dimanche 2 juillet 2023

Déjeuner chez Veganaki et promenade dans Pláka, un quartier à Athènes...

Nous partons de l'hôtel vers onze heures trente. Nous traversons le Jardin National et d’autres espaces verts où nous découvrons Le Zappeion Megaron, qui fait partie du patrimoine national de la civilisation grecque [conçu par T. Hansen (1874-1888)], doté d'un atrium circulaire central. Nous découvrons également la Porte d'Hadrien sur Leof. Vasilisis Amalias. Nous déjeunons au restaurant Veganaki dans la rue Athanasiou Diakou. Nous nous partageons de l’houmous avec de petites crêpes sans gluten. La commande a été passée à Aris, un beau jeune homme svelte ; le prénom Aris se prononce Arès et fait référence au dieu de la guerre de la mythologie. Nous savourons chacun une moussaka végétarienne, en mémoire de notre amie Lena morte en 2014 qui nous la préparait à merveille lors de nos visites chez elle. Patrick sirote un thé noir. Nous quittons le restaurant vers treize heures trente et nous allons nous promener dans Plaka. Un peu plus tard, nous prenons place à la terrasse ombragée du restaurant Diogène sur la place Lysikratous vers la lampe de Diogène, que nous prendrons en photo plus tard. Patrick boit un expresso et je sirote une camomille. Après ces instants de farniente, nous reprenons notre balade. Les minutes passent. J’achète à un commerçant avenant, à la barbe blanche, un tee-shirt avec des motifs d’Athènes en sérigraphie. La boutique s'appelle Modous T-Shirt. Nous traversons par deux fois la place Monastiráki, située au pied de la zone nord de l'Acropole. Avant la seconde traversée, je prends en photo un magasin de crèmes glacées à la devanture décorée de fleurs variées colorées. Nous suivons la grande rue Ermou bordée de grandes marques de magasins et nous arrivons à la place Syntagma. Je prends place à la terrasse du Starbucks. Patrick monte la volée de marches, commande pour nous et paie à Ana Maria le montant de deux camomilles. Nous les sirotons tranquillement. Nous retournons chez nous en prenant notre temps. En chemin, j’achète une part de cake aux raisins secs chez « Le Pain », Kanari 24. La vendeuse parle le grec. Un beau jeune homme entre et sert de traducteur. Il me montre sur son smartphone le mot « raisin », la traduction du mot grec inconnu de moi. Je le remercie et lui souhaite « kalimera » ; il me répond par le même mot...






























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