lundi 31 octobre 2022
dimanche 30 octobre 2022
samedi 29 octobre 2022
Pensée du jour
Il existe pour le pauvre en ce
monde deux grandes manières
de crever, soit par l'indifférence
absolue de vos semblables en
temps de paix, ou par la passion homicide
des mêmes la guerre venue ».
Céline
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vendredi 28 octobre 2022
Pensée du jour
Si quelqu'un t'a
offensé, ne cherche pas à te
venger. Assieds-toi au bord
de la rivière et bientôt tu verras
passer son cadavre.
Lao-Tseu
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jeudi 27 octobre 2022
mercredi 26 octobre 2022
Maya Angelou
« Le préjugé est un fardeau qui obscurcit le passé, qui menace l’avenir et qui rend le présent inaccessible. »
mardi 25 octobre 2022
Régis Debray
Pensée du jour
N’allez pas où va le chemin. Allez là où il n’y en a pas encore, et ouvrez la route.
Ralph Waldo Emerson
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lundi 24 octobre 2022
Livre « Le désordre et la vie » de Jacques Chancel...
« Il faut tant de fuites pour distraire la réalité ! »
Pensée du jour
Le glacier craquait et je me disais que nous autres,
enfants du XXI° siècle, n'avions pas de chance : les gla-
ciers fondent, la forêt tropicale recule, les espèces dis-
paraissent, les mammifères marins se retirent. Seuls se
répandent les hommes et l'idée du Dieu unique.
Sylvain Tesson
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dimanche 23 octobre 2022
Pensée du jour
Le nationalisme n’est pas une opinion, c’est une idolâtrie. J’ai l’âme trop laïque pour goûter les dévots.
François Reynaert
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samedi 22 octobre 2022
Pensée du jour
la liberté est liée à la qualité du langage et les bureaucrates qui veulent
détruire la liberté ont tous tendance à mal écrire et mal parler, à se
servir d'expressions pompeuses ou confuses, à user de clichés qui
occultent ou oblitèrent le sens
Georges Orwell
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vendredi 21 octobre 2022
jeudi 20 octobre 2022
Jacques Brel...
« Je vous souhaite de respecter les différences des autres, parce que le mérite et la valeur de chacun sont souvent à découvrir. »
Pensée du jour
Si j’avais mille âmes, je te les donnerais toutes ; je n’en ai qu’une, prends-la mille fois.
Proverbe espagnol
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mercredi 19 octobre 2022
Pensée du jour
Avec
une régularité inexorable, nous avons observé des « gens bien » se
plier aux exigences de l’autorité et accomplir des actions cruelles et
dangereuses. Des hommes qui, dans la vie de tous les jours, se
comportent de façon probe et responsable, succombant aux pièges
séducteurs de l’autorité, du contrôle de leur perception et de
l’acceptation aveugle de la situation définie par l’expérimentateur, se
sont mis à commettre des actes d’une grande sévérité.
Stanley Milgram
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mardi 18 octobre 2022
Pensée du jour
La civilisation signifie, avant toute chose, la répugnance à infliger gratuitement de la douleur. Selon cette définition, ceux d’entre nous qui acceptent inconsidérément les ordres de l’autorité ne peuvent se dire des hommes civilisés.
Harold J. Laski
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lundi 17 octobre 2022
Albert Camus, lors de la remise du prix Nobel de littérature le 17 octobre 1957...
Pensée du jour
Tant que les lions n'auront pas leurs propres historiens, les histoires de chasse continueront de glorifier le chasseur.
Proverbe africain
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dimanche 16 octobre 2022
Pensée du jour
Obéir est le choix le plus simple, le moins « coûteux », celui qui, paradoxalement, répond au besoin psychique de protection de soi, quoiqu’il se paye au prix d’un renoncement à sa propre identité.
Stanley Milgram
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samedi 15 octobre 2022
Pensée du jour
Il
n'y a pas de loi qui résiste au devenir, pas même les lois qui le
régissent. La seule loi immuable, c'est qu'aucune autre ne l'est.
Philippe Quéau
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vendredi 14 octobre 2022
Pensée du jour
Avec un souci de rendement comparable à celui d’une usine de pièces détachées, on a construit des chambres à gaz, gardé des camps de la mort, fourni des quotas journaliers de cadavres. Il se peut que des politiques aussi inhumaines aient été conçues par un cerveau unique, mais jamais elles n’auraient été appliquées à une telle échelle s’il ne s’était trouvé autant de gens pour les exécuter sans discuter.
