vendredi 10 juillet 2020

Hier, à Tavira...

Nous partons pour Tavira en fin de matinée. Nous faisons le plein à la station Repsol avant de quitter Cacela. Le prix du carburant semble similaire à celui de la France. Une quinzaine de minutes plus tard, j'entre à l’Académie de Musique de Tavira où la dame de l’accueil, munie d'une visière, me donne une info à Faro. Nous garons ensuite la voiture dans le parking gratuit du Marché couvert de la ville. Nous marchons vers Bio.Tequim sur l'avenida Dr Mateus Teixeira de Azevedo ; le restaurant est fermé définitivement. Une maison de caractère sur l’avenida, ocre brique, non entretenue, est à vendre. Nous déjeunons dans la même avenue au restaurant Come Na Gaveta to Go. Debora s’occupe de nous. Nous savourons chacun, sous un parasol, une salade de quinoa aux légumes. Nous nous partageons un sandwich au pain noir aux graines à l’houmous et crudités. Après le repas, nous découvrons les hauteurs de la vieille ville et nous arpentons l’Alcazaba dans les ruines du château entourées de murailles. La vue embrasse la ville et le paysage environnant. Plus tard, nous traversons le jardim público de Tavira. Un kiosque à musique est baigné de petites fontaines. Patrick achète une casquette beige à huit euros au Bazar Tanger. Nous effectuons des courses au magasin bio Beterraba dans le secteur du Mercado Municipal où la Cuore est garée à l’ombre d’un arbre. Patrick trouve de la chicorée soluble. Plus tard, chez Continente dans le centre commercial Tavira Plaza, nous effectuons des courses. Je deviens un mouton de Panurge le temps de nos emplettes. Je porte le masque par contrainte, et seulement sur le bouche...









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