Sans que les choses soient alors explicitées, cela revenait à dire qu’une suspicion de partialité (puisque c’était de cela qu’il s’agissait quand était évoquée la menace d’un danger pour les libertés) équivalait à un déni de légitimité. Cela invitait donc, dans les faits, à distinguer une légitimité par impartialité de la légitimité électorale. C’était simultanément remettre le doigt sur l’incomplétude du principe de majorité.
Pierre Rosanvallon
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