Nous effectuons les derniers préparatifs avant le départ. Je termine le livre sur Hergé en prenant deux photos. Après le déjeuner, nous effectuons plusieurs aller-retour au garage pour mettre nos affaires dans le coffre de la Cuore. Nous quittons notre chez-nous temporaire avant quatorze heures. La vie va continuer différemment. Nous sortons la voiture. Je vais déposer un des deux jeux de clés dans le boitier sécurisée installé dans la boîte aux lettres que je laisse non fermée à clé… et pour cause ! Patrick prend le volant. Nous prenons l'autoroute. Je le remplace à la conduite à mi-parcours. Nous payons une vingtaine d'euros à la sortie Valence-Sud. Nous arrivons à seize heures à l’hôtel Novotel sur l’avenue de Provence. Ayoub et Anna, une jeune stagiaire, nous accueillent avec courtoisie et cordialité devant un îlot de réception qui sort de l’ordinaire. La suite 510 nous est attribuée. Nous montons les bagages à main. En retournant à la voiture, nous prenons avec nous dans l’ascenseur deux dames « des îles » qui travaillent à la préparation des chambres. Leur journée a été fatigante ; certains clients leur apportent un surplus de travail par manque d'empathie. Nous montons les affaires pour la nuit. Une pause boisson chaude s’offre à nous. Patrick se délasse dans un bain. Je vais me promener entre dix-sept et dix-huit heures. Je traverse le parc Marcel Paul. De superbes fleurs se laissent admirer. Des arbres vénérables me séduisent. Des enfants s’amusent dans l’aire de jeux. En chemin, je regarde les horaires du restaurant Crescendo où nous irons déjeuner demain. Une boulangerie Marie Blachère se dévoile. Je fais demi-tour au niveau du restaurant Courtepaille de l’hôtel Mercure. Je m’attarde devant une fresque peinte sur le côté d’une résidence. De retour à l’hôtel, je prends deux photos de la décoration vers l’entrée. Dans l’ascenseur, je monte avec un couple âgé et une jeune fille qui montre une déficience intellectuelle. Le monsieur tient un « Milou » dans ses bras. Je redescends chercher le journal Le Monde pour Patrick. Une jeune maman et son fils d’une dizaine d’années font la descente avec moi. Nous nous sourions. Je les laisse sortir et le garçon me remercie. Je prends aussi le Figaro. J’admire la cheminée aux fausses flammes. Je feuillette un livre sur l’actrice Ingrid Bergman…
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