La crise actuelle est une source d’anxiété, de stress et d’incertitude, des
sentiments qui s’emparent des enfants et perturbent leur épanouissement entravé
grandement par les mesures arbitraires des décideurs qui ont oublié de mesurer
les prolongements de leurs actes. Les conséquences, les traumatismes potentiellement dévastateurs sur
la santé mentale, l’impact du confinement sur les enfants risquent d’être
considérables. Pour eux, le temps ne passe pas de la même façon que pour les
adultes. Quarante jours de confinement leur semblent une éternité. Les enfants
dont le corps est en continuel changement vivent cette situation dans
l’angoisse, la colère, l’incompréhension et une souffrance douloureuse. Les
gouvernements ont fait disparaître du jour au lendemain la socialisation : jouer,
retrouver les copains, remuer, courir en plein air, s’oxygéner, s’agiter, s’essouffler, sauter, exprimer sa fantaisie
farfelue, ont disparu de leur monde sans raison valable. Comme des lionceaux en
cage, les enfants vivent le confinement dans une ambiance de fin du monde
totalement irréelle. Les états émotionnels des parents, dont les disputes de
certains vont crescendo, les déstabilisent. Le manque de contact physique, de
câlins, les perturbent. La violence verbale et parfois physique exacerbée les
effraye et les déboussole.
Un adulte avec un masque est-il encore tout à fait un être humain pour le
bébé et l’enfant en bas âge ?
Un enfant, qui n’est pas fait pour évoluer dans un espace clos à longueur
de journée, vit continuellement sous tension durant le confinement. Quels seront
les risques psychologiques post-confinement, tels que l’irritabilité,
l’anxiété, la diminution de l’attention, les difficultés de concentration, la
mémorisation, etc. ?
Qu’en est-il de la maltraitance par certains adultes, perturbés dans un flux
d’informations souvent contradictoires, exaspérés, qui ne se contrôlent
plus et qui se défoulent sur plus faibles qu’eux ?
Les gouvernements, qui agissent différemment en coulisses et en public,
sont responsables de cette situation subie par les enfants. Les groupes de
pression, pharmaceutiques et médicaux notamment, ont allégué au travers de
leurs conseillers et de leurs experts, imbus de leur savoir relatif et
contestable, que le confinement était primordial pour enrayer la propagation du
coronavirus. Leur crédibilité est discutable devant les rouages dysfonctionnels
et les magouilles diverses qui ont induit cette situation de crise grandement
préjudiciable aux enfants confrontés à un enfermement arbitraire. Les conséquences
psychologiques dévastatrices à moyen et long terme pour les enfants et nombre
de personnes seront sans commune mesure avec le nombre de décès dus au covid-19,
dont la pertinence s’amoindrit de jour en jour devant les statistiques de
l’Organisation mondiale de la santé. Le confinement a été décidé au mépris
du bon sens dans l’intérêt supposé des personnes. Il a eu un effet inverse,
puisque la privation des libertés fondamentales à la nature humaine s’est révélée
bien pire que la mort elle-même qui, de toute façon, fait partie intégrante de
la vie. Le côté sombre des scientifiques, des experts, des institutions, aux
certitudes excessives et à l’influence démesurée, au parti-pris partial qui juge à la hâte et de manière erronée, a causé
un tort qui sera néfaste sur le long terme à l’équilibre des enfants et des
personnes vulnérables.
Les experts à l’ego démesuré, avide de pouvoir et d’argent, au point de vue
borné, à la faible et étroite ouverture d’esprit, ont refusé de se remettre en
question. Ils ont semé la confusion dans l’esprit des citoyens et des
adolescents qui surfent sur Internet et qui sont confrontés à une avalanche
d’informations contradictoires truffées de surenchère. Ils sont confrontés à un
confinement qui les tiraille dans leur être au bon sens inné qui fut bien vite censuré
par les conditionnements sociétaux et religieux dès l’enfance. L’ordre médical
et pharmaceutique établi, à la quête de vérité discutable au regard des milliards
que rapportent les médicaments et les vaccins, ne sait rien de ce covid-19 ;
ce qui ne l’a pas empêché de répandre des informations invérifiables qui ont induit
en erreur les décideurs des gouvernements.
L’argent, le pouvoir, le lobbying, l’ego, la protection des intérêts personnels
entrent bien trop souvent en jeu, pour que les décisions prises par les
gouvernements ne se soient faites au détriment des populations…
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