mercredi 23 septembre 2020

Hier...

 Le ciel est bleu légèrement voilé et le soleil brille. Après le petit déjeuner, je vais  prendre un rendez-vous chez le coiffeur à côté de chez nous. La dame charmante écrit sur mon billet en portugais les mots : « Sexta-feira 3 h » [vendredi tantôt]. Après les courses et la préparation de mon déjeuner, je vois le « Rocher de Percé » qui se dévoile en page d’ouverture de l’ordinateur Surface. Cela me rappelle notre arrivée à Percé le lundi 15 juillet 2019 où nous fûmes éblouis par la magnificence du rocher (voir roman « Foufounes Electriques »). Les chocolats Beatriz sont livrés par la factrice en fin de matinée.

 Après la pause-détente de l’après-midi, nous allons nous promener vers la plage. Au début de la estrada da Manta Rotâ, un haut pylône des télécommunications est en cours d’installation. Sur la plage, les parasols avec la couverture en paille sont en cours de démontage. La saison estivale est finie. Quelques personnes profitent de la présence de l’océan, des vagues exubérantes et du sable riche de petits coquillages. Le vent se rappelle à nous de temps à autre. Nous revenons chez nous tranquillement en marchant sur les pavés inégaux de Manta Rotâ quand des voitures arrivent…

 De retour à l'appartement, je lis le tome 2 du livre « Le bungalow des Terres Rouges » ; un des frères d’Henri est basochard. Ce mot inconnu est un synonyme d’avocat, pas le fruit l’homme de loi. La « Basoche » était une guilde de juristes comprenant juges, avocats, procureurs et gens de justice qui résidaient à Paris au Palais royal de l'île de la Cité (actuel Palais de justice), sous l'Ancien Régime…







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