samedi 31 octobre 2020

Vila Nova de Cacela : Samedi 31 Octobre 2020

 Encore une journée estivale s’annonce. Le ciel est totalement bleu et le soleil brille tout son soûl. Après le repas, nous prenons la voiture pour nous garer sur un parking à Manta Rota. La voiture est garée près d’une autre à l’abandon. Un chat se tient sur la fenêtre avant, nous regardant sortir de notre véhicule. Puis nous allons directement sur la plage. Le sable doré s’étale à perte de vue. Quelques personnes se reposent sur des transats et d’autres tendent leur fil de pêche. Tout y est calme, détente et sérénité. Nous marchons sur le sable en direction de Monte Gordo qui se profile à l’horizon. Après une heure, nous avons atteint la Praia Verde, nous faisons demi-tour. Après un peu moins de deux heures de marche, nous retrouvons la voiture. 

 


 

Promenade estivale sur le sable...

  Lors du déjeuner, Patrick me dit que Sean Connery est mort de vieillesse dans son sommeil la nuit passée, à Nassau aux Bahamas, à l'âge de 90 ans. Sir Thomas Sean Connery, acteur et producteur britannique, était né le 25 août 1930 à Édimbourg en Écosse. Sean Connery avait épousé Micheline Roquebrune en seconde noce en 1975 à Gibraltar.

  Nous partons à bord de la Cuore après le repas. La voiture est garée sous la ramure d’un arbre à Manta Rotâ. Un chat gris tigré assis sur le bas du vitrage de la portière du conducteur d’un véhicule abandonné nous regarde de ses pupilles étincelantes. Nous allons marcher sur le sable au bord de l’océan en direction de Monte Gordo. Le soleil brille, le ciel est bleu, des bribes de nuées se promènent, un vent tiède nous caresse la peau. Une balade estivale baignée par la mélodies des vagues à l’ardeur continuelle s’offre à nous. Une grosse vedette de plaisance navigue près de la plage dans un long sillage d’écume tourbillonnant. Plus avant, au village d’Altura où nous allons de temps à autre au supermarché Aldi, nous voyons une passerelle qui s’est effondrée voici fort longtemps. Elle témoigne du mouvement de la vie. En arrière-plan, la silhouette massive et élancée de l’Eurotel Altura, situé sur l’avenida 24 de Junho, se détache nettement dans le paysage. Régulièrement, nous voyons des gens sur la plage qui profitent de cette belle journée. Sur le sable, une tourelle d’un château de sable perdure encore. Nous atteignons la praia Verde après une heure de marche. Nous la dépassons légèrement avant de revenir sur nos pas. Des nappes d’algues se dévoilent à la marée basse naissante. A distance, nous voyons la ville de Monte Gordo. Les minutes passent agréablement. Après plus de six kilomètres de marche sur le sable, nous sommes de retour chez nous après seize heures... 



















Pensée du jour

  Dans mon coeur se trouve mes plus beaux rêves, dans ma vie, ceux que j'ai cru possibles.

François Doucet
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vendredi 30 octobre 2020

Vila Nova de Cacela : Vendredi 30 Octobre 2020

Le soleil brille de bon matin. La chaleur estivale continue à enchanter notre journée. De nombreux rendez-vous perturbent l’organisation de notre jour : le dentiste, l’attente de colis et la livraison de gaz. Nous effectuons la promenade une fois que toutes ces tâches sont accomplies.

Lors de la marche, nous rencontrons un chat adorable qui mendie quelque attention. Ses couleurs attirent notre regard. Il est rejoint par un chaton et un autre congénère. Nous les laissons s’amuser. Le ciel est d’azur et la température est presque estivale !

 


 

Impressions "à chaud" sur l'allocution du Président Macron...

 


Hier... Impressions "à chaud" sur l'allocution du Président Macron...