Milgram Stanley
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jeudi 13 octobre 2022
Parole de MASQUE : bruits de bottes à nos portes...
« Kit de ré-information » qui redonne et argumente les 5 bonnes raisons de refuser résolument le retour du bâillon buccal. » Texte de Catherine Courson, collaboratrice de Néo Santé, la revue mensuelle de santé globale.
Lien direct :
Pensée du jour
Depuis que l’homme est au service de l’économie, elle-même au service de la finance, l’être humain n’est plus qu’une variable d’ajustement du modèle. L’équilibre déjà fragile entre la condition humaine et les infrastructures économiques et sociales est rompu depuis une trentaine d’années.
Raphaël Rossello
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mercredi 12 octobre 2022
Une manie médicale moderne qui fait au contraire beaucoup de ravages !...
www.neosante.eu/la-peste-soit-du-depistage/
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Pensée du jour
La rose est sans pourquoi, fleurit parce qu'elle fleurit,
N'a souci d'elle-même, ne désire être vue.
Angelus silesius
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mardi 11 octobre 2022
Hier... Journée à Genève pour déjeuner avec notre amie Corinne...
Nous partons après dix heures pour la Suisse. Nous allons d’abord chez Grand Frais à Argonay pour des emplettes. À Annecy Nord, nous prenons pour la première fois l’autoroute pour Genève. Tunnels et viaducs se succèdent, dont un tunnel de plus de trois kilomètres qui passe sous le mont Sion. La construction du tunnel, constitué de deux tubes principaux, s’est étalée sur deux années. Les plus de dix huit mille voussoirs qui jalonnent les deux tubes furent fabriqués dans une usine spécialement créée. Nous payons huit euros dix au péage de Saint-Martin-Bellevue. Nous arrivons à onze heures dix au parking Ernest Ansermet. Le ciel est bleu et le soleil brille. Nous marchons tranquillement vers notre destination en traversant la plaine de Plainpalais, un poumon d’espace libre dans la ville. Renato nous accueille chaleureusement au restaurant « Le Sunset » sur la rue Saint-Léger dans le quartier des philosophes. Nous bavardons des incertitudes nées de la folie ambiante planétaire avant d’aller nous promener dans le parc des Bastions où, au centre du Monument international de la "Réformation", nous nous attardons devant les statues de Jean Calvin, Guillaume Farel, Théodore de Bèze et John Knox. Les couleurs de l’automne s’accentuent et les feuilles mortes tapissent harmonieusement le sol par endroits. Les oiseaux se promènent comme nous. Nous sommes de retour au restaurant pour midi. La décoration fait la part belle à la proche fête d’Halloween. Notre amie Corinne arrive. Nous nous installons confortablement. Le roman « Foufounes Électriques » est offert. Renato prend notre commande. Nous optons de concert pour un pita au fromage. Nous sirotons un jus pomme, carotte, orange, gingembre tout en savourant le plat coloré et appétissant. Nous bavardons agréablement sur le déroulement de nos vies depuis notre dernière rencontre. Nous nous séparons dans la joie et le plaisir de nous retrouver prochainement. Patrick effectue le paiement pendant que je me rends aux toilettes. Nous offrons le recueil « Poésie de Brisbane » à Renato qui nous dit avoir effectuer son voyages de noces, voici bien longtemps, en Australie. Nous saluons notre hôte et nous prenons à pied la direction du centre Manor. En chemin, après une visite du magasin de chaussures « Pompes Funèbres » dans la rue de la Corraterie, je m’attarde plus avant devant une œuvre exposée dans la vitrine de la galerie Bel Air Fine Art. Une fillette et le cadre, « à l’audace anachronique délicieuse » comme l’a écrit Pierre Corneille en son temps, où elle se détend, me captivent. Peu avant notre destination, nous découvrons la vitrine du magasin de chaussures Pomp It Up sur la place Grenus. Nous entrons. Élisabeth nous accueille. Ses sourires éclatants, ses conseils, son efficacité attentive et chaleureuse m’offrent d’acheter une paire de chaussures très confortables qui correspondent tout à fait à ma demande. Malcha, à la grâce fascinante, nous