Bonjour à toutes et à tous,
Nous avons préparé
quatre fiches successives pour vous faire redécouvrir un écrivain trop
oublié pour avoir été trop fêté, et qui mourra pour avoir trop aimé cette Asie
des sortilèges.
Homme de tous les
talents, il a été considéré par ses pairs comme, je cite : « Un
des romanciers les plus originaux de la période 1900-1914 », ou encore
: « Un des meilleurs romanciers du siècle naissant », et
celui-ci : « Il restera dans l’histoire littéraire de l’Indochine,
comme Rudyard Kipling dans celle de l’Inde ! », et encore cette
consœur indochinoise : « L’Indochine a eu cet homme de génie
pour la chanter ».
Ce grand
écrivain, c’est Henry Daguerches. Capitaine de l’artillerie
coloniale, il avait découvert l’Asie et ses rêves en Chine, pendant la
révolte des Boxers. Il revint en France, et c’est pendant ses séjours à
Angoulême puis à Toulon qu’il écrivit son premier roman « Consolata
fille du soleil » : « Un émerveillement de grâce et
de poésie, des pages si fraîches, si nouvelles, si séduisantes »
écrivait Edmond Jaloux.
Alors laissons nous séduire ! Et surtout prenez bien soin de vous en
cette période qui s’annonce comme celle de tous les dangers.
François Doré... le libraire de
Sukhumvit en Thaïlande.
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