mardi 13 octobre 2020

Déjeuner avec Thérèse à la Gamelle – bavardage et rires avec Lucienne...

 Le ciel s’annonce en bleu... Nous partons de l’appartement vers onze heures… À Cranves-Sales, la Mercedes est garée sur le côté de la villa, en prolongement de la voiture de l’auxiliaire de vie qui est avec Lucienne. Thérèse arrive. Nous bavardons un instant. Nous marchons jusqu’au chef-lieu. Le cirque Landri s'installe au chef-lieu. Un lama broute l'herbe dans un enclos aménagé pour la circonstance. Thérèse nous rejoint au restaurant « La Gamelle des Voirons ». Patrick et moi savourons la même entrée que jeudi dernier. Thérèse qui n’a pas très faim, prend une salade verte agrémentée de demi-rondelles de tomate cerise. Nous savourons ensuite de concert une délicieuse tartiflette accompagnée de salade ; je lève le pouce devant Christophe qui me voit depuis la lucarne ouverte sur la cuisine où une personne le seconde dans la préparation des mets. Sa fille, douée dans la création de  fanzines, s’occupe du service. Une clochette argentée sur le passe-plat est secouée pour annoncer les mets qui sont prêts à être servis. Patrick et moi optons en dessert pour une mousse au chocolat, faite maison. Thérèse, qui a un rendez-vous pour une partie de tarot à quatorze heures, s’éclipse sans que nous ayons eu le temps de bavarder après le repas.

  Nous retournons à Borly tranquillement. Nous allons rendre visite à Lucienne. Pour faire travailler sa mémoire, je lui pose des questions sur les années que nous avons passé au magasin : quels furent les fabricants de salons et les représentants avec qui nous travaillions. Progressivement, avec des devinettes, elle parvient à se souvenir notamment de Diva avec Myriam et Jean-Claude d’Antonio, d’El Ran, de Rom, d’ITA, de Bardi, de Pelletey, de Nicoletti, de Calia, de ConfortLuxe avec George Charvin, d’Hukla avec Sandrine, de Vercorsièges, d’Himolla, de B-Marly, de Natuzzi… Des éclats de rire de Lucienne retentissent de temps à autre, notamment quand nous lui proposons une carrière politique quand elle dit vouloir encore travailler à quatre-vingt-onze ans ; devenir présidente de la République ou députée. Après plus de deux heures enjouées ensemble, nous partons après avoir dit au revoir à Daniel.

  Patrick prend le volant. Nous arrivons à Annecy vers dix-huit heures. Nous nous désaltérons avec un thé avant d’aller effectuer des courses au Carrefour Brogny. Trois jeunes garçons à la caisse voisine achètent particulièrement des pizzas et des bouteilles de vin, peut-être pour une soirée entre amis. Après le dîner, je poursuis la lecture sur l’iPhone du livre aux personnages attrayants « La septième lettre » de Pierre Korab. Une aventure avec « Outlander » précède l’entrée du pays des rêves...















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