dimanche 31 janvier 2021

Budens : Dimanche 31 janvier 2021

Un ciel bas et nuageux recouvre le village de Budens. En début de matinée, le soleil s’intercale dans une trouée vers l’horizon, éclipse d’un instant. Nous effectuons une promenade sur la colline qui domine la vallée. Nous observons une nouvelle fleur blanche étonnante. Le monde continue sans nous.

 



 

Film « Ohana ou le trésor caché »...

Après une promenade sur les collines qui surplombent le village de Budens, nous sommes emportés par la magie du cinéma qui nous dépose notamment sur l’île d'Oahu à Hawaï. Hālona Beach Cove sur la côte est, la vallée pittoresque et verdoyante de Kualoa, ainsi que les grottes de Phuket et Krabi en Thaïlande, servent d’écrin à l’intrigue du film avec l’impressionnante chaîne de montagnes Ko'olau en toile de fond. Un  ancien carnet de voyage du passé qui ressemble à un grimoire empreint d’enchantement, des sentiers reculés, des lieux secrets, des légendes hawaïennes, des clins d’œil à des tournages de cinéma célèbres, participent aux aventures mouvementées de la jeune Pili, de son frère Ioane, d’Hana et Casper, qui prennent des airs de quête épique. Leilani, la mère de Pili et Ioane, Kimo leur grand-père, surfent sur leurs émotions et leurs souvenirs, baignés par la musique de Joseph Trapanese, le compositeur de la trame musicale du film… 




Pensée du jour

 

 J’ai toujours pensé que mourir était un acte, le dernier de notre vie, et que cet acte était un accomplissement et une transmission.
C’est ce dernier acte qui n’a pas été respecté, pendant le confinement, pour tant de personnes qui sont mortes seules, sans personne à leurs côtés. Les au-revoir, les adieux n’ont pas eu lieu.

Marie de Hennezel
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samedi 30 janvier 2021

Budens : Samedi 30 janvier 2021

 Découverte de Vila Obispo, du menhir de Padrão et la plage de Praia da Ingrina.

 




 

Vila do Bispo - Praia da Ingrina - Menir de Padrão...

 Après le déjeuner, nous partons nous promener à Vila do Bispo, un village distant d'une dizaine de kilomètres qui fut le grenier de l'Algarve. Nombre de moulins ont disparu. Nous flânons dans les ruelles qui cascadent sur les coteaux. L’insolite, le pittoresque, les couleurs, les vestiges, les signes du vivant, freinent agréablement nos pas. Dans une propriété, un ancien moulin à vent rénové avec bonheur participe à la vie d’une famille. Autre part, un jeune homme sort de chez lui pour se sécher les cheveux avec un drap de bain suspendu au vent devant la maison. La simplicité, la sensation de farniente et d’insouciance, de libre choix, la douceur de vivre, le naturel, la liberté des villageois, contrastent avec le village de Cranves-Sales où nous avons vécu nombre d’années ; tout était de plus en plus planifié, agencé, développé, coordonné, prévu, délimité, aménagé selon des objectifs sans cesse renouvelés dans une sensation de plus en plus présente d’enfermement dans les réglementations. Une dame âgée nous salue depuis sa terrasse qui surplombe la ruelle très inclinée. La pierre des rambardes ouvragées a été peinte en bleu. Coiffée d’un bonnet, elle nous répète le mot « frio » [froid] » qui correspond à son ressenti. Aujourd’hui, l’air est plutôt tiède et les rayons alternatifs du soleil bien agréables. Deux hiboux créatifs colorés se remarquent sur un muret de chaque côté d’une ancienne porte en bois surmontée d’un fer à cheval. La quasi-totalité des ruelles sont pavées et les bordurettes, une maladie en Haute-Savoie et probablement un peu partout en France, sont inexistantes.

