mardi 17 novembre 2020

Henry Daguerches, écrivain...


 Bonjour à toutes et à tous,

    Nous avons préparé quatre fiches successives pour vous faire redécouvrir un écrivain trop oublié pour avoir été trop fêté, et qui mourra pour avoir trop aimé cette Asie des sortilèges.

    Homme de tous les talents, il a été considéré par ses pairs comme, je cite : « Un des romanciers les plus originaux de la période 1900-1914 », ou encore : « Un des meilleurs romanciers du siècle naissant », et celui-ci : « Il restera dans l’histoire littéraire de l’Indochine, comme Rudyard Kipling dans celle de l’Inde ! », et encore cette consœur indochinoise : « L’Indochine a eu cet homme de génie pour la chanter ».

     Ce grand écrivain, c’est Henry Daguerches. Capitaine de l’artillerie coloniale, il avait découvert l’Asie et ses rêves en Chine, pendant la révolte des Boxers. Il revint en France, et c’est pendant ses séjours à Angoulême puis à Toulon qu’il écrivit son premier roman « Consolata fille du soleil » : « Un émerveillement de grâce et de poésie, des pages si fraîches, si nouvelles, si séduisantes »  écrivait Edmond Jaloux.

     Alors laissons nous séduire ! Et surtout prenez bien soin de vous en cette période qui s’annonce comme celle de tous les dangers.

François Doré... le libraire de Sukhumvit en Thaïlande.




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