Le ciel estival écrase la matinée. Les vagues s'étirent sur
le sable où les premiers baigneurs s’installent pour un moment de détente. Le
vent est en berne. Les hirondelles ont effectué leur petite farandole avant de
se reposer.
Cette crise a mis en lumière un fait indéniable : l’homme a perdu toute clarté sur sa condition. Les gens ont-ils oublié la chose la plus puissante et la seule nécessaire pour notre existence : l’amour. Il n’y a aucune dignité à choisir la violence. Il est souvent mis en avant que seul l’Etat a le monopole de la violence. Qu’est-ce que cela veut dire un état violent ? L’Etat aurait-il le droit de violenter ses propres citoyens ? C’est un non-sens, la société doit être un lieu paisible où tous nous devons vivre "libre" et selon notre propre chemin. Chacun d’entre nous doit pouvoir vivre dans la dignité.
Cette crise a mis en lumière un fait indéniable : l’homme a perdu toute clarté sur sa condition. Les gens ont-ils oublié la chose la plus puissante et la seule nécessaire pour notre existence : l’amour. Il n’y a aucune dignité à choisir la violence. Il est souvent mis en avant que seul l’Etat a le monopole de la violence. Qu’est-ce que cela veut dire un état violent ? L’Etat aurait-il le droit de violenter ses propres citoyens ? C’est un non-sens, la société doit être un lieu paisible où tous nous devons vivre "libre" et selon notre propre chemin. Chacun d’entre nous doit pouvoir vivre dans la dignité.
Lors de cette crise, j’ai pu constater les manquements des
pouvoirs publics, l’atteinte à la dignité des personnes est flagrante. Est-ce
respecter la personne humaine que de la parquer dans sa résidence comme un animal dans un zoo ? Est-ce respecter les personnes âgées que de les empêcher
de voir leurs proches ? Est-ce respecter les gens que de les obliger à porter
des masques comme des malfaiteurs ? Jamais la suspension ou la suppression
des libertés n’est digne ; l'une et l'autre révèlent uniquement l’échec des pouvoirs
publics. Elles dévoilent leur incapacité à dialoguer sereinement avec les
populations, leur incompétence et leur inaptitude à expliquer aux gens comment
se protéger. Au lieu d’avoir une attitude de confiance envers les citoyens, les
gouvernements ont préféré jouer la carte de la coercition et de la répression.
Une société qui ne fait plus confiance en sa population n’est plus une société. Je l’ai déjà écrit et je le répète. Une
société se construit dans la confiance mutuelle, dans la réciprocité qui lie
réellement les gens entre eux. Dans notre société, les relations des gens sont
régies par la loi. Chaque lien doit être sanctionné par le droit. Le mariage
doit être légal ! Nos liens avec nos enfants sont déterminés par la
loi ; et nos droits parentaux peuvent être remis en question à n’importe quel
moment par l’Etat. La loi dirige toute notre existence dans notre société. Elle
ressemble de plus en plus à une tyrannie. Il suffit de voir la panoplie de lois que les gouvernements
ont déployée pour mettre en œuvre l’état d’urgence sanitaire.
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