Nous prenons ensuite la direction d’un site annoncé sur un panneau le long du trajet. Nous cherchons un mégalithe : le « Menir de Padrão ». Au feu-rouge à l'intersection, je prends en photo une série de panneaux indicateurs. Au pied des deux poteaux, une pancarte indique que la "Pizzeria Point" est ouverte. Le site est signalé par deux panneaux dans chaque sens de la route étroite, distants d’au moins deux kilomètres. Nous nous arrêtons, nous suivons un chemin de terre, nous traversons un champ, en vain. Le mégalithe reste introuvable malgré sa présence signalée sur l’écran de l’iPhone de Patrick. Nous reprenons la route qui mène à une plage : la Praia da Ingrina. Nichée dans une crique, prise d’assaut par les vagues en rouleaux qui déferlent d'un seul front, elle attire des surfeurs. Un homme barbu assis à l’arrière de son véhicule, pieds nus, répond en français à mon bonjour. Nous échangeons quelques mots. Nous marchons sur le sable. Une fillette court après son ballon emporté par le vent. Il s’arrête derrière Patrick qui croise le regard de la fillette souriante. Nous décidons de grimper sur les falaises qui se succèdent le long du littoral en suivant des sentiers fléchés. Les diverses criques que nous admirons sont assaillies par les vagues fougueuses qui s'évanouissent dans des jaillissements d’écume qui s’envolent vers le ciel. Les offensives bouillonnantes, tumultueuses, jaillissantes, se succèdent sans fin pour notre plus grand plaisir. Nous revenons sur nos après ces instants de beauté, de majesté, de splendeur et d’émerveillement. Un jeune homme exprime sa joie en dansant sur le parking, un autre s’affaire devant plusieurs planches de surf disposées à côté d’une camionnette transformée en camping-car où une jeune fille lit allongée sur un matelas qui affleure le hayon arrière. Nous persévérons au retour dans la recherche du mégalithe. Nous nous en approchons après deux arrêts pour le situer sur l’iPhone. La chance opère. Patrick est aux anges. Nous trouvons le monument néolithique à proximité d’une maison attrayante par sa conception en plusieurs constructions. La pierre millénaire est froide sous mes paumes. Je tente, vainement, de communiquer avec elle pour connaître son histoire. Elle daterait du quatrième millénaire avant Jésus-Christ. Nous revenons ensuite tranquillement chez nous...































Citation

 

 Si vous pensez que l'aventure est dangereuse, je vous propose d'essayer la routine.... Elle est mortelle !

Paulo Coelho

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Pensée du jour

 

 Le temps qui nous est donné, on a tendance à le perdre. On ne profite vraiment que du temps qu'on prend parce qu'il ne nous est pas donné.
     
René Bellaiche
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vendredi 29 janvier 2021

Budens : Vendredi 29 janvier 2021

 Un ciel bas et lourd de nuages s’étire au-dessus de Budens. La promenade le long de la rivière en direction de la plage se déroule sous une brume mouillée. Nous observons des boutons de roses qui s’épanouissent derrière une murette. Un puits à l’abandon se dresse près de la route. La journée sera pluvieuse.

 



 

Beauté de la Terre...

Un pilier de lumière est un phénomène optique atmosphérique se présentant sous la forme d'une colonne de lumière verticale qui semble s'étendre au-dessus et (ou) au-dessous d'une source de lumière. 

Pensée du jour

 

 Tout est si violent. Comme ce geste qui suscite chez eux un haut-le-cœur : devoir placer – certains m’ont même dit « jeter » – le cadavre dans une housse, sans toilette mortuaire préalable, puis dans le cercueil pour une mise en bière immédiate.

Marie de Hennezel
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jeudi 28 janvier 2021

Budens : Jeudi 28 janvier 2021

Un brouillard épais recouvre le village de Budens. La visibilité est très courte. Le Soleil est un fantôme derrière ce rideau gris. Nous effectuons une promenade autour du terrain de golf. Etrange météo qui se poursuit tout au long de la journée. Une éclaircie vers le soir nous permet d’admirer la Lune.

