« Il devint ainsi « légal » d’empêcher un malade du cancer en fin de vie de voir une dernière fois ses amis, d’isoler des patients en dépression ou des vieillards en EHPAD de tout contact humain, de refuser à un mourant d’embrasser ses proches avant le trépas, d’obliger une parturiente à traverser les douleurs de l’accouchement en s’étouffant avec son masque, de renvoyer des enfants battus chez leurs parents maltraitants. »
« De la démocratie en Pandémie : Santé, recherche, éducation » de Barbara Stiegler
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