Nous partons en début d'après-midi pour Luz de Tavira. Manuela est absente. Une jeune dame qui collabore à la confection des gâteaux avec elle nous accueille. La salle avant la cuisine s’est transformée en caverne d’Ali Baba. Des douceurs inondent tous les surfaces de pose sur plusieurs étages, tels d'attrayants gratte-ciel de boîtes, transparentes dans leur majorité. Nous sommes éblouis !... Une boîte de « Laços el mel » [cravates ou nœuds-papillon au miel] nous est offerte. Nous emportons les délicieux roulés, les rissoles à la patate douce et une bûche de Noël à la caroube. Nous donnons notre carte de vœux pour Manuela. Après la prise d'une photo de la villa, nous allons chez Continente à Tavira. Le jeune garde à l’entrée du supermarché me demande de mettre le masque. C'est une première, les fois précédentes j'ai porté la visière comme le prévoit la loi dans les commerces. Je lui montre le dernier décret gouvernemental n°9/2020 du 21 novembre 2020 qui précise dans l’article 25 que le masque ou la visière sont obligatoires dans les commerces. Le garde ne peut prendre de décision, étant un employé en sous-traitance. Je demande à parler au directeur du magasin. Il est appelé au téléphone. Patrick voit un écriteau à l’entrée du supermarché qui précise masque ou visière. Que se passe-t-il ? Pourquoi cette incohérence ? Le directeur arrive quelques instants après. Il parle un peu de français. Tout se passe dans le calme. Je lui montre l’article 25 sur l’iPhone et je reste ferme. Il finit par me laisser entrer avec la visière. Outre des des mûres et des myrtilles, j'achète du pain Pachamana. La clientèle est nombreuse pour les fêtes. Nous revenons ensuite chez nous. Le ciel bleu se voile de temps à autre. Le livre « Noémi et les grandes personnes » de Marilène Clément, livré en avance, nous est donné par la réceptionniste du cabinet dentaire. Je photographie les douceurs de Manuela dont la magnifique bûche à découvrir le jour de Noël sur le blog...
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