Confinement jour 86 : Lundi 08 Juin 2020

Le soleil brille sur la plage où les premiers baigneurs viennent s’installer. Les hirondelles effectuent leur promenade dans les airs. Le vent s’est un peu calmé.

Aujourd’hui, la Région Autonome de l’Andalousie accède à la phase 3, la dernière avant la fin de l’Etat d’Urgence Sanitaire. Les autorités de Madrid nomment cette dernière phase, la « nueva normalidad », la nouvelle normalité. Celle-ci devrait se poursuivre jusqu’à fin septembre. Le gouvernement central ne veut pas lâcher le contrôle sur les populations. Il veut encore maintenir la pression sur les citoyens espagnols, plus à des fins politiques que pour des raisons sanitaires. Comme tous les gouvernements qui ont suspendu les libertés publiques, le virus est le prétexte idéal pour conserver la paix civile et surtout le pouvoir.

Cependant, le covid-19 demeure la bonne fable pour continuer l’escroquerie intellectuelle qui continue à être diffusée par les médias et les autorités. Car, que savons-nous sur le virus ?

D’abord, il n’y a aucune certitude que les chercheurs vont trouver un vaccin contre le Sars-CoV-2 parce que beaucoup d’aspects de celui-ci nous sont inconnus. Nous ignorons quel est le taux d’immunité de la population qui est nécessaire pour obtenir la fameuse immunité collective. Par contre, le taux d'immunité est bas dans tous les pays qui ont effectué un confinement strict (Espagne, Italie, France, Belgique et Royaume-Uni).

Ensuite, après l’hystérie des médias concernant une probable deuxième vague, l’OMS estime qu’il n’y en aura aucune ; d’autres experts ne sont pas de cet avis. Cela ressemble à une nouvelle tactique afin d’affoler les populations ; bien utile pour les gouvernements en perte de notoriété.

Les scientifiques ne savent pas combien de particules de ce virus sont suffisantes pour contracter le covid-19. Ils ignorent pourquoi certaines personnes tombent gravement malades et d'autres non. Ils n’expliquent pas pourquoi certaines personnes infectées par le covid-19 développent des symptômes bénins, tandis que d'autres contractent la maladie sévèrement et restent infectées pendant des semaines. Les personnes âgées de 70 à 79 ans sont les plus vulnérables aux infections graves et mortelles, ainsi que celles atteintes de maladies chroniques tels que l'hypertension, le diabète ou les maladies cardiovasculaires.

À ce jour, les scientifiques ne savent pas combien de temps une personne qui a eu le covid-19 peut rester immunisée contre de futures infections et combien d'anticorps un patient doit développer pour avoir cette immunité.

Une chose est sûre, c’est que les scientifiques ne connaissent pas beaucoup de choses concernant ce virus et cette maladie. Par contre, cela n’empêche pas les experts d’effectuer des recommandations qui entraînent des conséquences graves pour les populations : pertes des libertés, crises économiques, chômage, etc.