accueille à la caisse. Nous bavardons plaisamment. Son prénom vient du Sri Lanka. Le cœur léger, nous quittons le magasin et nous allons chez Manor situé à quelques pas. Cette fois, c’est Amina qui nous accueille à l’entrée ; elle anime le stand temporaire des chocolats Villars. Nous bavardons. Amina m’offre une bouchée de chocolat à 72% de cacao. Son prénom vient d’Algérie. Nous optons pour trois plaques de chocolat, proposées à moins trente pour cent, glissées par notre hôtesse dans un coquet sachet en carton qui illustre la marque suisse réputée. Après le paiement, nous montons dans les étages par les escaliers mécaniques. Le deuxième étage est maintenant entièrement consacré à la confection pour hommes. Patrick achète un pull bleu en laine d’agneau à col rond au toucher soyeux. Samir nous accueille à la caisse. Son prénom vient du terme arabe « sâmir » qui signifie « compagnon de veillée ». Le dernier étage est maintenant occupé par la Fnac. Le restaurant Manora existe toujours et la formule, que nous connaissions avant la crise politico-satinaire, a été maintenue. Nous sortons du grand magasin et nous prenons la direction de la rue de la Confédération. Dans la rue Rousseau, des échantillons de cosmétiques sont offerts aux passants ; composés uniquement de produits chimiques, j’en fais la remarque à l’homme qui confirme mon propos, ne voyant pas comment faire autrement. Je l’invite à regarder amaroli sur Internet. Sur le Pont de la Machine, nous entrons dans l’espace « Quartier Libre » où l’exposition en cours, intitulée « ( R )Evolution Collective ! », présente en collaboration avec la BØWIE Art Gallery, la première galerie d'art queer et féministe de Genève, de nouvelles œuvres et de nouveaux artistes émergents qui offrent leur interprétation des questions de genre et LGBTIQ+ à travers des peintures, des photographies, des installations, des vidéos et des performances. Nous achetons une carte postale qui représente deux garçons qui s’embrassent fougueusement sur la bouche. Nous reprenons notre chemin. Nous entrons dans la librairie Payot et nous nous installons au salon de thé Carasso au premier étage. Emma nous accueille avec le sourire. Nous sirotons un thé tout en découvrant des livres. Je commence la lecture du tome trois du roman « Les thés meurtriers d'Oxford », intitulé « Flagrant délice » de Hsin-Yi Hanna. Je parle de ma lecture à Patrick et je lui dis ne pas être prêt à intégrer des meurtres dans mes romans. Il trouve un titre pour un roman avec un meurtre fantaisiste : « On a assassiné ma plaque de chocolat ». Patrick repart à la découverte de livres. Il achète le livre de poche « Entremonde » de Neil Gaiman et Michael Reaves. La jeune fille attablée à ma droite s’est absentée. Trois livres sont présents sur sa table. Sa tablette tactile est posée en travers du livre en version anglaise, « Miracle morning - Offrez-vous un supplément de vie » de Hal Elrod. À la droite de son smartphone, je lis sur la couverture rouge d’un autre livre, les mots « Gstaad Palace Switzerland » ; le palace est célèbre pour son architecture romantique. Après une petite heure de détente, nous quittons ce lieu aux milliards de mots prêts à attiser l’imaginaire. Je vais régler l’addition au comptoir. Je remercie Emma pour la qualité de son service et je lui dis que la belle Emma Peel, le personnage fictif de la série télévisée britannique « Chapeau melon et bottes de cuir », interprété par l'actrice Diana Rigg, lui ressemble. Emma, toute jeune, ignore tout du personnage, mais le compliment lui fait plaisir. Nous retournons tranquillement au parking. Dans la rue de la Corraterie, je prends en photo de profil un monsieur âgé assis sur un banc qui semble lire sur son smartphone. Arrivés à onze heures passées, nous payons douze francs à dix-sept heures pour un peu moins de six heures de stationnement. Nous reprenons l’autoroute. Après une file d’attente à la douane de Bardonnex et une autre à la sortie de l’autoroute, nous arrivons chez nous avant dix-huit heures. Combien de temps aurions-nous mis par la route que nous prenons habituellement ? Je prends en photo nos achats avant le dîner…