jeudi 23 avril 2020

Les enfants, les victimes du confinement...



La crise actuelle est une source d’anxiété, de stress et d’incertitude, des sentiments qui s’emparent des enfants et perturbent leur épanouissement entravé grandement par les mesures arbitraires des décideurs qui ont oublié de mesurer les prolongements de leurs actes. Les conséquences, les traumatismes potentiellement dévastateurs sur la santé mentale, l’impact du confinement sur les enfants risquent d’être considérables. Pour eux, le temps ne passe pas de la même façon que pour les adultes. Quarante jours de confinement leur semblent une éternité. Les enfants dont le corps est en continuel changement vivent cette situation dans l’angoisse, la colère, l’incompréhension et une souffrance douloureuse. Les gouvernements ont fait disparaître du jour au lendemain la socialisation : jouer, retrouver les copains, remuer, courir en plein air, s’oxygéner, s’agiter, s’essouffler, sauter, exprimer sa fantaisie farfelue, ont disparu de leur monde sans raison valable. Comme des lionceaux en cage, les enfants vivent le confinement dans une ambiance de fin du monde totalement irréelle. Les états émotionnels des parents, dont les disputes de certains vont crescendo, les déstabilisent. Le manque de contact physique, de câlins, les perturbent. La violence verbale et parfois physique exacerbée les effraye et les déboussole.

Un adulte avec un masque est-il encore tout à fait un être humain pour le bébé et l’enfant en bas âge ?

Un enfant, qui n’est pas fait pour évoluer dans un espace clos à longueur de journée, vit continuellement sous tension durant le confinement. Quels seront les risques psychologiques post-confinement, tels que l’irritabilité, l’anxiété, la diminution de l’attention, les difficultés de concentration, la mémorisation, etc. ?

Qu’en est-il de la maltraitance par certains adultes, perturbés dans un flux d’informations souvent contradictoires, exaspérés, qui ne se contrôlent plus et qui se défoulent sur plus faibles qu’eux ?

Les gouvernements, qui agissent différemment en coulisses et en public, sont responsables de cette situation subie par les enfants. Les groupes de pression, pharmaceutiques et médicaux notamment, ont allégué au travers de leurs conseillers et de leurs experts, imbus de leur savoir relatif et contestable, que le confinement était primordial pour enrayer la propagation du coronavirus. Leur crédibilité est discutable devant les rouages dysfonctionnels et les magouilles diverses qui ont induit cette situation de crise grandement préjudiciable aux enfants confrontés à un enfermement arbitraire. Les conséquences psychologiques dévastatrices à moyen et long terme pour les enfants et nombre de personnes seront sans commune mesure avec le nombre de décès dus au covid-19, dont la pertinence s’amoindrit de jour en jour devant les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé. Le confinement a été décidé au mépris du bon sens dans l’intérêt supposé des personnes. Il a eu un effet inverse, puisque la privation des libertés fondamentales à la nature humaine s’est révélée bien pire que la mort elle-même qui, de toute façon, fait partie intégrante de la vie. Le côté sombre des scientifiques, des experts, des institutions, aux certitudes excessives et à l’influence démesurée, au parti-pris partial qui juge à la hâte et de manière erronée, a causé un tort qui sera néfaste sur le long terme à l’équilibre des enfants et des personnes vulnérables.

Les experts à l’ego démesuré, avide de pouvoir et d’argent, au point de vue borné, à la faible et étroite ouverture d’esprit, ont refusé de se remettre en question. Ils ont semé la confusion dans l’esprit des citoyens et des adolescents qui surfent sur Internet et qui sont confrontés à une avalanche d’informations contradictoires truffées de surenchère. Ils sont confrontés à un confinement qui les tiraille dans leur être au bon sens inné qui fut bien vite censuré par les conditionnements sociétaux et religieux dès l’enfance. L’ordre médical et pharmaceutique établi, à la quête de vérité discutable au regard des milliards que rapportent les médicaments et les vaccins, ne sait rien de ce covid-19 ; ce qui ne l’a pas empêché de répandre des informations invérifiables qui ont induit en erreur les décideurs des gouvernements.

L’argent, le pouvoir, le lobbying, l’ego, la protection des intérêts personnels entrent bien trop souvent en jeu, pour que les décisions prises par les gouvernements ne se soient faites au détriment des populations…

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