lundi 27 juin 2022

De Chateaubourg au Jardin des Pierres Brunes à Saint-Jean-des-Ollières...

 Nous partons à treize heures trente de Chateaubourg. Je prends le volant. Nous entrons sur l’autoroute A7 à Tain-l’Hermitage. Après quatre-vingt kilomètres parcourus, nous sortons à Vienne en Isère. Un bouchon à la jonction de la A7 et de la A47, au niveau de Chasse-sur-Rhône, nous ralentit. Nous entrons sur la A72 avant le péage de Veauchette. Patrick prend le volant à mi trajet. Nous parcourons un peu moins de cent kilomètres avant de sortir à Thiers ouest dans le Puy-de-Dôme. Nous roulons ensuite sur une trentaine de kilomètres avant d’arrivée à dix-sept heures à notre destination, le gîte et chambres d’hôtes « Le jardin des pierres brunes » au lieu-dit La Garde, 63520 Saint-Jean-des-Ollières, dans le parc du Livradois-Forez. Line et Philippe nous accueillent. Le groupe électrogène fonctionne ; des réparations sont en cours sur le réseau électrique. Nous nous installons dans un petit chalet, baptisé « Libellule », niché dans la végétation luxuriante devant un étang aux nénuphars. Nous sirotons une boisson chaude. Nous allons nous promener. Nous découvrons le site du Pic de la Garde entouré d’un massif forestier. La vue embrasse l’horizon à 360° à perte de vue dont la forêt de la Comté, la plus grande chênaie de plaine d'Auvergne. Elle culmine à 817 m d'altitude. Nous revenons ensuite au chalet pour le dîner. Des motards italiens arrivent au gîte. Après le repas, j'effectue une recherche sur le site où nous nous trouvons. La tour du Château de la Rochette, 63520 Estandeuil, se trouve à une quinzaine de minutes du gîte. Elle a été rachetée en 1972 par les propriétaires actuels, restaurée puis habitée à nouveau à partir de 1994. Ceux-ci ouvre les portes de cette édifice restauré avec goût au cours des Journées Européennes du Patrimoine

 

















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