Reflexions

L’idéologie et les valeurs politiques, philosophiques et morales de ceux qui nous gouvernent sont devenues liberticides. Leurs erreurs de jugement et d’appréciation ont entraîné durant la crise sanitaire des conséquences graves sur chaque citoyen. Leur probité dans les arcanes du pouvoir est des plus contestables. Les politiciens, en utilisant le conditionnement psychologique, ont convaincu les citoyens du risque de  mourir à cause du coronavirus. Ils sont devenus les otages de la peur. Le respect fondamentalement de nos droits d’être humain, dont le libre consentement pour tout acte médical (vaccination comprise), la totale liberté thérapeutique, le droit d’aller et de venir, la propriété privée, le droit d’entreprendre, a été bafoué.

Le régime étatique est devenu oppressif et esclavagiste durant le processus de confinement. Durant la crise, les propos des médias et des personnalités politiques pour exprimer leur point de vue erroné ont été véhéments et menaçants. Un adage affirme que « la violence des invectives révèle la faiblesse des arguments ».