En chargeant la voiture pour le départ, Patrick parle avec un voisin d’en face qui a travaillé trois mois à Cluses dans le passé. Nous partons avant quatorze heures. Nous effectuons un plein de carburant chez Auchan à 1,759€ le litre. Nous prenons l’autoroute. J’envoie un sms à nos hôtes pour les informer de notre départ. Le soleil brille et des nuées se promènent. La sortie d’autoroute numéro dix de Saint-Quentin Centre est fermée. Nous sortons une dizaine de kilomètres plus loin à la sortie Saint-Quentin Sud en payant 14,50€. Nous arrivons à seize heures à l’hôtel B&B Saint-Quentin, 17 rue Antoine Parmentier. La réception ouvre après dix-sept heures. Nous effectuons l’enregistrement sur la borne automatique qui nous donne le numéro de chambre, la 44, et le code à six chiffres pour ouvrir la porte. Nous nous installons, nous sirotons une boisson chaude en croquant un carreau de chocolat et nous allons nous promener dans les alentours. La température est plus élevée qu’à Calais. La Nécropole Nationale de Saint-Quentin est située à une courte distance. A l’entrée, une dame bavarde avec un monsieur qui semble sans domicile fixe au regard des ses affaires réunies autour de lui. Elle nous dit en plaisantant que l’entrée est payante. Je lui propose de payer avec un sourire ; elle accepte de bon cœur en riant. Nous marchons dans les allées du cimetière militaire de la Première Guerre mondiale et de la Seconde Guerre mondiale où nombre de croix et autres symboles religieux s’alignent à perte de vue ; la folie de la guerre ! Nous marchons ensuite dans un parc ombragé. Nous rencontrons une seconde fois la dame qui bavarde cette fois avec un jeune homme installé sur un banc. Nous nous sourions. Le chemin se termine avec la présence d’un magnifique saule pleureur. Une zone d’habitations se dévoile. Nous longeons une autre allée bordée d’attrayants hauts massifs taillés. Nous parvenons dans l’avenue Archimède. Nous revenons sur nos pas pour nous rendre à l’Intermarché Contact sur la rue Antoine Parmentier. Nous rencontrons une troisième fois la dame qui rentre chez elle. Elle habite depuis plus de vingt ans dans cette zone d’habitations et elle s’y sent bien grâce aux divers superbes espaces verts alentour et grâce aux chants des oiseaux. Elle me remercie de mon éclatant sourire quand nous nous séparons. Nous traversons la départementale au fort trafic par le rond-point situé après l’entreprise de pompes funèbres et marbrerie « In Memoris » sur la rue Charles Linné à la taille impressionnante. Nous achetons quelques articles dont deux chaussons aux pommes pour le dîner dans la chambre. Nous sortons à dix-huit heures du supermarché. Nous retournons tranquillement à l’hôtel...
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