dimanche 18 avril 2021

Film « Love and monsters »...

Après une marche ensoleillée sur la Promenade, nous entrons dans l'univers du film « Love and monsters ». Un énorme astéroïde, baptisé Agatha 616, qui fonce vers la Terre, est détruit par des missiles. Les retombées, chimiques notamment, ont pour effet secondaire de transformer les créatures à sang froid. Elles mutent pour se changer en kaijūs, un terme japonais pour désigner des créatures étranges et géantes. Les humains sont impuissants devant ces nouvelles forces de la nature incontrôlables. La civilisation humaine s’effondre. Les armes humaines s’avèrent inefficaces. En moins d’une année, les être humains dans leur majorité périssent, dans l’estomac des créatures pour une grande part. Les survivants se cachent sous terre, dans des grottes, partout où ils peuvent se protéger des créatures mutantes. Joel Dawson vit depuis sept ans dans un bunker souterrain. Séparé d’Aimee, la jeune femme qu’il aime depuis sept ans, Joel, qui a pu renouer contact par radio avec elle, décide de s’aventurer à la surface et d’aller la retrouver dans son refuge côtier, situé à plus de cent kilomètres. Des créatures dangereuses se dressent sur son chemin. Un chien, Boy, décide de l’accompagner. Tim et Minnow, une fillette dynamique, qui se dirigent vers le nord, lui sauvent la vie. Joel bénéficie de conseils et d’informations cruciales pour sa survie qui peut tenir à un simple regard intuitif dans l’œil d’une créature mutante. Il reprend son chemin vers la côte avec Boy…

Nous nous faisons la remarque à la fin du film que les moyens mis en œuvre pour gérer la crise actuelle, liée à la présence du coronavirus, sont totalement hors de proportion au regard du caractère bénin de la létalité du Sars-CoV-2. Le nombre de personnes décédées à ce jour correspond à moins de 0,030% de la population mondiale pour l'année 2020. Nous sommes loin de l’hécatombe annoncée en boucle dans les médias.





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