lundi 21 novembre 2022

Matinée à Barcelone avant le retour à Salou...

    Nous quittons la chambre après les derniers préparatifs.  Une fois les bagages déposés dans le coffre de la Cuore au garage du Citadines, nous allons chez Primark, "noir de monde". Je choisis des chaussettes fantaisie et une polaire blanche avec des liserés vert mousse. Patrick sélectionne un pantalon et un combi pantalon d’intérieur et tee-shirt à manches longues. Les prix bas défient toute concurrence. Nous intégrons la file d’attente pour effectuer le règlement. Nous allons ensuite au marché La Boqueria sur la Rambla. J’achète un pitaya (fruit du dragon) aux Fruits Micó. Patrick s'offre des mangues séchées chez Vidal Pons ; il en teste un morceau. Nous nous promenons dans les alentours. Nous découvrons un magasin de chaussures Skechers à l’angle de la carrer del Duc et de la calle de la Portaferrissa où diverses paires de chaussures me conviennent ; une adresse à retenir. Nous suivons la large rue piétonne avenida del portal de l'angel où un magasin Zara et un grand magasin El Corte Inglés sont implantés.

    Nous déjeunons au restaurant-buffet FrescCo au 30 carrer de Casp. Une douce chaleur contraste avec le froid extérieur ; le ciel est nuageux. Hier, un grand ciel bleu et un chaud soleil resplendissaient sur la ville catalane. Chaque buffet à volonté revient à moins de douze euros. Des crudités, légumes crus et houmous sont appréciés en entrée. Je savoure ensuite deux petites parts d’aubergine farcie. Le plat étant vide, je prends ensuite une demi pomme de terre en robe des champs et des pâtes à la sauce tomate. La salle est vaste et des tables sont occupées. Une fillette avec sa maman s'offrent des glaces au distributeur dans l’espace dessert près de notre table. Une fois sortis du restaurant, nous donnons deux euros à une dame qui fait la manche (nos regards se sont croisés en arrivant et je pensais que c’était un homme) ; elle fume. Je lui montre sa cigarette avec un sourire. Nous retournons au parking et nous quittons Barcelone vers treize heures trente. Patrick prend le volant. Contre toute attente, deux péages nous arrêtent en route qui totaliseront près de douze euros ! Nous rejoignons l’autoroute A7, gratuite. Nous sommes de retour chez nous après quinze heures...






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