vendredi 5 juin 2020


Réflexions

Lors de ce processus de confinement arbitraire et liberticide, le citoyen  a été privé de son droit de « décider » et de « choisir » comme si cela représentait une manifestation d’égoïsme… La manipulation gouvernementale montre les prémices d’une dictature basée sur la peur, grandement exploitée durant cette crise sanitaire bénigne. L’amour et la confiance, les antidotes naturels, semblent bien loin des préoccupations des populations figées dans un état de paralysie, de phobie et de panique complètement injustifié. L’épouvantail de la peur agité par les médias et les politiciens leur enlève tout discernement et toute faculté de réflexion dans un entendement captif. Le manque de conscience et cette obéissance aveugle risquent de leur coûter cher s’ils manquent de ressaisir leur pouvoir inscrit dans la constitution. Réfléchir, examiner, critiquer, jauger, raisonner, etc. sont des actes nécessaires pour préserver sa liberté. Sous le joug étatique, dans ce sommeil hypnotique des masses égarées, tous ces signes avant-coureurs inquiètent…

Abandonner sa responsabilité personnelle, désavouer et abdiquer son pouvoir individuel, c’est faire le jeu des politiciens et des gouvernements. Se sentir responsable permet de changer les choses à son propre niveau. La malhonnêteté intellectuelle est une des explications pourquoi le monde est dans un tel état aujourd’hui. Accepter sa propre responsabilité permet d’accéder au pouvoir d’en changer une partie. Se croire une victime conduit au désastre et aux calamités. En tenant compte des circonstances actuelles, se savoir responsable, s’affirmer responsable, ouvrent les portes de tous les possibles. Cette prise de conscience est source de conséquences avantageuses et favorables pour soi et pour les autres.

Laissons la pusillanimité de côté. Laissons couler l’adrénaline dans nos veines. Que chacun soit une lampe dans cette obscurité qui glisse lentement vers l’obscurantisme…

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