Trois remèdes à la « variant-phobie »
par Yves Rasir
Un happy birthday, Corona Circus ! Il y a un an, le 22 janvier 2020 exactement, je consacrais mon premier billet à la grande mascarade coronavirale. Très énervé par ce que je devinais être la réplique de l’arnaque médico-scientifique de 2009 - la pseudo-pandémie de grippe porcine faussement annoncée comme dévastatrice -, je pensais allumer un contre-feu utile en dénonçant d’avance la panique hystérique importée de Wuhan. J’avais intitulé cette infolettre « Trois remèdes à la virophobie » et j’en avais ajouté un quatrième la semaine suivante. Le moins qu’on puisse dire, c’est que mon protocole anxiolytique a fait chou blanc et que mes bafouilles hebdomadaires n’ont pas court-circuité la peur ni empêché l’affolement ! Douze mois plus tard, nous voilà plongés, humains du monde entier, dans une véritable dictature sanitaire et soumis à un déferlement totalitaire généré, ou plutôt rendu possible par la hantise démentielle des virus. Normal d’avoir échoué à désamorcer la psychose : je ne suis qu’une petite voix dissonante fort peu audible dans le vacarme médiatique ambiant. Face au rouleau compresseur de la propagande mainstream, mes tentatives de ré-information alternative avaient peu de chances de trouver une large audience. J’y ai pourtant cru à un moment donné : mi-mars, à la veille du premier confinement, j’ai été convié à participer à un débat télévisé sur une grande chaîne belge. Mais la veille de l’émission, l’animateur a annulé ma participation sous le prétexte que je n’aurais pas le temps de m’exprimer suffisamment et sous la promesse de me réinviter le dimanche suivant. Dois-je vous préciser que j’attends toujours cette invitation promise ? Avec le printemps, l’hiver covidiste a installé sa chape de plomb dans les médias de masse et la pensée unique en a évacué toute opinion divergente. Qu’à cela ne tienne, j’ai fait ma part de colibri et j’ai continué, via le mensuel Néosanté et la lettre du mercredi, à essayer d’enrayer le discours dominant en diffusant des informations et en proposant des réflexions allant à contre-courant. Ne me dites pas que c’est courageux ou héroïque de ma part : l’idéologie pasteurienne mortifère et l’enfer biophobique qu’on est en train de fabriquer pour nos enfants me répugnent tellement que je ne me vois pas faire autrement. Jusqu’à la libération et la victoire du bon sens, je vais persévérer dans la lutte pour la vérité et contre la narration mensongère qui vise à nous terroriser. Aujourd’hui, je suggère d’appréhender autrement le phénomène de mutation virale qui angoisse tant nos dirigeants et qui leur sert d’alibi pour un prévisible renouvellement du verrouillage général. Voici trois bonnes raisons de ne pas redouter l’émergence des fameux et affreux variants.
La suite à l’adresse :
www.neosante.eu/trois-remedes-a-la-variant-phobie/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire