Nous partons après le repas pour Nyons. Nous arrivons à destination un peu avant treize heures trente. Nous découvrons le pont roman dont la construction commença en 1340 pour se terminer soixante-dix années plus tard. Il enjambe la rivière l’Eygues. Je bavarde avec une dame qui habite au 1 route des Rieux. Elle s’apprête à partir en courses avec son mari. Nous arpentons ensuite les ruelles qui grimpent en sinuant au gré de la construction du village commencée il y a plus de mille ans. Dans une cavité murale, Patrick choisit parmi des livres offerts « L’immoraliste » d’André Gide. Une dame nettoie un seau après du ménage à la fontaine voisine. De superbes constructions en pierre séduisent les regards, certaines nichées dans des écrins de verdure. Un ancien lavoir se dévoile. Pus avant, la tour Randonne interpelle par son originalité. Nous nous perdons agréablement dans les méandres du village. Nous arrivons à des arcades sombres qui aboutissent sur la place Joseph Buffaven où nous nous désaltérons à la terrasse du café Paradisier. Une dame apprécie une boule de glace à une table voisine. Avant la pause détente, nous achetons deux livres à la bouquinerie « Eden books » : le recueil de poésie « Les vagues » de Aglaée Collin et « Alice et le fantôme » de Caroline Quine. Avant de retourner au parking, nous achetons deux douceurs Au Fournil de Jean-Pierre sur la place du Dr Bourdongle.
En revenant de Nyons, nous nous arrêtons à La Ferme aux Oliviers « L’O Provençale » www.lafermeauxoliviers.fr où Gildas Gielly nous accueille avec son père Jean-Claude, le fondateur il y a une vingtaine d’années de ce joyau provençal. La Ferme aux Oliviers possède son propre moulin et maîtrise l’intégralité du processus de fabrication. Notre précédente venue remonte au dimanche 10 septembre 2017 après la découverte du château de Grignan. Nous étions venus avec nos amis Corrine et Denis qui nous avaient reçus chez eux à Bollène. La petite Margot, juste née à l’époque, va sur ses cinq ans. En petite tenue, elle vient demander à son père de l’aider à enfiler un collant ; il lui assure qu’elle peut le faire toute seule. Victoria, quatre ans à l’époque, absente lors de cette seconde visite, va sur ses dix ans. Nous effectuons des emplettes : tapenade d’olives noires, caviar d’aubergine aux olives noires et pâte d’olives noires à la tomate. Nous emportons aussi un kilo d’olives noires de leur dernière production. Nous bavardons avec Gildas. Il se souvient bien de Corrine et Denis, clients fidèles lorsqu’ils habitaient à Bollène. Il se souvient qu’ils venaient en coupé sport bleu marine. Dehors, au moment du départ, à bord de la Cuore, nous bavardons avec Jean-Louis qui parle de sa Porche Carrera jaune, achetée en son temps en Espagne. Elle était déjà présente en 2017. Il est âgé de 81 ans, il a créé diverses sociétés dans sa vie dont la Ferme aux oliviers pour le plaisir.
Plus tard, à l’entrée de Valréas, nous nous arrêtons
chez Marie Blachère où j’achète un pain aux noix. Nous nous rendons ensuite à l’Intermarché
de la ville. Nous supportons une ribambelle de ralentisseurs avant de parvenir
à destination. Nous effectuons un plein au prix exorbitant de deux euros le litre. Nous récupérons la nouvelle
souris de mon Surface dans un casier Amazon. Nous revenons chez nous où nous
arrivons vers dix-sept heures...
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