Après des
mois d’un monde sans visages, la comédie musicale éblouissante et flamboyante The Prom nous offre de
la joie, des sourires, un antidote de douceur et d’altruisme dans cette période
difficile où l’autre est plus un ennemi qu’un ami. La morosité ambiante est
laissée de côté grâce à la magie et au panache des images, lumineuses, colorées,
enjouées où la vie danse en chansons avec humour et émotions. Serions-nous
arrivés dans un monde où tout est seulement blanc ou noir ? Aurions-nous
perdu la liberté individuelle pour celle inconsistante d’une masse sans
visages ? Aurions-nous perdu la liberté d’aimer et la poésie de la vie au bénéfice
de la méfiance, de l’égarement de soi- même, de l’indifférence, de l’apathie dans
un cruel manque d'humanité, de bienveillance et d’optimisme ? L’enthousiasme du film et le merveilleux de la vie semblent avoir échappé aux critiques pas toujours objectives…
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