Le ciel est bleu et le soleil brille. Après son petit déjeuner, Patrick termine la lecture du roman « Apavudia » et commence celle du livre « Chronique d’un confinement ». Lors des courses chez Spar, nous voyons que l’école maternelle située entre le supermarché et notre résidence a ouvert ses portes. Les enfants, encadrés par des adultes masqués, s’amusent comme si de rien n’était, sans se préoccuper de distanciation sociale, ni de quoi que ce soit. Nous recevons avant le déjeuner, nos deux certificats de Lord envoyés par la Principauté de Sealand.
La promenade après la pause-détente se déroule vers la plage. Sur la place de Manta Rôta, nous constatons le départ des manèges. La vogue est finie. De longs camions ont été chargés avec les manèges, dont un de la société Ferrol. Les baigneurs sont moins nombreux sur la plage et les parasols colorés sont clairsemés sur le sable. La marée est basse. Nous marchons sur le sable plus dur qui est couvert à marée haute. Des méduses signalent leur présence. Des jeux d’enfants colorés en plastique se reposent. Notre ombre s’allonge devant nous au soleil déclinant. La baignade est difficile, car l’océan est assez loin. Les baigneurs sont debout les pieds dans l’eau ; les enfants jouent dans l’eau dont le niveau est à leur hauteur. Nous revenons par la rue des pêcheurs. Les étals de vêtements d’été et accessoires ferment plus tôt. Le long de la rua Infante Dom Henrique, où je donne un coup d’œil dans le magasin Spar depuis la porte coulissante ouverte par un client, je prends en photo une enfilade de maison jumelées où les façades alternent la peinture blanche et les parements en pierres. Plus avant, sur la rua da Nora, je prends en photos d’autres maisons jumelées aux décorations attrayantes en jaune et nuances de bleu. Les vaches sont absentes du grand champ. Nous arrivons chez nous après dix-neuf heures… Je retrouve « Des cornflakes dans le porridge » où Bill Bryson, qui a été enchanté de visiter Édimbourg, se rend en train à Aberdeen. Le convoi traverse une quinzaine de kilomètres plus avant le « Forth bridge ». Ce pont, d’une longueur supérieure à deux kilomètres et demi est le deuxième plus long pont ferroviaire de type cantilever au monde ; le premier étant celui de Québec que nous avons traversé le dimanche 28 juillet 2019 lors du trajet de Québec à Saint-Georges-en-Beauce ; voir le roman « Foufounes Électriques »...
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