Trois raisons de (re)jeter le masque
Pandémie, fin de partie !
Comme l’avaient bien prévu le Pr Didier Raoult et quelques autres spécialistes
clairvoyants, le Covid-19 s’est comporté
comme une banale virose saisonnière et n’a pas résisté au retour des beaux
jours. L’hiver n’a pas été rigoureux mais il a été long, les températures ne
remontant vraiment qu’à partir du 15 avril. Et c’est précisément à partir de ce
moment-là, avec l’arrivée du printemps climatique, que le nombre de cas a piqué
du nez et que la très relative affluence dans les hôpitaux – en Belgique,
l’occupation des lits en soins intensifs n’a jamais dépassé 60% - s’est brusquement
tarie. L’épidémie est terminée depuis un bon mois et il n’y aura pas de deuxième vague, cette
autre divagation née dans l’imagination des experts conseillant le pouvoir. Maintenant,
la question est de savoir si l’on va retrouver la 7ème Compagnie, je
veux dire la grippe annuelle qui a mystérieusement disparu des statistiques
françaises de mortalité, comme le révèle l’article de notre collaboratrice
Pryska Ducoeurjoly que nous avons mis en
ligne . Quoi, c’est pas possible, on
aurait aussi amalgamé ce fléau prétendument
dévastateur avec la bonne vieille « crève » hivernale ? Il n’est pas interdit
de le penser. Pour rappel (voir mes
infolettres précédentes), certaines études montrent que 80% des syndromes grippaux
hivernaux ne sont pas associés au virus Influenza. Et d’autres travaux
indiquent que la famille des virus Corona intervient dans 7 à 15% des
infections respiratoires qualifiées de grippes. Or celles-ci dégénèrent
fréquemment en pneumonies typiques ou atypiques.
Tous
covidés ?
Les complications de cette
deuxième catégorie, caractérisées par une dyspnée prononcée malgré une faible
atteinte pulmonaire et des images thoraciques en « verre dépoli », étaient déjà
observées en automne en Italie, mais aussi dans l’Est de la France et aux
États-Unis dès le mois de novembre. En Belgique, certains chercheurs ont
retrouvé la trace du SRAS-Cov-2 dès le début du mois de février. Il est par conséquent probable que cette
grippe saisonnière un peu inhabituelle rôdait déjà sous nos latitudes depuis un
bon bout de temps. Et donc que son taux de létalité – évalué pour l’instant à
0,5% en étant parti de 5 % - devrait encore être revu à la baisse grâce à l’augmentation des tests sérologiques.
L’autre jour, je discutais avec ma vieille voisine de 78 ans qui avait dû se
faire amener en ambulance fin octobre et qui m’a raconté ses symptômes : si ce
n’était pas un Covid, c’était très bien imité !
Une amie m’a également parlé de sa grippe de janvier accompagnée de
pertes de goûts et d’odorat, deux signes cliniques qui ne sont pas particuliers
au Covid mais qui ont été maintes fois signalés cette année. Moi-même, je me souviens avoir été
sérieusement grippé au début de l’automne, période où je suis assez sensible parce
que c’est la pleine saison des acariens et que ce contexte environnemental (les
premiers froids, plus l’omniprésence des
arachnides) réveille un douloureux traumatisme
de ma prime enfance. Je me rappelle m’être réveillé plusieurs nuits essoufflé
et avoir dû faire des exercices de cohérence cardiaque pour réguler ma
respiration et retrouver le sommeil. Bref, on peut se demander si beaucoup
d’entre nous n’ont pas été « covidés » sans le savoir et si cette étiquette n’a
pas été collée – en sus de tous les autres diagnostics abusifs et du gérontocide
commis dans les Ephad - sur la très
traditionnelle grippe annuelle. Pryska va essayer de retrouver la 7ème
compagnie et nous vous tiendrons au courant.
La
jugeote de mon coiffeur
En attendant que les
chiffres parlent, il faut bien endurer la prolongation du Corona Circus et se
farcir le dernier numéro de ce spectacle navrant, celui de la paranoïa
grotesque nous incitant, voire nous contraignant, à bien garder nos distances
et à porter un masque pendant le déconfinement. Hier, j’ai enfin pu retourner chez
le coiffeur. Respect des consignes oblige, Umberto m’attendait affublé d’un
masque blanc très élégant mais il ne m’a pas demandé d’en mettre un. Cool,
j’aurais été capable de faire demi-tour et d’attendre encore jusqu’à l’été
avant de me faire couper les tifs. Son indulgence m’a soulagé car si le port
des cheveux longs m’a rappelé ma jeunesse sixties et seventies, je commençais à
en avoir marre de les avoir dans les yeux. Engageant la conversation, j’ai
demandé à mon figaro s’il se souvenait avoir déjà « chopé » le rhume ou la
grippe d’un de ses clients. « Jamais
en 25 ans de métier », m’a-t-il répondu, « car j’ai une bonne immunité et je ne tombe
jamais malade ». Intéressant, non, ce témoignage attestant que des centaines, voire
des milliers de contacts rapprochés avec des porteurs de microbes n’ont aucune
influence sur un terrain robuste ?
