptable l’inacceptable aux yeux de l’opinion publique ». Imprimées au siècle dernier, ces lignes vont immanquablement être taxées de « complotistes » à l’occasion de cette réédition. C’est dire à quel point elles méritent d’être prises au sérieux et d’être envisagées comme le dévoilement de la vérité. Car notre époque de grande tribulation est aussi l’opportunité de grandes révélations potentiellement salvatrices. S’il peut passer pour un prophète du pire, Eric Ancelet est à mes yeux plutôt un annonciateur d’avenir meilleur. J’en veux pour preuve le texte « Pour en finir  avec nos peurs » qui a été sollicité et  mis en exergue par l’éditeur Marco Pietteur. Si on le lit bien, cet ajout à la version initiale n’est pas peu optimiste : il constate que l’escroquerie pasteurienne n’a pu triompher qu’en exploitant les peurs ancrées dans la psyché humaine. Or celle-ci est capable de les chasser et de s’en débarrasser, pourvu qu’elle soit alimentée par de bonnes informations. Idem pour l’article « Virus & immunité : la symbiose ignorée », proposé en annexe et publié à l’origine dans Néosanté.  C’est un très encourageant « nouveau regard sur le vivant » qui énumère de récentes avancées des connaissances allant dans le bon sens, celui des liens intrinsèquement harmonieux entre l’Homme et son environnement. Au diable la diabolisation des particules virales, bienvenue dans le paradigme authentiquement écologique qui les disculpe et qui voit l’immunité comme un « hymne à l’unité », non comme un arsenal guerrier. Bref, je ne crois pas me tromper en supposant qu’Éric Ancelet est, comme moi,  plus confiant aujourd’hui qu’hier sur ce que  nous réserve demain.  La tyrannique imposture vaccinale peut s’écrouler  d’une pièce dès lors que son indéniable inanité et ses épouvantables dangers seront en pleine lumière et visibles de tous.  À mon humble avis, ce moment bénéfique approche et l’ouvrage que vous allez lire aura beaucoup contribué à le faire advenir. C’est un honneur et un bonheur  pour moi de le préfacer.

Yves RASIR, éditeur et rédacteur en chef de la revue Néosanté

vendredi 11 mars 2022

Francoise Degois

  Maintenant en librairie : “L’homme qui n’avait pas d’amis” ou la chronique d’un quinquennat épuisant et chaotique dont la France sort  fracturée et divisée...

dimanche 6 mars 2022

Livre de Marie-Estelle Dupont « Se libérer de son moi toxique »...

 « A côté de quoi vous ne voudriez pas être passé le jour où vous mourrez. Au lieu de fuir la peur de la mort par divers artifices, on peut utiliser la mort comme ce qui nous donne le droit de dire non à ce qui n’est pas essentiel, le droit de ne pas se mettre la pression pour des futilités. »

vendredi 14 janvier 2022

Livre « Simplifions-nous la vie ! » de Gaspard Koenig & Nicolas Gardères... Gaspard est candidat à l'élection présidentielle...

 RÉSUMÉ

« Pendant plusieurs mois, le philosophe Gaspard Kœnig et le juriste Nicolas Gardères ont parcouru la France pour recueillir des milliers de témoignages liés à l’enfer bureaucratique. Artisans, allocataires sociaux, agriculteurs, militants associatifs, citoyens soucieux de bien faire, nous sommes tous enfermés dans cette « cage d’acier » que redoutait Max Weber. Ce n’est pas une question de paperasse mais de justice sociale. L’excès de normes exclut, discrimine, opprime. Il favorise les puissants et met les faibles dos au mur. Les auteurs proposent une méthode de simplification radicale, inspirée par la Révolution française : le projet Portalis. Simplifier, c’est faire à nouveau confiance au jugement individuel, aux solutions locales, au dialogue et au compromis. C’est faire le pari de la liberté. À l’approche de l’élection présidentielle, un véritable projet de société. »

Gaspard Kœnig est un philosophe engagé, auteur d’une douzaine d’essais et de romans, et fondateur du mouvement SIMPLE. Nicolas Gardères est docteur en droit public, avocat, et maître de conférences à Sciences Po Paris.

mardi 12 octobre 2021

Biologiste américaine Pamela Acker...

 En lisant le livre de Pamela Walker, vous  pourrez réaliser combien la vaccinologie est réductrice, simplificatrice et présomptueuse en se targuant de faire mieux que la Nature.  Vous y apprendrez comment la vaccination peut affaiblir la population et la rendre plus vulnérable aux infections.  Alexandra Henrion-Caude signe la préface de l’édition  française...


A lire aussi l'article des trois chercheurs français Pierre Sonigo, Caroline Petit et Nathalie Jane Arhel :

"Faut-il vacciner contre la détection par PCR ou contre la maladie Covid-19 ?"

www.jle.com/fr/covid19-vacciner-contre-detection-par-PCR-ou-contre-maladie-covid19

jeudi 30 septembre 2021