  Le ciel est  bleu et le soleil brille. J’écoute avant le déjeuner, l’allocution du Président Macron qui se déroule sur une vingtaine de minutes. Son message sonne faux. Vague et imprécis, il provoque une nouvelle vague de peurs. L’information est manipulée, généralisée, anxiogène et dévastatrice pour l’équilibre mental. La confiance en la vie, en son processus bénéfique, est balayée. La confiance dans les citoyens est ignorée et définitivement enterrée. En imposant ses décisions, le président faire preuve d’une irresponsabilité et d’un infantilisme flagrant et déconcertant. J’assiste à la perte totale de la souveraineté du peuple et à la volonté du président d’édifier une civilisation de l’indéfini totalement sous son contrôle. Le peuple a perdu le choix de son destin et, individuellement, chacun ne peut plus être indépendant et libre de penser par lui-même de ce qui est bien et bon pour lui. Pour faire passer la pilule du second confinement, le président utilise la terreur qui l’emporte sur l’objectivité et la réalité des faits (voir l’Organisation Mondiale de la Santé, notamment)  qui sont interprétés pour affoler le peuple et le rendre docile à son bon vouloir. Son discours provoque un désarroi sans fin qui risque de décourager et de paralyser les actions nécessaires du peuple s’il veut sauver la démocratie et sa liberté. Vivre dans les conditions imposées, ce n’est pas vivre ! L’infantilisation de la politique s’accentue et le peuple français va la subir encore tant qu’il n’aura pas mis fin à cette absurdité de l’émotion liée à des peurs irraisonnées ; l’émotion exploitée bassement qui devient un système de gouvernance. Cette émotion, naturelle et humaine, ne doit pas régir nos lois. La bonne gouvernance d’un pays se fait sur une réflexion hautement pondérée, avisée et objective. La concertation avec de vrais spécialistes est fructueuse quand ils apportent des preuves scientifiques d’utilité publique et non des théories douteuses. C’est au peuple français de décider de ce qui est bon pour lui. Ce sont les Français qui doivent prendre en main le destin de la France, pas une minorité dictatoriale outrecuidante et tyrannique...

  Après le repas, nous allons nous promener à la plage. La balade agréable est estivale. Nous marchons sur le sable doré où les coquillages le parsèment richement. Des personnes profitent du soleil. Nous revenons chez nous par la rue des pêcheurs. Lors de la pause-détente, Patrick me dit que l’Espagne a prolongé l’état d’urgence jusqu’au mois de mai 2021 et que le Sénat français a a voté « non » au confinement imposé par le président Macron…


 



Pensée du jour

  Tout humain parce qu'il se se sait en interaction avec toute chose vivante, se sent donc à sa place dans l'Univers.

Lao Tseu
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jeudi 29 octobre 2020

Vila Nova de Cacela : Jeudi 29 Octobre 2020

 Un ciel parfaitement bleu recouvre Vila Nova de Cacela. Le soleil brille de tout son soûl. La température est presque estivale. Après le repas, nous allons au bord de l’océan. Il n’y a pas un seul souffle d’air et la chaleur reste agréable sauf à l’ombre où un frisson nous saisit.

L’océan s’étend vers l’horizon continuant ses ressacs sans se préoccuper des affaires humaines. Le sable doré s’étale tel un tapis devant les eaux de l’Atlantique. Quelques flâneurs déambulent le long de la côte. D’autres se sont installés sur des transats afin de profiter de la journée d’été. 

 


 

De François Doré, le libraire de Sukhumvit en Thaïlande...

 


Pensée du jour

 "Une exaspération profonde, continue : le sentiment d'être sans cesse empêchée, soumise contre son gré à une voix séculaire - celle de la norme, celle de la Tradition, qui lui interdisait les chemins de traverse, les vagabondages heureux."

Chantal Thomas
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mercredi 28 octobre 2020

Vila Nova de Cacela : Mercredi 28 Octobre 2020

Un soleil magnifique se lève sur Vila Nova de Cacela. Quelques nuées s’étiolent à l’horizon. Les nuages persistent toute la journée pour s’évanouir en fin d’après-midi. Nous partons en promenade au moulin. Les orangers portent de nombreux fruits lumineux. Quelle abondance ! Sur un arbre, des centaines de boules orange attendent d’être cueillies. Un peu plus loin, ce sont des citronniers qui offrent leur grelot jaune pâle et vert à nos yeux émerveillés. Puis au pied du Moulin, des kakis mûrissent à profusion sur des branches chargées. Ainsi est la vie !

Le soir, nous apprenons avec consternation que le Président de la République Française reconfine la France ! C’est la sidération. Nos cœurs vont vers nos familles, nos amis et connaissances qui sont en France métropolitaine dans cette sorte de dictature sanitaire qui les enferment comme des enfants punis de ne pas avoir suivi les ordres des autorités ; un renversement des rôles puisque le gouvernement devrait être soumis à la volonté du peuple et non l’inverse !

 



 

Jean-Dominique Michel vient de s'adresser au Président Emmanuel Macron...

Pensée du jour

  Un regard est dans tout pays un langage.
     
George Herbert
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mardi 27 octobre 2020

Vila Nova de Cacela : Mardi 27 Octobre 2020

 Un ciel d’azur nous accueille le matin. Les rayons lèchent le sommet des bas immeubles de Cacela. Chacun vaque à son activité. J’ai un rendez-vous à dix heures chez le coiffeur à quelques pas de l’habitation dans le même bloc. Puis après, nous effectuons quelques courses au Spar du quartier.