Encouragé par son bon sens, je lui ai parlé de la controverse
Béchamp/Pasteur et lui ai dit que moi, je ne croyais pas du tout à la
contagion. Que j’y croyais si peu que j’étais prêt à passer tout un mois en
compagnie d’une jolie covidée et à l’embrasser à longueur de journée, avec la
certitude de ne rien attraper. Ça l’a bien fait rire et il a eu cette réplique
épatante : « Logique que tu n’attraperas
rien puisque tu auras pris ton pied sans penser à autre chose ».
Franchement, en entendant ça, je me suis
dit que la compréhension de la santé
était bien plus répandue dans les salons de coiffure que dans les facultés de
médecine. Car les médecins, il ne faut pas trop compter sur eux. Après avoir
pleuré sur la pénurie des masques, ils sont nombreux - j’ai reçu beaucoup d’échos allant dans ce
sens – qui l’arborent en consultation, l’imposent à leurs patients et leur
conseillent de le porter en permanence. Mais bon sang, leur arrive-t-il encore
de réfléchir et de lire autre chose que les slogans officiels ? Voici à leur
intention, mais aussi à la vôtre, trois bonnes raisons de ne pas porter cet
objet ridicule et de le jeter à la poubelle.
Le
masque, ça ne protège pas
Quand il n’y en avait pas
assez, les politiciens et les experts nous disaient que les masques ne
servaient pas à grand-chose. Maintenant qu’une industrie locale a été relancée
et que les pays à bas coût salarial inondent le marché, les mêmes nous
certifient que les bouts de tissu ou de plastique protègent efficacement. Qu’en
est-il exactement ? En fait, il n’est pas scientifiquement démontré que le port
du masque présente un quelconque intérêt sanitaire.Des citoyens canadiens ont
passé en revue la littérature médicale et ils n’ont trouvé aucune évidence
plaidant pour le port du masque. Voici le « rapport technique » où ils ont
compilé les études prouvant plutôt le
contraire. De son côté, sur le blog où il déconstruit méthodiquement le « mythe infectieux », le scientifique
David Crowe a pris la peine de lire les quelques études favorables au masque et
a trouvé qu’elles étaient entachées de biais de confusion, notamment le fait que
les groupes contrôles étaient composés d’individus en meilleure santé que les
groupes observés. Sa conclusion ? « Il y a une large évidence contre le port du masque par la population
générale, généralement vu comme inefficace et pouvant contrarier les autres mesures
préventives ». David Crowe a aussi retrouvé les opinions formulées par certaines
sommités médicales estimant que la propagation du virus ne pouvait pas être
freinée par la généralisation du masque. Piquant : il a même retrouvé une
déclaration de l’OMS datée du 6 avril et selon laquelle il n’y a pas de
bénéfice avéré à porter un masque en public, ni entre personnes en bonne santé
ni lors de leurs contacts avec des gens malades. C’est d’ailleurs sur cette absence
de preuve que le Danemark s’est appuyé pour… déconseiller le port du masque
! Seul pays européen à ne pas émettre
une telle recommandation, le royaume scandinave a en effet choisi l’option
inverse et a dissuadé sa population de sortir masquée. Le microbiologiste Hans Jorn Jepsen Kolmos,
un des experts conseillant le gouvernement danois , l’a justifié ainsi : « Ce n’est pas une question de croire au masque ou
pas (…). La position des autorités sanitaires est que, pour l’instant, nous
n’avons pas de preuve clinique, scientifique, disant que les masques peuvent
protéger efficacement le grand public ». (Journal International de
Médecine, 22 mai 2020). Préférer la science à la croyance, n’est-ce pas raisonnable ?
