vendredi 24 juillet 2020

Hier... Monte Gordo... Moulin à vent...

Nous partons après le repas à Monte Gordo pour "prospecter" dans l’Intermarché, situé sur l’avenida Infante Dom Henrique. La Cuore est garée à l’ombre dans la rue perpendiculaire au petit supermarché du centre-ville. Je trouve des avocats ; cette fois, ils proviennent d’Afrique du Sud !... J’achète une barquette de mûres pour effectuer deux smoothies. Simone Martins nous reçoit à la caisse. Le visage masqué, l’expression apathique, elle est totalement anonyme et indifférente. Nous allons nous promener brièvement sur la plage qui s’étend à perte de vue. Patrick reçoit un sms de Marita qui vient de recevoir mon dernier roman. Le soleil darde des rayons brûlants. Des passerelles, qui frôlent des surfaces désertiques, se relaient pour accéder à différents endroits de la plage. Nous sommes de retour chez nous après quinze heures trente...

Après le dîner, nous allons nous promener vers le moulin à vent. Nous effectuons la boucle dans l’autre sens. Nous traversons la voie de chemin de fer et, un peu plus loin , nous reprenons en photo l’arbre « romantique » au soleil couchant. Nous nous approchons du moulin blanc, à la porte en bois bleu fermée, aux abords peu entretenus. Nous prenons des photos des alentours depuis la colline qui domine les environs. L’océan est visible à vol d’oiseau. Au retour, je ramasse au sol au bord du chemin un superbe gros citron qui « m’attendait »… Vers le château, je lis les mots Torre dos Frades sur le fronton d’un des corps de logis des dépendances. Un peu plus loin, un ancien puits, abandonné à son sort, tient vaillamment le coup au bord du chemin, séparé de ses admirateurs par des fils de fer barbelé…













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