Le ciel est d’azur et le soleil brille de bon matin. Les
hirondelles dansent dans les airs. Les premiers baigneurs profitent des rayons
solaires pour se détendre sur la plage.
Liberté. Dans une démocratie, rien ne justifie la suspension, même momentanée, de la liberté. La liberté est entière sinon elle n’existe pas. Peu importe les raisons invoquées par les gouvernements, toute atteinte à la liberté n’est qu’un prétexte parce qu’il n’existe aucune raison impérative pour suspendre celle-ci. Jusqu’à présent, les autorités l’ont fait pour notre sécurité (face au terrorisme, pour les guerres ou face à l’épidémie du covid-19) ; cet argument est fallacieux.
Liberté. Dans une démocratie, rien ne justifie la suspension, même momentanée, de la liberté. La liberté est entière sinon elle n’existe pas. Peu importe les raisons invoquées par les gouvernements, toute atteinte à la liberté n’est qu’un prétexte parce qu’il n’existe aucune raison impérative pour suspendre celle-ci. Jusqu’à présent, les autorités l’ont fait pour notre sécurité (face au terrorisme, pour les guerres ou face à l’épidémie du covid-19) ; cet argument est fallacieux.
Dans une démocratie, la sécurité est de la responsabilité de
tous. Avant tout, chacun est responsable de lui-même, éventuellement des
enfants en bas âge et des personnes dépendantes à sa charge ; et c’est
tout. Un gouvernement qui prétend suspendre la liberté pour assurer la sécurité
des citoyens est un gouvernement incompétent parce qu’il n’a pas su éviter
la guerre ou le conflit. Ensuite, qu’est-ce que ce genre d’autorité qui punit
ses citoyens parce que leur sécurité est en jeu ? Comment, d’un seul coup, les citoyens sont-ils devenus les ennemis ? La vérité, lorsque la sécurité
est en jeu, la liberté doit être maintenue parce que uniquement chaque individu
est seul compétent pour assurer sa sécurité.
Quand un gouvernement suspend les libertés, il ne le fait
pas pour le bien des citoyens, mais uniquement pour faciliter sa tâche ;
comme si les citoyens étaient devenus tout d’un coup des gêneurs. En fait, les
autorités veulent avoir les coudées franches pour effectuer des actes qui sont
répréhensibles ; des actes qui peuvent même être criminels, parfois comme
tuer certains citoyens ou des populations entières, etc. Même en cas de
guerre, restreindre les libertés n’est pas justifié ; le contrôle des
actions du gouvernement doit être permanent de la part des citoyens. Rien ne
doit être fait au nom des citoyens sans l’accord express de tous. Lorsque
j’écris "tous", je veux dire chacun des citoyens et non une majorité.
En plus, il ne faut pas oublier que nos politiciens sont
avant tout des humains. Le pouvoir les corrompt et il réclame toujours plus de
puissance, l’illusion de la toute-puissance, afin de mener à bien ce que les
autorités pensent être leur tâche ; et finalement le pouvoir est la
séduction suprême de l’Ego. Les gouvernants se sentent indispensables et toutes les actions qui entravent leurs décisions sont considérées, au mieux comme une gêne, au
pire à éliminer. Cela arrive quand un politicien confond la fonction de sa
charge avec lui-même. Dans une démocratie, aucune fonction, quelle qu’elle soit, n'est sacrée ou supérieure aux citoyens, car les citoyens sont à la source de tous
les pouvoirs.
Revenons à l’épidémie du covid-19. Rien ne justifie les
actions des gouvernements démocratiques de suspension des libertés. Chaque
citoyen peut comprendre l’importance des enjeux et il est capable de se
protéger lui-même et sa famille. Chaque citoyen est seul juge de ce qui lui convient
le mieux pour sa propre sécurité et celle de ses proches ; il n’a pas
besoin que des politiciens lui disent qu’il faut porter un masque ou qu’il
peut se promener que de telle à telle heure ou qu’il doit rester confiné dans
son habitation. Dans quelle société vivons-nous où une poignée de personnes dicte aux citoyens
comment ils doivent vivre. Est-ce encore une démocratie ?
Liberté.
Uniquement, la liberté est garante du « vivre ensemble » en bonne
intelligence. Une société sans liberté n’est pas une société, mais seulement une
entreprise de bétails-humains.
« L'État n'a toujours qu'un but, borner, lier,
subordonner l'individu, l'assujettir à la chose générale ; il ne dure
qu'autant que l'individu n'a pas sa plénitude et n'est que l'expression bornée
de mon Moi, ma limitation, mon esclavage. » Max Stirner
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