 


 

« Escroquerie à l’échelle planétaire »…

 Trois remèdes à la « variant-phobie »

par Yves Rasir

Un happy birthday, Corona Circus !  Il y a  un an, le 22 janvier 2020 exactement, je consacrais mon premier billet à la grande mascarade coronavirale. Très énervé par ce que je devinais être la réplique de l’arnaque médico-scientifique de 2009  - la pseudo-pandémie de grippe porcine faussement annoncée comme dévastatrice -,  je pensais allumer un contre-feu utile en dénonçant d’avance la panique hystérique importée de Wuhan. J’avais intitulé cette infolettre « Trois remèdes à la virophobie » et j’en avais ajouté un quatrième la semaine suivante. Le moins qu’on puisse dire,  c’est que mon protocole anxiolytique a fait chou blanc et que mes bafouilles hebdomadaires n’ont pas court-circuité la peur ni empêché l’affolement ! Douze mois plus tard, nous voilà plongés, humains du monde entier, dans une véritable dictature sanitaire et soumis à un déferlement totalitaire généré, ou plutôt rendu possible par la hantise  démentielle des virus.  Normal d’avoir échoué à désamorcer la psychose : je ne suis qu’une  petite voix dissonante fort peu audible dans le vacarme médiatique ambiant. Face au rouleau compresseur de la propagande mainstream, mes tentatives de ré-information alternative avaient peu de chances de trouver  une large audience. J’y ai  pourtant cru à un moment donné :  mi-mars, à la veille du premier confinement, j’ai été convié à participer à un débat télévisé sur une grande chaîne belge. Mais la veille de l’émission, l’animateur a annulé ma participation sous le  prétexte que je n’aurais pas le temps de m’exprimer  suffisamment et sous la promesse de me réinviter le dimanche suivant. Dois-je vous préciser que j’attends toujours  cette invitation promise ? Avec le printemps, l’hiver covidiste a installé  sa chape de plomb dans les médias de masse et la pensée unique  en a évacué toute opinion divergente. Qu’à cela  ne tienne, j’ai fait ma part de colibri et j’ai continué, via le  mensuel  Néosanté et la lettre du mercredi, à essayer d’enrayer le discours dominant en diffusant des informations et en proposant des réflexions allant à contre-courant. Ne me dites pas que c’est courageux ou héroïque de ma part :  l’idéologie pasteurienne mortifère  et l’enfer  biophobique qu’on est en train de fabriquer pour nos enfants me répugnent tellement que je ne me vois pas faire autrement. Jusqu’à la libération et la victoire du bon sens, je vais persévérer dans la lutte  pour la vérité et  contre la narration mensongère qui vise à nous terroriser. Aujourd’hui, je suggère d’appréhender autrement le phénomène de mutation virale qui angoisse tant nos dirigeants et qui leur sert d’alibi pour un prévisible renouvellement du verrouillage général.   Voici trois bonnes raisons de ne pas redouter l’émergence des  fameux et affreux  variants.

La suite à l’adresse : www.neosante.eu/trois-remedes-a-la-variant-phobie/

S’agit-il d’un extra-terrestre ?

 S’agit-il d’un extra-terrestre ? Non ! un membre des Pompes Funèbres équipé pour le transport des cadavres des personnes supposées mortes du covid-19. L’Oms définit la maladie comme bénigne. En aucun cas, elle ne peut se comparer à la peste. Folie, lâcheté, pusillanimité, peur, phobie, inquiétude, couardise ? la liste des possibilités qui explique cette situation dantesque semble sans fin… Les corps qui proviennent des Ehpad sont privés de certificat de décès ; comment vérifier la cause réelle de la mort ?  Les cercueils des « Covidé(e)s » doivent être scellés. Les familles ne peuvent pas dire au revoir à leur proche décédé. L’exagération, la dramatisation, l’emportent sur la raison !...

« 21 Leçons pour le XXIème siècle » de Yuval Noah Harari...

