Ce matin, le soleil s’efforce de traverser la mosaïque des
nuées grises qui recouvrent le ciel. La mer est très calme. La plage abandonnée
ramasse les algues mortes gisant comme des bandes sur le sable.
Vers 2 heures de l’après-midi, nous sortons effectuer
quelques « courses ». Quatre malfaisants sont au rond-point en face
de l’immeuble. Ils discutent devant leurs véhicules. Quelques gouttes d’eau
tombent sur le sol. Le temps se gâte et le vent se lève.
Vers 8 heures du soir, nous entendons le concert de bruits
en l’honneur des professions médicales. L’intensité me semble moindre que ces
derniers jours. Peut-être que les gens se lassent !
En ce neuvième jour de confinement, que savons-nous de
l’épidémie ? Voici ce que nous dit le journal 20 minutes :
« Le nombre de patients atteints par le Covid-19 et
hospitalisés a atteint 7.240, dont 1.746 sont en réanimation et 674 personnes
ont perdu la vie depuis le début de l'épidémie en France. »
Si je regarde les faits, uniquement les faits, je constate
que cette épidémie a débuté en décembre 2019 en Chine. Que dans ce pays, la
situation est redevenue presque normal, si normalité veut dire quelques choses.
Il aurait eu 81054 cas d’infections sur trois mois et 3 261 morts sur la
même période. Je rappelle que la population de la chine est estimé » à 1,386
milliard (2017). Personnellement, je serais plutôt réticent à parler d’épidémie
si nous comparons le nombre de cas à la population globale. Passons.
Si j’examine le délai entre décembre 2019 et aujourd’hui, j’enregistre
un nombre de cas global de 16018 depuis le début de l’épidémie et un nombre de
décès de 674. Vu la propagation de l’épidémie, il est exagéré de parler de
pandémie.
Est-ce que le confinement des populations est
efficace ? Est-ce que ces mesures ont-elles stoppées progression de
l’épidémie ? La réponse est non. Pourquoi ? Parce qu’elle n’est pas
adapté à la propagation du virus qui s’effectue par les postillons. Si
l’infection s’effectue comme les services de santé le disent, il est peu
probable que nous soyons infectés. Il faut vraiment être un intime avec la
personne infectée. Quand une personne éternue, le réflex est de reculer. Pas
vous ? Lorsqu’une personne crache parterre, en général, je ne vais pas
récupérer sa salive pour la manger. Pas vous ?
En conclusion, je suis vraiment dubitatif concernant cette
épidémie. D’abord, les cas sont vraiment trop bas pour être considérés comme
une épidémie. Ensuite, le nombre de morts est bien inférieur à celle de la
grippe dite saisonnière. Personnellement, je retire ma confiance envers nos
autorités. Non, Monsieur le Président je ne vous fais pas confiance !
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