Après le déjeuner, une fois la Promenade parcourue, une longue marche sur le sable s’offre à nous sous le ciel bleu et le soleil. Le souffle du vent est léger et agréable. Le ressac mélodieux des vagues nous accompagne inlassablement avec fougue et fantaisie. Depuis des millions d’années les vagues sont infatigables et participent à la magie du mouvement de la vie. Des personnes effectuent du « kitesurf » avec leur planche aérotractée. Eole maintient plaisamment dans le ciel d’azur la voile des grands cerfs-volants. Nous passons devant le restaurant « Sandbanks Beach » sur la praia Vale do Lobo. Les falaises ocre rouge se dressent au bord de la plage, toutes différentes ; certaines s’élèvent fièrement dans leur majesté. Après un peu moins de quatre kilomètres de marche, nous rebroussons chemin près de la praia do Garrão Poente. L’animation est plus forte que lors de notre promenade du samedi 3 avril. De temps à autre, j’échange un sourire. Un garçon en combinaison noire entre dans l’eau avec sa planche aérotractée, s’éloigne du rivage, monte sur sa planche et commence à glisser sur l’eau ; tout est lié, tout est vivant, la vie bouge sans cesse, tout coexiste. Revenus sur la Promenade, nous constatons que les barrières de l’aire de jeux pour enfants ont été déplacées pour laisser un passage. Des enfants s’amusent sous le regard des parents. Voilà un bel exemple de résistance civile ! Une file d’attente étant constituée devant la boulangerie-pâtisserie Pão do Povo à la fin de la Promenade piétonne, nous allons à la boulangerie-pâtisserie Eurolatina pour acheter quelques douceurs. Nous sommes de retour chez nous vers seize heures trente...
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