Voici le Quinzième jour de confinement, et devait être le
dernier. Mais les promesses des gouvernements ne tiennent que pour ceux qui les
entendent. Jamais un politicien ne se croit tenu de respecter sa parole ou sa
promesse. Cela en dit long sur les personnes qui nous dirigent.
Ce matin, le ciel est clair et le soleil radieux.
Aujourd’hui nous sommes en heure d’été. Encore une année avec ses perturbations
dues au décalage horaire… Encore une promesse non tenue !
Vers les 8 heures du soir, les applaudissements et les
sifflets viennent perturber le calme de la ville d’Aguadulce. Les hypocrites s’en
tirent à bon compte.
Il y a comme un paradoxe dans cette crise où les autorités
s’émeuvent pour la mort d’une centaine de morts et traitent les vivants comme
des chiens : « Lève la patte » « reste dans ta
niche ». Comment sommes-nous arrivés au phénomène où ceux qui meurent
possèdent plus d’importance que ceux qui vivent. Autre contradiction, les
gouvernements n’hésitent pas d’un côté à user de violence contre ses
populations et d’un autre, ils vénèrent des personnes qui ont tués des millions
de gens au nom de la patrie ou d’une idéologie.
Autre étrangeté, dans une démocratie tous les pouvoirs
émanent des citoyens, or les représentants des populations prennent des
décisions qui vont à l’encontre des gens qui les ont élus ! Les
institutions, les entreprises, les carrières de politiciens, les idéologies
etc. passent avant les intérêts des citoyens ! Il suffit de voir cette
crise pour s’en convaincre. La loi « Etat d’Urgence Sanitaire »
met-elle des moyens supplémentaires pour aider les hôpitaux ? Non.
Ouvre-t-elle un budget supplémentaire pour la recherche médicale ? Non.
Offre-t-elle des moyens supplémentaires de protection sanitaire pour les
citoyens ? Non. A lire ce document, il est légitime de se poser la
question où est la crise sanitaire dans celui-ci.
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