Le suspect est mal barré !
Newsletter de Néosanté du mercredi 26 août 2020 www.neosante.eu/le-suspect-est-mal-barre-2/ :
Ça y est, tout
le monde a compris maintenant ? Tout le monde a capté que le COVID est le nom
donné cette année à la grippe saisonnière, elle-même n’étant qu’un label
affublant l’ensemble des syndromes grippaux hivernaux ? Tout le monde a saisi
que le cru 2019-2020 de cette affection respiratoire annuelle était exceptionnellement
clémente envers les enfants, un tantinet sévère pour les adultes stressés
sujets à l’hyperventilation et relativement meurtrière pour les vieillards en
fin de vie ? L’adverbe « relativement » s’impose, car la plupart des vieux ne
sont pas morts de la virose : ils ont succombé à la terreur répandue par les
autorités, à leurs comorbidités préexistantes, à leur séquestration et à leur
immobilisation forcée, au report de soins urgents, au recours massif à
l’intubation et à l’interdiction de traitements plus légers. Bref, à la panique
et à l’hystérie collective répandues par les experts, les politiques et leurs
larbins médiatiques. Ce gâchis humain aurait pu être évité, comme l’a clamé le
Pr Christian Perronne et comme vient encore de le démontrer un article
scientifique publié par le chercheur canadien Denis Rancourt. Ce rapport
technique indique que les mesures gouvernementales mises en place pour juguler
l’épidémie ont provoqué plus de 30 000 décès rien qu’en France ! Preuve parmi
d’autres, les 34 états américains qui n’ont pas appliqué le confinement strict
n’ont pas connu le « pic Covid » du printemps. Selon les auteurs de l’article,
« le mécanisme médical expliquant ce pic passe principalement par le stress
psychologique et l’isolement social des personnes vulnérables au niveau de leur
santé. »
Interférences
fatales
Mais n’y a-t-il
pas un facteur particulier qui aurait aggravé cette vulnérabilité ? Dans notre
infolettre du 25 mars intitulée « On tient un suspect », nous avons émis
l’hypothèse que les tragédies survenues en Espagne et en Italie n’étaient pas
sans rapport avec les campagnes de vaccinations contre la méningite et les
pneumocoques déployées l’année dernière à Madrid et en Lombardie. Nous nous
basions également sur une étude de la revue Vaccine montrant que les militaires
américains vaccinés contre la grippe étaient 36% plus à risque de développer
une infection à coronavirus l’année suivante. Les vaccins pourraient donc
attiser, voire générer de nouvelles épidémies ? Ce n’est pas seulement une
possibilité, c’est une réalité bien documentée que nous avons expliquée dans la
revue Néosanté du mois de mai. En interférant avec les bactéries et virus
évoluant dans l’environnement ou déjà présents dans le corps humain, les
souches vaccinales peuvent en effet susciter ce que les spécialistes appellent
des « remplacements » épidémiques. Par réaction à l’introduction artificielle
d’agents infectieux, l’écosystème microbien en produit de plus agressifs et de
moins reconnaissables par le système immunitaire. Ce phénomène bien connu a été
souligné par la généticienne Alexandra Henrion-Caude dans une vidéo qui a fait
le tour de la toile il y a quelques semaines. Lancée aux trousses du suspect,
notre journaliste Pryska Ducoeurjoly n’a pas chômé durant l’été et a trouvé
d’autres indices accréditant le rôle délétère des vaccins. Dans son article à
paraître très bientôt dans le Néosanté de septembre, elle évoque plusieurs
travaux scientifiques troublants, notamment une étude randomisée et contrôlée
montrant que le vaccin antigrippal multiplie par cinq le risque d’infections
respiratoires sévères chez l’enfant, infections étrangères à Influenza mais
impliquant d’autres virus, y compris ceux de la famille Corona. Pour son
enquête, notre collaboratrice a interrogé le Dr Michel de Lorgeril, qui
s’apprête justement à sortir un livre dédié aux vaccins antigrippaux. Lui aussi
désigne notre suspect et évoque une « toxicité sociétale » résultant des
interférences virales. Pryska a aussi découvert que la Grande-Bretagne et
l’Italie, pays qui ont payé un lourd tribut à l’épidémie, ont expérimenté un
nouveau vaccin cultivé pour la première fois sur des cellules rénales de chien.
Simple coïncidence, comme le fait que les pays vaccinant le plus contre la
grippe ont été les plus touchés par le Covid ? Si la corrélation ne suffit pas
à affirmer un lien de causalité , elle autorise certainement à se poser des
questions !