Nous recevons des informations lamentables de la France. Après avoir renié plusieurs fois sa parole, le gouvernement ne tient pas sa promesse de ne plus confiner. Il prétend qu’il n’y a pas de choix, encore un mensonge, c’est son choix, c’est sa décision politique. D’autres pays ont effectué d’autres choix.

Nous effectuons la promenade quotidienne dans la chaleur automnale qui ressemble au printemps de nos contrées. Les gens préparent de nouveaux les semis pour la nouvelle récolte dans leur potager ; pommes de terre, choux, carottes, petits pois, etc… Les nouvelles pousses percent déjà la terre.

Le soir, nous recevons un SMS désespéré d’amis face à l’éventuel confinement. Vivants dans un immeuble, ils voient cette mesure comme une punition ; il est plus facile de vivre dans une maison à la campagne que dans un appartement de 25 mètres carrés en ville. Oui, le gouvernement punit les Français, il les punit de n’être pas reconnaissant de les avoir confinés une première fois pour « sauver des vies » ; il les punit parce que certains membres de ce gouvernement sont poursuivis par la justice ; il les punit parce qu’il a acheté des millions de doses de vaccins alors qu’aucun vaccin n’est opérationnel ; il les punit parce que tous ces politiciens sont imbus de leur « toute puissance ». 

 



 

PLus que jamais d'actualité...

« Ce qui manque si tristement au monde actuel, ce sont la grandeur, la beauté, l'amour, la compassion - et la liberté. Fini le temps des grandes figures, des grands meneurs, des grands penseurs. À leur place, nous cultivons un bouillon de monstres, d'assassins, de terroristes, comme si nos gènes contenaient violence, cruauté et hypocrisie. »

Henry Miller

G.N.


« Les politiciens enlisent les citoyens dans des lois et des mesures qui les empêchent de respirer, au sens propre et au sens figuré. »

Exilé du rêve...

 

Le couvre-feu est une mesure policière

Et non une affaire sanitaire

Depuis quand des mesures autoritaires

Pour guérir sont-elles nécessaires

Les gens lorsqu’ils sont malades

Ils ne font pas une balade

Ils vont chez le médecin sans palabre

Chercher quelques remèdes valables

Le couvre-feu est une mesure policière

Pour mettre en place la dictature sanitaire.

Citation de Chantal Thomas librement adaptée...

« L’exaspération profonde et continue relève du sentiment d’être sans cesse empêché, soumis contre son gré à une voix séculaire, celle de la Norme, celle de la Tradition, qui interdit les chemins de traverse et les vagabondages heureux. La nouvelle norme imposée par les décideurs gouvernementaux dans la crise politico-sanitaire actuelle porte à son comble l’exaspération. »

Hier... Promenade à la plage...

  Après le déjeuner, nous allons nous promener vers la plage. La saison estivale est bien finie. Sous une couronne de nuées blanches, un couple, qui a apporté deux chaises, se détend dans le farniente au bord de l'eau. La place de Manta Rotâ est déserte. Les nuées aux formes changeantes et fantaisistes réverbèrent les rayons solaires...






Pensée du jour

  Il ne faut pas dire toute la vérité, mais il ne faut dire que la vérité.
     
Jules Renard
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lundi 26 octobre 2020

Vila Nova de Cacela : Lundi 26 Octobre 2020

 

Le soleil est au rendez-vous ce matin. Les rayons solaires adoucissent l’atmosphère et l’ambiance est encore estivale. Notre promenade nous conduit au bord de l’océan. Quelques nuées s’étirent sur la voûte céleste et l’azur semble strié par ces filaments nuageux. Les eaux se sont retirées un peu plus loin de la côte. La plage dorée resplendit sous la chaleur d’automne. Quelques promeneurs flânent sur le sable. Nous voyons deux personnes prendre un bain !

Nous revenons à l’habitation les rues sont presque vides. Les commerces ont tiré leur révérence car la saison touristique est terminée. 

 



 

G.N.

 « Les politiciens créent le problème qu’ils prétendent vouloir résoudre. La réalité est autre, ni les médias, ni la télévision ne sont objectifs. »

Maltraitance traumatique médiatique...

 


Maltraitance traumatique médiatique

Elle est infligée aux gens de manière perverse par des mesures liberticides insensées où le traumatisme est stimulé quotidiennement par des coups de fouet médiatiques. Les gens, qui manquent d'esprit critique, sont détruits psychiquement par des messages contradictoires, du genre « je te bats mais je t'aime, je te punis mais c'est pour ton bien ». Ainsi, les gens croient qu'ils sont responsables, qu'ils se sont mal conduits. Les bourreaux fonctionnent comme cela et leurs proies perdent tout discernement. Les médias et les décideurs sanitaires maltraitent les gens de manière volontaire.