 « Par son monopole sur les médias, l’oligarchie régnante peut imputer de façon répétée ses échecs à d’autres et détourner l’attention sur des menaces extérieures, réelles ou imaginaires. »

« Peut-être les révoltes populistes du XXIe siècle ne viseront-elles pas une élite économique qui exploite le peuple, mais une élite qui n’a plus besoin de lui. Ce pourrait bien être une bataille perdue d’avance. Il est bien plus dur de lutter contre l’insignifiance que contre l’exploitation. » 

Pensée du jour

 

 Ces spécialistes me rappellent les profs que j'ai eus à l'université. Tous se raccrochent à leur théorie préférée et ils n'hésitent pas à fausser les résultats afin de la corroborer. Je les trouve encore moins crédibles que ces enseignants. Ils n'ont rien à m'apprendre.

Ted Chiang

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Budens : Mercredi 27 janvier 2021

Un brouillard épais recouvre le village de Budens. Il faut attendre la fin de matinée pour qu’il se lève et laisse le soleil briller. Nous effectuons une promenade sur la colline qui surplombe le village. Une chaleur estivale nous plombe.

 


 

mercredi 27 janvier 2021

François de Closets...

« Covid : les morts ne sont pas des chiffres ».

www.admd.net/articles/medias/covid-les-morts-ne-sont-pas-des-chiffres-la-tribune-de-francois-de-closets.html?utm_source=Sarbacane&utm_medium=email&utm_campaign=[Copie%201]%20janvier.

« La force de la liberté humaine »...


Après une promesse faite au peuple des États-Unis et du monde entier de promouvoir la démocratie tant au USA qu'à l'étranger, le président des Etats-Unis George W. Bush a déclaré le jeudi 20 janvier 2005 à Washington durant son allocution pour son deuxième mandat :

« La force de la liberté humaine» est la plus grande arme contre la tyrannie et la haine. Les événements et le bon sens nous conduisent à une conclusion : la survie de la liberté dans notre pays dépend de plus en plus du succès de la liberté dans d'autres pays. Le meilleur espoir de paix dans notre monde est l'expansion de la liberté dans le monde entier ».

https://edition.cnn.com/2005/ALLPOLITICS/01/20/bush.speech/

Ineptie gouvernementale

 


Pensée du jour

 

 Ainsi ai-je conclu cette convention sur le « prendre soin » par le rappel que le soin ne peut être uniquement technique. Il doit être humain.

Marie de Hennezel
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mardi 26 janvier 2021

Budens : Mardi 23 février 2021

 Un ciel totalement azurin illumine le village de Budens. Le soleil brille, le vent souffle parfois en rafale. Après le repas, nous effectuons une promenade autour du terrain de golf. La nature s’éveille au printemps. De nombreuses fleurs s’épanouissent. La journée est ensoleillée mais ventée.

 


 

Budens : Mardi 26 janvier 2021

 Un ciel bas s’étire au-dessus de Budens. Une brume légère estompe le paysage. Une bruine insistante tombe tout le long de notre promenade le long du ruisseau en direction de la plage. Nos vêtements sont humidifiés. Le soleil est rare.

 


 

 

Humour et informations...

 Vidéo « La téléconsultation vaccinale » par Louis Fouché, publiée par France Soir le 22-01-2021 à 11:13 (mise à jour à 15:37) : www.francesoir.fr/societe-sante/la-teleconsultation-vaccinale-par-louis-fouche-video?utm_source=NL
















Le pays du Matin calme...

 www.francaisaletranger.fr/pays/coree-du-sud/

Hier...

 

Après le déjeuner, nous allons nous promener autour du golf. Dans la montée, nous saluons un monsieur d’un certain âge qui nettoie le trottoir pavé ; je le remercie. Il se déplace à bord d'une voiturette de golf électrique. Le long du chemin du retour dans le terrain de golf, je suis séduit par un bosquet aux fleurs violettes. Une voiture immatriculée en Russie est garée devant la maison n° 76. Les nouveaux locataires de la maison ont traversé toute l’Europe malgré la crise sanitaire ; chapeau ! Plus avant dans la village, je prends en photo une œuvre suspendue à des branches dans la terrasse d’une maison. Les bras de la figurine à la posture surprenante sont coupés au niveau des avant-bras...