Réflexions
Lors de ce
processus de confinement arbitraire et liberticide, le citoyen a été privé de son droit de « décider »
et de « choisir » comme si cela représentait une manifestation d’égoïsme…
La manipulation gouvernementale montre les prémices d’une dictature basée sur
la peur, grandement exploitée durant cette crise sanitaire bénigne. L’amour et
la confiance, les antidotes naturels, semblent bien loin des préoccupations des
populations figées dans un état de paralysie, de phobie et de panique
complètement injustifié. L’épouvantail de la peur agité par les médias et les
politiciens leur enlève tout discernement et toute faculté de réflexion dans un
entendement captif. Le manque de conscience et cette obéissance aveugle
risquent de leur coûter cher s’ils manquent de ressaisir leur pouvoir inscrit
dans la constitution. Réfléchir, examiner, critiquer, jauger, raisonner, etc. sont
des actes nécessaires pour préserver sa liberté. Sous le joug étatique, dans ce
sommeil hypnotique des masses égarées, tous ces signes avant-coureurs inquiètent…
Abandonner sa responsabilité personnelle, désavouer
et abdiquer son pouvoir individuel, c’est faire le jeu des politiciens et des
gouvernements. Se sentir responsable permet de changer les choses à son propre
niveau. La malhonnêteté intellectuelle est une des explications pourquoi le
monde est dans un tel état aujourd’hui. Accepter sa propre responsabilité
permet d’accéder au pouvoir d’en changer une partie. Se croire une victime
conduit au désastre et aux calamités. En tenant compte des circonstances actuelles, se savoir responsable,
s’affirmer responsable, ouvrent les portes de tous les possibles. Cette prise
de conscience est source de conséquences avantageuses et favorables pour soi et
pour les autres.
Laissons la pusillanimité de côté. Laissons
couler l’adrénaline dans nos veines. Que chacun soit une lampe dans cette obscurité
qui glisse lentement vers l’obscurantisme…
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