Le ciel estival s’installe sur la côte d’Almeria ;
avec une voûte céleste d’azur et avec une mer calme. Les premiers baigneurs
arrivent sur le sable. Un navire continue à baliser le littoral avant l’arrivée
des touristes. Les hirondelles continuent leur ballet dans les airs.
Nos sociétés sont-elles encore des sociétés d’humains ? Lorsque nous entendons le discours des politiciens, les préoccupations principales sont le fameux covid-19, la sécurité sanitaire (qui va avec l’ordre, l’ordre public), l’économie, les infrastructures, etc. Où sont les êtres humains dans tout cela ? J’entends souvent le leitmotiv concernant la peur du policier ; et le corollaire des policiers qui ne se sentent pas aimés par les populations. Je ferai remarquer la chose évidente que les gens n’ont plus peur des forces de l’ordre, ils ont la haine contre elles. A force d’user des forces de l’ordre contre les citoyens, de les utiliser comme moyen de coercition et de répression, les policiers sont devenus l’objet d’une haine profonde au sein des populations. Les politiques portent l’entière responsabilité de cette détérioration de confiance envers les forces de l’ordre.
Nos sociétés sont-elles encore des sociétés d’humains ? Lorsque nous entendons le discours des politiciens, les préoccupations principales sont le fameux covid-19, la sécurité sanitaire (qui va avec l’ordre, l’ordre public), l’économie, les infrastructures, etc. Où sont les êtres humains dans tout cela ? J’entends souvent le leitmotiv concernant la peur du policier ; et le corollaire des policiers qui ne se sentent pas aimés par les populations. Je ferai remarquer la chose évidente que les gens n’ont plus peur des forces de l’ordre, ils ont la haine contre elles. A force d’user des forces de l’ordre contre les citoyens, de les utiliser comme moyen de coercition et de répression, les policiers sont devenus l’objet d’une haine profonde au sein des populations. Les politiques portent l’entière responsabilité de cette détérioration de confiance envers les forces de l’ordre.
Il suffit de voir cette période de crise sanitaire pour
constater que les gouvernements ont joué la carte de la répression et de la
peur contre les citoyens grâce au déploiement des forces de police. Au lieu de
miser sur la responsabilité de chacun, les gouvernements ont préféré montrer
leurs dents et ont séquestré leurs populations afin de les contrôler, les
manipuler et leur faire peur. Un non-sens ! pour lutter efficacement contre
l’épidémie du covid-19, il fallait déployer des moyens sanitaires et médicaux
au lieu de consacrer des millions d’euros aux forces de police. Quand les
gouvernements ont vociféré le slogan « sauver des vies », ils ont
justifié leurs exactions contre les citoyens sous ce prétexte, mais l’objectif
était de maintenir les populations en résidence surveillée afin d’obtenir la
paix sociale. Pour quel prix ? L’addition à payer est déjà lourde ; sans
compter les budgets de la répression policière, l’économie est en crise, les
hôpitaux sont saturés, les citoyens sont fatigués et énervés.
Quand je vois avec
quelle ténacité les gouvernements prolongent l’Etat d’Urgence Sanitaire, je
m’interroge sur leurs motivations. Il suffit de regarder leur jeu politicien pour
obtenir leur accord pour voter la prolongation de cet Etat d’Urgence Sanitaire
pour se convaincre que leur objectif n’est plus le covid-19 mais la paix
sociale ; chacun y allant dans le sens de sa manie pour obtenir les meilleures
concessions du gouvernement contre leur vote. Où est le covid-19 dans tout
cela ? Nulle part ! La politique politicienne a repris ses aises.
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