Quand les
anticorps facilitent la mort
Notre suspicion
est d’autant plus légitime que la vaccination consiste à stimuler la production
d’anticorps. Or si on les sollicite intempestivement ou à contretemps, ces
agents de l’immunité peuvent faciliter une deuxième infection et la rendre
redoutable. Dans son article de septembre, Pryska Ducoeurjoly décrit également
ce phénomène découvert dans la maladie de la dengue. En résumé, une première
infection à un virus peut déclencher une réaction immunitaire normale, mais une
seconde infection peut entrainer une tempête immunitaire appelée orage de
cytokines, maintes fois observé chez les patients covidés. Dans le jargon des
immunologistes, le « péché antigénique originel » désigne cette propension de
l’immunité à cibler un antigène précis, celui lié à l’infection première,
tandis que les « anticorps facilitateurs » ( antibody-dependent enhancement,
ADE en anglais) sont responsables de l’emballement cytokinique. De tels
anticorps, qualifiés aussi de « non neutralisants », ont été identifiés pour la
grippe, le sida, ebola…et le SRAS. Il est permis de penser qu’un tel processus
a pu être à l’œuvre lors des pics épidémiques affectant particulièrement les
populations âgées résidant en maison de retraite, c’est-à-dire surmédicalisées
et multi-vaccinées. Vous voulez en savoir plus sur ces anticorps facilitant la
mort ? Par l’entremise de la virologue Emma Khan, l’AIMSIB (Association
Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante »)
vient précisément de publier un article sur ce thème. Pour son auteure, la
physiopathologie du Covid-19 doit faire songer à une responsabilité des ADE
dans son évolution péjorative. Il a déjà été démontré in vitro que la fameuse
protéine pointue du virus à couronne était capable de provoquer leur
apparition. Notre principal suspect, le vaccin antigrippal, est décidément bien
mal barré !
Appel à
témoignages
Mais comment
démontrer sa culpabilité ou sa complicité dans l’hécatombe ayant frappé les
ainés ? À notre connaissance, aucune étude n’a été entreprise pour tenter
d’établir un lien éventuel. L’idéologie vaccinaliste domine tellement la
science médicale qu’aucun chercheur n’a encore pensé à investiguer dans cette
direction. À l’inverse, une étude brésilienne également citée par Pryska
Ducoeurjoly tendrait à montrer que le vaccin contre la grippe aurait légèrement
protégé les victimes du Covid. Au Brésil, cette vaccination préalable aurait
diminué la nécessité d’hospitaliser en soins intensifs et offert un tout petit
bénéfice en terme de mortalité. Nonobstant ses lacunes méthodologiques qui
permettent de mettre en doute ses conclusions, cette recherche a au moins un
mérite : elle soutient le concept d’interférence virale entre virus influenza
et virus corona. Entre ces deux types de particules, les interactions et les
échanges protéiques sont manifestement la règle. Il est assez incohérent de
présumer un effet positif du vaccin grippal et d’évacuer son implication
possible dans le désastre coronaviral. En l’absence d’une telle vérification,
il y a cependant des éléments qui alimentent le soupçon : les témoignages
provenant du personnel soignant. Ces derniers mois, j’ai reçu plusieurs
messages de gens me disant que leur médecin s’étant confié à eux avait constaté
une mortalité anormalement élevée parmi la patientèle vaccinée. Certains
généralistes auraient même acquis la conviction que le Covid-19 a frappé
exclusivement les vieilles personnes ayant reçu le vaccin en 2019. Mais comme
ils ne peuvent pas le prouver et que cela engagerait leur responsabilité, ils
n’osent pas en parler. Je comprends cette réserve, mais l’enjeu ne mérite-t-il
pas de lancer l’alerte ? J’aimerais que les langues se délient et que les
médecins me contactent directement pour épaissir le dossier à charge du
suspect. Dimanche dernier, lors d’une petite manifestation anti-masques à
Bruxelles, une infirmière indépendante a pris la parole pour expliquer qu’aucun
de ses patients très âgés (90 ans en moyenne) visités à domicile n’avait eu le
Covid, alors qu’elle-même avait été diagnostiquée. Après son intervention, elle
m’a certifié que toutes ses consoeurs itinérantes étaient dans la même
situation : aucun malade et aucun mort à déplorer parmi leurs clients retraités
dans leur propre maison. Pour cette blouse blanche en colère, la clé de
l’énigme pourrait être la rareté de la vaccination antigrippale dans cette
catégorie de seniors. Elle-même décommande fortement l’injection annuelle et
refuse de la faire pour en avoir trop souvent observé les effets secondaires. À
défaut d’enquêtes épidémiologiques initiées par des autorités sanitaires (trop
occupées à préparer…une nouvelle campagne vaccinale automnale), c’est ce genre
de récits qui pourraient faire bouger les lignes et prévenir une nouvelle
catastrophe. Pour m’envoyer vos témoignages (anonymat garanti), utilisez
l’adresse info@neosante.eu. Merci d’avance aux courageux soignants qui oseront
briser le tabou !
Yves
Rasir
P.S. : Allemagne,
USA, Canada, Espagne, Belgique… les peuples se réveillent enfin et les
manifestations se multiplient contre les mesures liberticides et le traquenard
vaccinal tendu par les gouvernements. Notre collaboratrice Catherine Courson a
rédigé deux textes qui peuvent constituer autant de tracts à distribuer lors de
ces mobilisations citoyennes. Vous les trouverez en cliquant ici, en français
et en anglais. Face à la tyrannie, la désobéissance
civique devient véritablement un devoir !
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