Les villageois des champs ouverts, eux, avaient tout à perdre des afflux étrangers. Ceux-ci rêvaient de remparts puisqu’ils n’en avaient point. Ceux-là possédaient une citadelle, ils pouvaient se permettre de placer la part du pauvre à table et d’attendre sa visite. En somme, on souffrait davantage de la mondialisation dans une plaine que derrière les murets.
Sylvain Tesson
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