Souvenons-nous que les virus existent sur terre pour permettre aux êtres vivants de s'adapter au monde qui les entoure et pour maintenir dans leurs corps un équilibre  immunitaire fonctionnel en continuelle adaptation grâce à eux.

Docteur Louis Fouché - Une manipulation mentale de toute la population qui a des effets catastrophiques...

Alfredo Nocera, un ami cher à nos cœurs...

A propos des mesures liées à la crise dite sanitaire...

« En temps de paix, la République n’a jamais connu une telle restriction des libertés »

Jean-MarieBurguburu, President de la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme.

Hier... Promenade vers le moulin...

  Après le repas, nous allons nous promener vers le moulin. Le long du chemin, trois oranges, une mandarine et un citron s’offrent à la cueillette. Après le moulin, je photographie un grand champ de terre rouge où les plantations commencent à sortir du sol. De retour chez nous, nous nous détendons avec le film « Jupiter - Le destin de l'Univers », la « Majesty of the bees », un film réalisé par Lilly Wachowski et Lana Wachowski, les réalisateurs, devenues réalisatrices, de « Sense 8 » et de « Matrix »...



Pensée du jour

  Les jours sont des fruits et notre rôle est de les manger.
     
Jean Giono
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dimanche 25 octobre 2020

Vila Nova de Cacela : Dimanche 25 Octobre 2020

 

Le ciel est nuageux. La température reste agréable. Le vent est calme, un souffle tiède vient de temps en temps perturber notre promenade après le repas. Nous changeons l’heure de notre balade à cause du changement d’heure ce matin à 2heures ! pour avoir du soleil. A la fin de la marche, les rayons solaires nous font coucou.

Nous regardons le film « Jupiter » sur netflix. Le scénario illustre parfaitement la démence du pouvoir, le pouvoir conduit vers la mégalomanie et surtout au détriment des populations. La nuit tombe rapidement à cause du décalage horaire. 

 



 

Hier... Promenade sous le ciel bleu...

 Le ciel est bleu et le soleil brille. En fin de matinée, je recule d’une heure l’horloge de l’ordinateur et de l’iPhone pour passer en horaire d’hiver, comme nous le faisions sur le QM2 pour éviter de perturber la nuit. Après le déjeuner, décalé d’une demi-heure, nous allons nous promener vers Manta Rota. Nous constatons que la végétation de la maison de vacances « Quinta das Figueiras » sur la rua Pedra Alva a été entièrement coupée. Réunie en un amas conséquent, elle sèche et se désagrège lentement sur le champ. Plus avant sur la rue qui sinue, je m’attarde et je prends en photo la maison de plain-pied abandonnée qui me « parle » à chaque fois que nous passons devant. Équipée d’une grande terrasse sur le toit accessible par un escalier raide qui ressemble à celui du château incendié, elle se demande si un jour elle accueillera à nouveau des êtres humains. À proximité, deux personnes d’un certain âge, assises côte à côte devant leur maison, profitent du temps de vivre au soleil sous le ciel bleu. Nous approchons de la voie de chemin de fer sans rencontrer le monsieur milanais et son chien. Nous la traversons juste avant le passage du train ; le conducteur lance le klaxon quand il voit que nous regardons  le convoi de quatre wagons. Sur la estrada da Corujeira, devant une maison spacieuse pourvue d’une piscine, je photographie en prolongement d’un jardin zen une pergola à la toiture ajourée soutenue par quatre colonnes romaines. Un peu plus loin, après de loyaux et bons services, un canapé deux places en skaï camel aux coussins usés par le frottement des vêtements termine sa vie au bord de la route. Le plaid qui le recouvrait probablement l’accompagne dans sa décrépitude. Au bout de la route, nous décidons de suivre la estrada dos Pomares pour voir où elle aboutit. Elle sinue légèrement entre des habitations coquettes, spacieuses pour certaines qui sont protégées de grilles et d’un portail. À l’intersection avec la beco [ruelle] dos Pomares, un superbe oranger apprécie d’être pris en photo. La route se continue en terre battue. Elle traverse les champs avant de joindre la route de la maison cathédrale où un chien s’éloigne de sa maitresse pour venir aboyer vers le portail. Nous sommes de retour chez nous vers quatorze heures trente, heure d’hiver. À l’entrée de notre appartement, deux enfants blonds comme les blés s’amusent vers la rampe métallique inclinée. Leur famille est attablée à une table de la terrasse du café Avenida. Ils nous regardent avec une certaine curiosité quand nous entrons. Je leur dis bonjour en souriant… Après la pause-détente, je poursuis la lecture du « Grand Meaulnes » d’Alain Fournier, commencée hier par hasard après le déjeuner. La nuit tombe. Après le dîner, je joue au piano les mélodies mémorisées. Une aventure dans le quadrant Delta précède notre  entrée au pays des rêves…