lundi 8 juin 2020


Où est passé le libre consentement ?

La politique politicienne espagnole fait croire à tort au peuple que la maladie rôde encore. Sans le consentement des citoyens, elle continue sa publication de mesures liées à la supposée « nouvelle normalité ». Certaines se prolongeront jusqu’à fin septembre.

Le consentement du peuple aurait permis de préserver la santé psychique et le bien-être de chaque citoyen. Dans le chaos et la folie de ce début des années vingt, en omettant de demander le consentement d’un citoyen avant de le contraindre à suivre des mesures liberticides, la société se dirige tout droit dans une dictature, « bienveillante » comme l’écrit Ira Levin dans son roman « Un bonheur insoutenable ». Pourquoi les citoyens écoutent-ils sans émettre la moindre objection ? Ne seraient-ils que partiellement vivants ? Les citoyens vont-ils laisser leurs rêves embarquer sans eux ?

Le monde est malade, malade de politique politicienne, malade de l’orgueil des ego, malade de malhonnêteté et d’escroquerie intellectuelles.

Pour illustrer cette dernière affirmation, voici un exemple parmi tant d’autres :

Un restaurant, situé à proximité de notre appartement, fermé depuis plusieurs mois, s’est vu contraint de devoir faire effectuer et payer une désinfection de ses locaux qui sont pourtant fermés depuis plusieurs mois. Comment le coronavirus aurait-il fait pour pénétrer à l’intérieur des locaux et y « séjourner » vivant jusqu’à maintenant ? Cette dépense inutile, cette contrainte, cette menace, sans quoi le restaurant serait resté fermé, a coûté de l’argent au restaurateur alors qu’il n’a pas encaissé un euro depuis le début de l’épidémie. C’est une honte et un manque total de respect…

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