Le
masque, c’est mauvais pour la santé
Ce pavé a été lancé dans la
mare par le Dr Russel Blaylock. Dans un
article qui a fait le tour de la toile, ce neurochirurgien américain réputé déclare carrément que « les masques faciaux peuvent poser de sérieux
risques pour la santé » de ceux qui les portent. En premier lieu, il désigne les personnes âgées fragiles et
les personnes atteintes de maladies respiratoires, telles que la bronchite
chronique obstructive, l’emphysème ou la fibrose pulmonaire. Pour cette catégorie
de patients, le port du masque entraîne potentiellement une grave détérioration
de la fonction pulmonaire. Cela inclut également les patients atteints de
cancer du poumon et les personnes ayant subi une chirurgie pulmonaire, en
particulier avec une résection partielle ou l’ablation d’un poumon entier. Mais
le Dr Blaylock va beaucoup plus loin :
il estime que les gens en bonne santé masquées sont également à risque car
elles sont exposées à un risque accru… d’infection
! Des études ont en effet montré que
l’hypoxie (baisse de l’apport d’oxygène) peut inhiber les lymphocytes T CD4+,
les principales cellules immunitaires mobilisées lors des infections virales. « Cela prépare le terrain pour contracter toute
infection, y compris Covid-19, et rendre
les conséquences de cette infection beaucoup plus graves. » Dans
son document, David Crowe mentionne aussi deux études scientifiques accablantes. La première montre
que le personnel hospitalier portant un masque fermé « attrape » plus facilement
la grippe que les autres travailleurs de santé porteurs d’un simple masque chirurgical. Les analyses en laboratoire ont confirmé que
la pénétration de particules virales était de 97% pour le masque fermé, contre
44% pour les masques médicaux. L’air de rien, voilà encore un immense caillou
dans la chaussure de la théorie pasteurienne ! La seconde étude indique que les soignants (médecins, infirmières,
paramédicaux..) engagés dans la bataille contre le Covid-19 ont constaté un
accroissement de la fréquence et de la sévérité de leurs maux de tête,
symptômes notoires d’un déficit en oxygène. Sans être versé en physiologie, on
peut aisément comprendre que se boucher la bouche et le nez gêne la respiration et n’est pas sans effets
négatifs et contre-productifs. Puisque la recherche scientifique en fournit les
preuves, il faudrait détruire les stocks de masques ou les renvoyer à
l’expéditeur au lieu de propager, à grand renfort de propagande, la fausse idée
que cet équipement contribue à l’hygiène de vie. C’est exactement le contraire.
Le
masque, les médecins s’en passaient bien
Il y a très longtemps de
cela, à une époque dont on se souvient à peine, c’est-à-dire il y a quelques
mois, les disciples d’Hippocrate recevaient ou visitaient leur patientèle sans
porter de masque ni de gants, sans éviter les contacts physiques et sans
s’arroser de gel hydro-alcoolique. Depuis toujours, les médecins de terrain
affrontent les épidémies sans protection particulière. Tombaient-ils malades
pour autant ? Évidemment que non ! Ces dernières années et surtout dans mon
infolettre du 20 mars 2019, j’ai soulevé ce paradoxe : lors des épidémies de
grippe, les toubibs ne contractent pas cette infection pourtant considérée
comme hautement contagieuse. Ils devraient tomber comme des mouches, succomber
massivement à l’agent viral qu’ils côtoient tous les jours, s’aliter à leur
tour et déserter leurs cabinets, mais non, ils restent au poste et ne semblent
nullement affectés par l’ « ennemi invisible ». Si c’était le cas, ça se saurait
car il manquerait cruellement de praticiens lors des pics hivernaux de
syndromes grippaux. Question à la hiérarchie de l’église pasteurienne : comment
expliquez-vous ce grand mystère de votre foi ? Question subsidiaire : comment
expliquez-vous que le Covid-19, contrairement à ce qui est rabâché dans les
médias, ait fait si peu de victimes dans le corps médical ? Depuis le début de
la « pandémie », le château de cartes de la théorie du germe craque de toute
part et le virus à couronne est en train de révéler que la contagiosité est une
absurdité sans fondement : le microbe ne peut absolument rien sur un terrain
suffisamment sain. Heureusement, il y a des médecins qui en prennent
conscience. Et d’autres qui le pensaient déjà tout bas et qui osent désormais
l’affirmer très haut. Le Dr Jean-Michel Crabbé est de ceux-là. Collaborateur
occasionnel de la revue Néosanté et auteur du livre « Tempête sur le diabète »,
ce généraliste de Besançon n’a guère apprécié l’injonction à se masquer et il a
pris sa plume pour le faire savoir au Conseil de l’Ordre. Ci-dessous, je
partage et reproduis sa lettre car elle pose bien le débat et contient quelques
arguments percutants. Face à la tuberculose, les médecins d’antan étaient
également et curieusement « immunisés » bien qu’il combattaient sans rien - à
mains, bouches et narines nues - le très contagieux bacille ! Voilà le genre de
prises de parole qui font réfléchir et qui pourraient, si elles se
multipliaient, faire vaciller la dogmatique
médecine académique emprisonnée dans ses croyances d’un autre âge. Il n’est que temps, comme
nous tous, de la déconfiner complètement
!
Yves
Rasir
[www.neosante.eu/3-raisons-de-rejeter-le-masque/]
[www.neosante.eu/ou-est-passee-la-grippe-saisonniere-enquete-sur-les-statistiques-du-nombre-de-deces-lies-au-coronavirus/]
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire