Un radieux soleil accueille le premier jour de l’été. Le
ciel est un peu laiteux, un bleu clair. La mer glisse tranquillement sur le
sable et les premiers baigneurs viennent s’installer sur la plage. Les
hirondelles effectuent quelques tours de danse avant de se reposer.
Aujourd’hui, c’est le nonante-neuvième jour et dernier jour de l’état d’urgence sanitaire en Espagne. Nous entrons dans ce que le gouvernement nomme la « nueva normalidad », la nouvelle normalité. Un nouveau terme venu de la novlangue pour maintenir les règles exceptionnelles de contrôle des populations face à l’épidémie du covid-19. C’est aussi le dernier chapitre de nos commentaires sur le non-événement appelé « pandémie » par les autorités.
Aujourd’hui, c’est le nonante-neuvième jour et dernier jour de l’état d’urgence sanitaire en Espagne. Nous entrons dans ce que le gouvernement nomme la « nueva normalidad », la nouvelle normalité. Un nouveau terme venu de la novlangue pour maintenir les règles exceptionnelles de contrôle des populations face à l’épidémie du covid-19. C’est aussi le dernier chapitre de nos commentaires sur le non-événement appelé « pandémie » par les autorités.
Depuis quelques jours, les médecins alertent les populations
sur les méfaits du port prolongé du masque pendant l’ensoleillement estival. Ainsi
le Dr José Carlos Pascual, spécialiste de l'unité de dermatologie de l'hôpital
Quirónsalud de Torrevieja (Alicante) précise que l'utilisation de masques, de
gants, le lavage fréquent des mains et l'utilisation de gels
hydro-alcooliques déclenche une
augmentation de certaines maladies de la peau comme la dermatite de contact
irritative, principalement sur les mains et le visage et aussi l'aggravation
d'affections préexistantes telles que l' acné, la rosacée, la dermatite
séborrhéique et la dermatite atopique.
Ces premiers symptômes ne seront probablement pas, hélas,
les derniers. Il est à prévoir des conséquences sur les populations des méfaits
du confinement, de l’obligation du port du masque et d’autres règles mises en
place par les gouvernements (selon leur fantaisie car ces règles diffèrent
selon les pays). Pour l’instant, il est trop tôt pour connaître les effets à long
terme des décisions des politiciens et des scientifiques ; cependant, nous
pouvons déjà en citer plusieurs qui sévissent déjà : la crise économique, les
crises d’angoisse, les problèmes psychologiques entre autres sont déjà des
conséquences graves des solutions imposées par les pouvoirs publics.
Une chose est sûre : les états ne reconnaîtront jamais
leurs erreurs. Ensuite, il n’y aura pas de changement de société suite à
l’événement du covid-19, d’ailleurs les sociétés ne changent jamais par le
haut, jamais les dirigeants sont à l’origine des changements de civilisation.
Enfin, les populations ne sont pas au centre des préoccupations des
gouvernements ; pour eux, l’individu est une abstraction, jamais une
réalité. Pour les politiciens, les gens sont des masses floues, sans consistance.
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