Où est passé le
libre consentement ?
La politique politicienne espagnole fait
croire à tort au peuple que la maladie rôde encore. Sans le consentement des
citoyens, elle continue sa publication de mesures liées à la supposée « nouvelle
normalité ». Certaines se prolongeront jusqu’à fin septembre.
Le consentement du peuple aurait permis de
préserver la santé psychique et le bien-être de chaque citoyen. Dans le chaos
et la folie de ce début des années vingt, en omettant de demander le consentement
d’un citoyen avant de le contraindre à suivre des mesures liberticides, la
société se dirige tout droit dans une dictature, « bienveillante »
comme l’écrit Ira Levin dans son roman « Un bonheur insoutenable ». Pourquoi les citoyens
écoutent-ils sans émettre la moindre objection ? Ne seraient-ils que
partiellement vivants ? Les citoyens vont-ils laisser leurs rêves
embarquer sans eux ?
Le monde est malade, malade de politique
politicienne, malade de l’orgueil des ego, malade de malhonnêteté et d’escroquerie
intellectuelles.
Pour illustrer cette dernière affirmation,
voici un exemple parmi tant d’autres :
Un restaurant, situé à proximité de notre
appartement, fermé depuis plusieurs mois, s’est vu contraint de devoir faire
effectuer et payer une désinfection de ses locaux qui sont pourtant fermés
depuis plusieurs mois. Comment le
coronavirus aurait-il fait pour pénétrer à l’intérieur des locaux et y « séjourner »
vivant jusqu’à maintenant ? Cette dépense inutile, cette contrainte,
cette menace, sans quoi le restaurant serait resté fermé, a coûté de l’argent
au restaurateur alors qu’il n’a pas encaissé un euro depuis le début de l’épidémie.
C’est une honte et un manque total de respect…
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